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Coronavirus, la dictature sanitaire

Il y en a qui trouvent que face à ce virus maudit appelé Corona, les États n’en font pas assez.

D’autres trouvent qu’ils en font trop.

Il y en a qui en veulent toujours plus des États, quitte à être bridés, contrôlés, infantilisés…

D’autres qui veulent plus de liberté, de responsabilité, de bon sens et qu’on cesse de les prendre pour des enfants, voire pour des imbéciles.

Et ceux-là, s’ils entendent bien mugir dans la campagne sanitaire ce féroce virus qui vient jusque dans nos villes pour fermer nos écoles et affoler nos familles, n’en pensent pas moins des dérives politiques et gouvernementales qui s’appliquent à nos pays.

Ce sont ces derniers qui décident de prendre la parole, à travers 4 textes, 4 courts pamphlets qui très certainement ne laisseront pas les lecteurs insensibles.

QUI SONT LES ÉVEILLEURS DE CONSCIENCE ?

Yoann Laurent-Rouault, ancien des Beaux-Arts de Rennes, a été enseignant, publicitaire, dessinateur de presse, parolier, chansonnier…

Écrivain, il dirige la présente collection ainsi que le pôle littéraire de JDH ÉDITIONS.

Alain Maufinet, ancien militaire, devenu écrivain, s’inspire aujourd’hui de ses nombreux déplacements pour décrire les sensations qui étreignent le voyageur au contact d’autres cultures.

Katia Lambert est une jeune auteure qui se définit comme un électron libre aimant plus que tout la Liberté.

Plotin Samsa est juriste spécialisé en droit public et contentieux administratif. Très impliqué dans la scène punk hardcore et métal, avec un goût prononcé pour le rap, son style s’en ressent.

La collection UPPERCUT réveille le pamphlet littéraire. Elle donne de la voix, dénonce et exprime ce que des milliers d’entre nous pensent sans pouvoir le dire.

« Un très bon livre pour comprendre beaucoup de paramètres de cette pandémie. Félicitations aux auteurs pour cette production formidable! »
– Commentaire de Fousseni Togola

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La dictature Sanitaire, critiques de lecteurs.

Qui mieux que les lecteurs peuvent parler de nos livres?

NDR / Ce pamphlet de la collection Uppercut fera bientôt l’objet d’un article dans le revue Le causeur, autour du texte de Y. Laurent-Rouault et sur le thème de la dictature sanitaire.

 

 

 

Ces gens que vous dénoncez sont effectivement trop axés sur la sécurité à tout prix, même au détriment des libertés fondamentales. Une réflexion intéressante, même si le sujet demanderai d’être traité plus en profondeur. Moins dans l’anecdote. Ceci étant, un très bon collectif avec une réactivité et bluffante pour sa parution.

Joël, enseignant, 44.

 

Un très bon livre pour comprendre beaucoup de paramètres de cette pandémie. Félicitations aux auteurs pour cette production formidable!

Fousseni.

A lire et à relire contre toute censure.

Daniel.

Il fallait oser et vous l’avez fait ; bravo à vous tous.

Marina 56.

J’ai lu, j’ai adoré, bravo! Mention spéciale à Plotin Samsa.

Bénédicte.

Un livre que j’ai acheté récemment à la suite de celui du docteur Erbstein… Votre collectif est simplement terrible. Vous avez vu ce que beaucoup d’entre nous refusent de voir. L’avant propos de l’éditeur est extrêmement parlant.

Xavier. 92

Un livre instructif et osé…Vous avez dû avoir des problèmes pour le diffuser… Pas trop de censures ?

Un éditeur indépendant.

Beaucoup d’autres critiques sur ce livre que les auteurs ont récoltés à titre individuels, et qui nous serons transmises prochainement. La rédaction.

 

 

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Un chalet pour Noël par A.Maufinet

Bonjour,

Si vous me suivez, vous découvrirez que je navigue

de l’aventure « Les larmes du désert » au suspense (« l’ombre de Marrakech » ou mon dernier « Quand resonne le glas »).

De la poésie, le romantisme « le chant des brisants » vers les textes de nos anciens que j’ai préfacé : Le colonel Chabert de Balzac,  Aziyadé de Pierre Loti, Pensées pour moi-même de Marc Aurèle.

De livres pour la jeunesse (vous le découvrirez bientôt) vers les textes que les âmes sensibles doivent éviter (un collectif comme « cadavres écrits » ) ou des sujets de sociétés (citons plusieurs collectifs « Coronavirus, la dictature sanitaire » « Stupeur et Confinements  » le dernier : « Tueuses, des faits réels à l’opposé des féminicides » ).

 

Je ne cite ici qu’une petite moitié de mes écrits, pour vous intriguer un peu. Je navigue ainsi sur les mots et les textes avec le même plaisir en glissant parfois quelques poèmes dans mes romans.

Aujourd’hui, j’ai participé à un collectif : Romance addict, puisque l’on classe ainsi les romans. Il faut bien s’inscrire dans les habitudes modernes et donner des noms qui classent nos écrits.

Je vous présente donc : « Un chalet pour Noël. » Neuf plumes étonnantes, surprenantes, envoûtantes.

Imaginez une rencontre imprévue alors que les cloches de Noël sonnent.

« Ce soir, entre des chalets de Noël, il remarqua un profil qui attira son regard. Elle ne regardait pas dans sa direction, mais il ne pouvait pas détacher son regard d’un visage, d’une allure. Soudain, entre deux rangées de lampions, ils se trouvèrent face à face… »

Vous ne trouverez pas cette histoire dans : « Un chalet pour Noël. », vous trouverez beaucoup mieux.

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Mais qui êtes-vous donc : Alain MAUFINET ?

Bonjour,

Mais qui êtes-vous donc : Alain MAUFINET ?

Alors, je me présente à la manière d’un autre Alain, Alain DELON. Pourquoi un tel choix, car sur les réseaux mes photos sont mêles aux siennes. J’apprécie la main du hasard.

Enfant solitaire, il apprécie les épopées que proposent les grands auteurs. Il voyage guidé par ces lectures, souvent accompagné par les auteurs romantiques. Se sentant à l’étroit entre la Garonne et les Pyrénées, il rêve d’équipées lointaines.

Le danger Soviétique se profile à l’Est. Il choisit d’être soldat, un soir de septembre 1969. Maréchal des logis-chef, il obtient rapidement ses galons d’officier. Il sillonnera pendant prés de vingt ans les terres de l’Est de la France. Il s’entraine, il attend. C’est un peu, son désert des tartares. Il lit beaucoup.

Jeune, il était marqué par les pages du passé. Désormais, il se tourne vers les pages à écrire.

Il propose ses nouvelles pour des publications militaires, le mur de Berlin tombe. Le risque soviétique s’efface. Il l’avait écrit, mais son approche avait été jugé utopique dans le cadre de l’école de guerre. Ses nouvelles missions, à l’Etat-major des armées, l’entraine loin de la métropole, en particulier vers l’Afrique Francophone. Il y vit des aventures captivantes. Il partage des cultures et des mondes nouveaux, et noircit des pages d’écolier.

Il est nommé successivement chevalier de l’ordre national du mérite, puis chevalier de la légion d’honneur.

A l’aube de l’an 2000, Colonel, il quitte l’uniforme et change de vie. L’immobilier le capte. Il aime les mots de la vie réelle, il adore ceux de la fiction. Il décide d’écrire. Il imagine les secrets des hommes et des femmes qu’il croise. Il goute de les peindre. Quelques épais manuscrits remplissent maintenant sa giberne.

 

Parlons écrits;

2011/2014.

Avec un nom de plume, ALAIN BADIRAC.

Je publie trois romans : Passion clair-obscur. La pluie soleil. Les griffes de la vie, et un recueil de nouvelles : Souffles de vies. (Libre Label). (Plus en vente).

 

2017/2018.

Je publie avec mon nom.

Participation au recueil de nouvelles Prix Gérard de Nerval, avec 16 auteurs : Un cadavre dans les dunes (Arthémuse).

Un roman (1°version) : Les larmes du désert (Livre Actualité). (Plus en vente).

 

2020.

Je préface deux romans du philosophe Malien : Fousseni Togola.

Bintou, une fille singulière.

L’homme sirène.

 

Je rejoins JDH éditions.

Un roman, Le chant des brisants (collection littéraire : Magnitudes.)

Je participe avec d’autres auteurs à 3 collectifs :

« Coronavirus, la dictature sanitaire » (collection Uppercut).

« Stupeur et Confinements  » « L’année s’annonçait belle, avec deux 20 » (Les Collectifs).

« Nos violences conjuguées. » « À Sylvie, éphémère rencontre » (Les Collectifs).

En 2021.

Chez JDH éditions, je propose :

Un collectif : Cadavres écrits « Les volets rouges » (collection Black files).

Deux romans :

L’ombre de Marrakech (collection Nouvelles pages).

Otage au Mali (collection Nouvelles pages) .

 

J’ai également préfacé trois auteurs anciens (Collection Atemporels) :

Le colonel Chabert de Balzac,

Aziyadé de Pierre Loti,

Pensées pour moi-même de Marc Aurèle.

 

En 2023.

Deux romans :

Les larmes du désert (version enrichie préfacé par Fousseni Togola, très connu dans les milieux intellectuels de son pays. Il est détenteur d’un Master philosophie qu’il enseigne.) (collection littéraire : Magnitudes.)

Quand resonne le glas. (collection littéraire : Magnitudes.)

 

Projets : (participation à des collectifs, livres pour enfants)

 

Venez me lire :

https://jdheditions.fr/revues/bibliotheques-oubliees

 

Mon profil, mes écrits :

https://jdheditions.fr/team/alain-maufinet/

Un lien : https://youtu.be/aIgV1Mv99QE

Amicalement, Alain MAUFINET.

 

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Venez donc en Atrique, avec moi.

 

Bonjour,

 

En naviguant sur internet, j’ai découvert des ressentis et un extrait d’un article de journal de l’année dernière.

Ressentis : Les Larmes du Désert.

« Alain Maufinet est un auteur qui sait de quoi il parle. Son style est clair et précis. Je suis en plein accord avec le ressenti de Nadine Doyelle. » Serge Mandaret (auteur).

« Ce roman, c’est de l’art et du suspense. Un must à lire ! » Denis Morin (auteur canadien).

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Littérature : écrire l’Afrique, une passion pour Alain Maufinet

Jeudi 25 Août 2022 – 19:45

Qui est l’homme ? Comment s’est-il frayé la route vers le continent africain pour en être le porte-parole ? N’en prenez pas ombrage.  En effet, après avoir suivi les écrits des auteurs anciens : Chateaubriand, Victor Hugo, Balzac, Stendhal… Alain Maufinet sillonne longtemps l’Est de la France sous l’uniforme.

Séduit par d’autres lectures, d’autres cultures, il écrit de temps à autre. À l’aube de l’an 2000, il choisit une nouvelle carrière. Il aime les mots de la vie réelle, et ceux de la fiction. Avec un nom de plume, Alain Badirac, l’homme publie trois romans, « Passion clair-obscur », « La pluie soleil », « Les griffes de la vie » ; et un recueil de nouvelles, « Souffles de vies ».

Puis publiant le roman « Les larmes du désert » (Livre Actualité) avec son nom, il participe également au recueil de nouvelles Prix Gérard de Nerval, avec seize auteurs, « Un cadavre dans les dunes » (Arthémuse).  Dans l’intervalle, il préface deux romans du philosophe malien Fousseni Togola, « Bintou, une fille singulière » et « L’homme sirène ».

C’est alors qu’il rejoint JDH éditions. Son roman, « Le chant des brisants », inaugure la nouvelle collection littéraire : Magnitudes. Lors du premier confinement, Alain Maufinet participe avec d’autres auteurs à la publication de « Coronavirus, la dictature sanitaire » (collection Uppercut), « Stupeur et Confinements », « L’année s’annonçait belle, avec deux 20 » (Les Collectifs). Puis, à « Nos violences conjuguées. » et « À Sylvie, éphémère rencontre » (Les Collectifs).

Proposant, par ailleurs, des préfaces de romans de deux grands auteurs (Collection Atemporels) : Le colonel Chabert de Balzac, puis Aziyadé de Pierre Loti, l’an dernier il signe chez JDH éditions un collectif et deux nouveaux romans (collection Nouvelles pages) : « Les volets rouges » (collection Black files), « L’ombre de Marrakech », et « Otage au Mali » le tout récent. Ecrire l’Afrique est pour Alain Maufinet une passion, liée à des souvenirs et à une expérience dans ce continent, particulièrement au Mali en dénonçant dans son roman le martyr que vit ce pays à cause des terroristes qui, depuis 2012, font régner un climat morose au Sahel.

Aubin Banzouzi

Légendes et crédits photo : 

Photo: Alain Maufinet

En 2023, découvrez : Les larmes du désert, Quand resonne le glas et

un ouvrage que j’ai préfacé « Pensées pour moi-même » réflexions divisées en douze livres, rédigées en grec entre 170 et 180 par Marc Aurèle.

Et si ces liens vous suiviez ?

https://jdheditions.fr/revues/les-larmes

https://jdheditions.fr/team/alain-maufinet/

 

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le producteur de vos rêves par Alain MAUFINET

Bonjour.

 

Voulez-vous être le producteur des voiles de vos rêves ?

Je vous propose des voyages, des aventures au cœur d’une société blessé par des crises, des virus, des guerres, les folies des hommes (avec un grand H)… Rien ne m’indiffère, je souris en lisant ceux qui psittacisent[1], en particulier sur la liberté, je m’émerveille en découvrant de beaux écrits, je suis chagriné aussi souvent. Je ne juge pas, j’observe. Je ne me permets pas de donner des leçons, je traduis la vie, nos vies.

 

Je vous invite à me découvrir en lisant quelques collectifs :

« Coronavirus, la dictature sanitaire » (collection Uppercut).

« Stupeur et Confinements  » « L’année s’annonçait belle, avec deux 20 » (Les Collectifs).

« Nos violences conjuguées. » « À Sylvie, éphémère rencontre » (Les Collectifs).

« Cadavres écrits « , « Les volets rouges » (collection Black files).

Ou bien dans mes deux derniers romans :

L’ombre de Marrakech,

Otage au Mali (Roman préfacé par Fousseni Togola, philosophe et journaliste très connu dans les milieux intellectuels de son pays. )

 

[1] Psittaciser : répéter quelque chose comme un perroquet, sans en saisir le sens. Dérivé du latin psittacus : perroquet.

 

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Mais qui êtes-vous donc : Alain MAUFINET ?

Mais qui êtes-vous donc : Alain MAUFINET ?

Alors, je me présente à la manière d’un autre Alain, Alain DELON

Enfant solitaire, il apprécie les épopées que proposent les grands auteurs. Il voyage guidé par ces lectures, souvent accompagné par les auteurs romantiques. Se sentant à l’étroit entre la Garonne et les Pyrénées, il rêve d’équipées lointaines.

Le danger Soviétique se profile à l’Est. Il choisit d’être soldat, un soir de septembre 1969. Maréchal des logis-chef, il obtient rapidement ses galons d’officier. Il sillonnera pendant prés de vingt ans les terres de l’Est de la France. Il s’entraine, il attend. C’est un peu, son désert des tartares. Il lit beaucoup.

Jeune, il était marqué par les pages du passé. Désormais, il se tourne vers les pages à écrire.

Il propose ses nouvelles pour des publications militaires, le mur de Berlin tombe. Le risque soviétique s’efface. Il l’avait écrit, mais son approche avait été jugé utopique dans le cadre de l’école de guerre. Ses nouvelles missions, à l’Etat-major des armées, l’entraine loin de la métropole, en particulier vers l’Afrique Francophone. Il y vit des aventures captivantes. Il partage des cultures et des mondes nouveaux, et noircit des pages d’écolier.

Il est nommé successivement chevalier de l’ordre national du mérite, puis chevalier de la légion d’honneur.

A l’aube de l’an 2000, Colonel, il quitte l’uniforme et change de vie. L’immobilier le capte. Il aime les mots de la vie réelle, il adore ceux de la fiction. Il décide d’écrire. Il imagine les secrets des hommes et des femmes qu’il croise. Il goute de les peindre. Quelques épais manuscrits remplissent maintenant sa giberne.

 

Parlons écrits;

2010/2014.

Avec un nom de plume, ALAIN BADIRAC.

Je publie trois romans : Passion clair-obscur. La pluie soleil. Les griffes de la vie, et un recueil de nouvelles : Souffles de vies. (Libre Label).

 

2017/2018.

Je publie avec mon nom.

Participation au recueil de nouvelles Prix Gérard de Nerval, avec 16 auteurs : Un cadavre dans les dunes (Arthémuse).

Un roman : Les larmes du désert (Livre Actualité).

 

2020.

Je préface deux romans du philosophe Malien : Fousseni Togola.

Bintou, une fille singulière.

L’homme sirène.

 

Je rejoins JDH éditions.

Mon roman, Le chant des brisants, inaugure la nouvelle collection littéraire : Magnitudes.

 

Lors du premier confinement, je participe avec d’autres auteurs à :

« Coronavirus, la dictature sanitaire » (collection Uppercut).

« Stupeur et Confinements  » « L’année s’annonçait belle, avec deux 20 » (Les Collectifs).

Puis, à « Nos violences conjuguées. » « À Sylvie, éphémère rencontre » (Les Collectifs).

Je propose des préfaces de romans de deux grands auteurs (Collection Atemporels) : Le colonel Chabert de Balzac, puis Aziyadé de Pierre Loti.

 

En 2021.

Chez JDH éditions, je propose un collectif et deux nouveaux romans (collection Nouvelles pages) :

Avec plusieurs auteurs : « Cadavres écrits « , « Les volets rouges » (collection Black files).

L’ombre de Marrakech,

Otage au Mali (Roman préfacé par Fousseni Togola, très connu dans les milieux intellectuels de son pays. Il est détenteur d’un Master philosophie qu’il enseigne.)

En 2022.

Conduit un nouveau collectif JDH : Les « Diva » cool ne le sont pas.

( Ce collectif propose soit des phases de vie d’artistes plus ou moins éphémères qui ont flirté avec le succès, soit celles de créateurs installés, invivables au quotidien.)

Puis, une nouvelle participation dans une suite envisagée de « Cadavres écrits »

Puis

Venez me découvrir : https://jdheditions.fr/team/alain-maufinet/

Un lien :

www.youtube.com/channel/UC6wQLxM06LuaKRgzKaE9mKg

 

Amicalement.

 

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Il était une fois.

 

Il était une fois…

 

Un auteur est un être passionné. Nous pouvons tous écrire, raconter des tranches de vies ou des phases d’imagination. L’auteur transporte son lecteur dans une autre dimension. Gustave FLAUBERT disait : « Il m’arrive de supprimer au bout de cinq ou six pages, des phrases qui m’ont demandé des journées entières. »

Première pause : quelques mots, Le chant des brisants.

« Arnaud l’avait surnommée ma petite griotte, pour la première fois. Claire avait souri, d’un sourire indéfinissable. Il était à la fois tendre, amoureux, reconnaissant. Elle avait porté une de ses mains à ses lèvres. Arnaud sentit le bout de sa langue qui devisait avec sa peau. À son réveil, Claire était partie. Elle avait disposé une cordelette de « Je t’aime », avec des biscuits et deux diamants sur son oreiller. Son parfum inondait une petite page couleur saumon. »

 

Lors des séances de dédicace, je croise des visiteurs qui jettent un rapide coup d’œil à mes couvertures de romans. Peu avant, ils feuilletaient des livres dans les rayons. Devant mes écrits, ils me disent qu’ils ne me connaissent pas, que mes romans ne correspondent pas à leurs attentes. Ils s’éloignent sans avoir daigné découvrir.

Pause suivante : un extrait, Otage au Mali.

« Il tente une question, elle lui plaque une main froide et énergique sur la bouche. Des minutes pesantes s’écoulent. L’on peut percevoir des éclats de voix et même le crépitement d’une arme automatique. Le danger est encore lointain. Des ailes claquent. Un cormoran se pose sur un bord de pirogue. De son œil inquisiteur, il semble évaluer les passagers de l’esquif. Un autre le rejoint avant de repartir comme il est apparu.

— Que faisons-nous sur le Niger ?

La jeune femme observe les alentours sans bouger à l’aide d’un petit miroir qu’elle manie discrètement sur le bord de l’embarcation. »

 

Lors des temps morts, je feuillette quelques ouvrages. Je suis souvent déçu. Les publicités et les prix me paraissent de bien mauvais guides. Je retrouve l’élan, le souffle pour proposer mes romans. Quelquefois, je trouve un ouvrage fascinant. Je note pour l’obtenir plus tard.

Dernière pause : quatre phrases, L’ombre de Marrakech.

« À côté d’un autre volet agrippé par l’intrus, une voisine tourne les pages d’un livre, où un vampire progresse sur une façade à la recherche d’une jeune proie, de sang frais. Une ombre fugitive, en voilant sa fenêtre, la fait frissonner. Elle entend un vol de pigeons et pense percevoir ces petits sons qu’émettent les chauves-souris. Puis, elle se rassure en se disant qu’elle parcourt une fable, avec des personnages imaginaires. »

 

Certains passants écoutent, félicitent, échangent. Merveilleuses rencontres pour un auteur, même s’il ne dédicace pas toujours. Merci à toi jeune fille qui a enlevé tes écouteurs pour partager ! Merci à vous, madame pour ce livre que vous comptez offrir à votre mère. Merci à vous, monsieur pour ce roman que vous allez offrir à votre femme qui souhaitait obtenir le prix Goncourt de l’année.

 

Dites-nous tout, monsieur l’auteur.

 

2011/2014.

Avec un nom de plume, ALAIN BADIRAC.

Je publie trois romans : Passion clair-obscur. La pluie soleil. Les griffes de la vie, et un recueil de nouvelles : Souffles de vies. (Libre Label).

 

2017/2018.

Je publie avec mon nom.

Participation au recueil de nouvelles Prix Gérard de Nerval, avec 16 auteurs : Un cadavre dans les dunes (Arthémuse).

Un roman : Les larmes du désert (Livre Actualité).

 

2020.

Je préface deux romans du philosophe Malien : Fousseni Togola.

  • Bintou, une fille singulière.
  • L’homme sirène.

 

Je rejoins JDH éditions.

  • Mon roman, Le chant des brisants, inaugure la nouvelle collection littéraire : Magnitudes.

 

  • Lors du premier confinement, je participe avec d’autres auteurs à :
  • « Coronavirus, la dictature sanitaire » (collection Uppercut).
  • « Stupeur et Confinements  » « L’année s’annonçait belle, avec deux 20 » (Les Collectifs).
  • Puis, à « Nos violences conjuguées. » « À Sylvie, éphémère rencontre » (Les Collectifs).
  • Je propose des préfaces de romans de deux grands auteurs (Collection Atemporels) : Le colonel Chabert de Balzac, puis Aziyadé de Pierre Loti.

 

En 2021.

Chez JDH éditions, je propose un collectif et deux nouveaux romans (collection Nouvelles pages) :

  • Avec plusieurs auteurs : « Cadavres écrits « , « Les volets rouges » (collection Black files).
  • L’ombre de Marrakech,
  • Otage au Mali (Roman préfacé par Fousseni Togola, très connu dans les milieux intellectuels de son pays. Il est détenteur d’un Master philosophie qu’il enseigne.)

 

https://jdheditions.fr/team/alain-maufinet/

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JDH ÉDITIONS : Quatre nouveautés à l’honneur ! Dont le nouveau Gildas Thomas…

Voici 4 nouveautés sorties chez JDH EDITIONS cette semaine!

-« Je suis là » de Gildas Thomas, collection NOUVELLES PAGES

Après « le dilemme » (10ème meilleure vente du premier semestre 2021 chez JDH, présent sur le podium de mai), l’artiste Gildas Thomas poursuit sur ce qui se passe dans les hôpitaux. Cette fois il nous emmène au coeur d’une problématique cruciale : le coma et l’euthanasie.

Être à la place du mort, ce n’est pas idéal. Et, si Pierre n’est pas mort, c’est tout comme pour les autres. Il est dans le coma. Dans un coma infernal qui malheureusement ne lui retire pas sa conscience.
Les visiteurs se succèdent à son chevet, d’abord la famille, ensuite les proches et enfin le personnel médical. Et tous ont un avis sur la situation.
Depuis son lit, il ne peut qu’entendre sans intervenir et il mesure alors à quel point il ne connaît pas son entourage. Il entend à quel point ils sont tous en conflit, non seulement sur la direction à donner à son état, mais aussi entre eux.
Pierre a signé des documents légaux sur son propre devenir avant de se retrouver cloué sur ce lit d’hôpital.
Mais il les a signés sans savoir.
Il les a signés quand tout allait bien pour lui.
Aujourd’hui, s’il pouvait revenir en arrière !
Si seulement il avait su !
Parce qu’il veut vivre !
Vous l’entendez ?
Il veut vivre…

Non sans humour, Gildas Thomas signe avec ce roman un texte intimiste et éclairé sur la problématique de l’euthanasie. Il invite le lecteur, à travers les pensées et les introspections du personnage principal, à réfléchir sur « le choix de fin de vie ». Comme il aborde la question plus générale de la connaissance réelle que l’on a de ses proches, et la question plus vaste du sens de l’existence.

Une couverture unique et exceptionnelle signée Yoann Laurent-Rouault, pour JDH EDITIONS.

 

-« La couleur des âmes blanches » de Philippe Buffarot.

Toujours dans la collection « Nouvelles Pages », un roman sur l’adoption, sur la multiculturalité, sur la vie… Émilie, enfant du Vietnam, a été adoptée par un couple de Français. La jolie petite fille timide venue des troubles de l’Asie s’adaptera rapidement à sa nouvelle vie de famille et se métamorphosera en quelques années en une redoutable compétitrice. Ses parents adoptifs l’ont élevée dans l’univers du tennis et maintenant, elle se destine à une carrière de joueuse professionnelle.
Arthur, un jeune homme aux semelles de vent, assoiffé d’aventure, croisera Émilie au cours de l’un de ses voyages, par un hasard que seule la vie est capable de produire. Leur rencontre va définitivement bouleverser leurs existences. Tandis qu’un sentiment amoureux naît entre eux, ils découvrent l’impensable.
Ce roman voyageur et humaniste de Philippe Buffarot vous invitera page après page à découvrir un récit qui fait la part belle aux sentiments les plus essentiels d’une vie. L’auteur aborde aussi intelligemment les thèmes récurrents en littérature de la recherche des origines et du destin, à travers ses deux personnages principaux. Un livre de la collection Nouvelles Pages chez JDH Éditions, à découvrir sans tarder.

-« L’ombre de Marrackech » de Alain Maufinet.

Encore dans la collection « Nouvelles Pages », voici le deuxième livre de notre Colonel! Après « Le chant des brisants » qui avait, ne l’oublions pas, ouvert la prestigieuse collection MAGNITUDES, cette fois Alain Maufinet s’intéresse à Marrakech.

Médéric et Robert Spencer, dit Bob, sont contraints de quitter l’uniforme. Leur passé d’anciens commandos les conduit à monter une agence privée, par laquelle ils exécutent toutes sortes de contrats, allant du vol d’un dossier à une enquête pour disparition inquiétante.
Désabusé, Bob trouve la stabilité auprès d’une infirmière. L’âme meurtrie, Médéric rencontre fugitivement Dominique, qui va l’entraîner vers les remparts mystérieux de Marrakech.
Après avoir été sollicités par la meilleure amie de Dominique, disparue mystérieusement, les deux anciens militaires vont être amenés à voyager jusque dans la Ville Rouge pour tenter d’éclaircir ce mystère. Entre policiers corrompus et course-poursuite en quad dans le désert, Médéric et Bob ne pourront se fier qu’à leur instinct pour retrouver la belle disparue.

À travers L’ombre de Marrakech, Alain Maufinet nous livre un décor paradisiaque, nous faisant voyager du désert aux somptueuses bâtisses colorées où le thé à la menthe est servi chaque jour, à l’ombre du soleil écrasant. Mais attention : il est possible que l’ombre vous suive encore, même à votre retour de Marrakech…
L’ombre de Marrakech, un livre de la collection Nouvelles Pages, chez JDH Éditions.

-« Hyper-sensible, méga fracassé » de Gilles Nuytens, dans la collection UPPERCUT.

La collection UPPERCUT compte des best-sellers et de très belles ventes : « Je ne pouvais pas les laisser mourir », « Non, l’Etat ne nous protège plus! » ou encore « Coronavirus, la dictature sanitaire »… Elle compte aussi des pamphlets absolument remarquables comme « Tu n’iras pas à l’école mon fils » écrit par Yoann Laurent-Rouault, et préfacé par Jean-David Haddad.

Aujourd’hui, c’est Gilles Nuytens, notre artiste belge qui en est à son deuxième livre chez JDH, qui s’attaque à l’hyper-sensibilité.

L’hypersensibilité, terme très en vogue ces dernières années, est un fonctionnement cérébral particulier qui touche près d’un quart de la population mondiale. Mais ne vous y trompez pas : ce n’est ni une maladie ni un trait de caractère. Ce n’est pas non plus de la psychologie de comptoir comme beaucoup se l’imaginent.

Atout majeur dans la vie, elle peut pourtant, telle une voiture de course ultra performante, subir les inconvénients de ses performances. Un côté sombre parfois tellement envahissant qu’il peut mener à des drames et occulter tous les bénéfices, comme nous l’explique Gilles Nuytens dans ce pamphlet rédigé au vitriol.

Dans ce texte, il dénonce avec force l’incompréhension de la population. Alors plutôt que de juger et faire des reproches à longueur de temps, pourquoi n’essayeriez-vous pas de comprendre ? Car davantage que toute autre personne, les hypersensibles ont besoin de soutien.

Et vous, seriez-vous hypersensible sans le savoir ? Peut-être vous reconnaîtrez-vous dans ce texte…

 

JDH EDITIONS

 

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JDH ÉDITIONS et le COVID : une riche production !

JDH Éditions a la capacité, grâce à son modèle communautaire, de pouvoir mobiliser facilement des auteurs sur un sujet spécifique.

JDH Éditions a la flexibilité qui lui permet de modifier son calendrier de production si nécessaire pour intégrer un sujet brûlant d’actualité.

JDH Éditions a la rapidité, grâce à l’impression à la demande, pour pouvoir dégainer très vite.

Ainsi, lorsque les restrictions ont été prononcées, en Italie puis en Espagne, début mars 2020, plusieurs auteurs ont senti qu’elles viendraient en France et se sont exprimés via un pamphlet collectif qui a fait date : « Coronavirus, la dictature sanitaire » publié exactement le 14 mars 2020 donc avant le discours macroniste du 17 mars.

Puis, restant en pointe sur ce sujet d’actualité qui a éclipsé l’effondrement du World Trade Center et la crise des subprimes en tant que thème majeur du (toujours) jeune siècle, JDH Éditions a enchaîné les publications.

Informer.

Donner la parole.

Permettre le débat contradictoire.

Il y a les pros-restrictions d’un côté, anti-restrictions de l’autre; nous avons donné la parole aux deux camps.

Il y a ceux qui minimisent la pandémie d’un côté, ceux qui en ont souffert ou en souffrent d’un autre côté; nous avons donné la parole aux deux camps.

Il y a ceux qui voient le négatif dans cette crise, le mal, le contrôle des populations; et ceux qui voient le côté positif, la résilience des modèles de management; là encore nous avons donné la parole aux deux camps.

JDH Éditions compte près de 150 références de livres au compteur de sa bibliothèque. Parmi elles, une dizaine qui traitent, directement ou pas du COVID. Nous avons été en pointe sur le sujet. Nous vous rappelons l’existence de ces livres, et notre éditeur fera une vidéo spéciale de « Livres en vrac » pour les re-présenter.

-« Coronavirus, la dictature sanitaire ». Pamphlet collectif clairement anti-restrictions, comme un coup de poing au tout début de ce qui se mettait en place.

-« Stupeur et confinements », un collectif de témoignages, le premier du genre sur le confinement. Des auteurs ont raconté leur vécu, leur ressenti, en plein premier confinement, dont nous nous souvenons de la dureté.

-« Je ne pouvais pas les laisser mourir » du Docteur JJ Erbstein, publié en fin de premier confinement. Ce récit pamphlétaire, devenu un best-seller (3ème meilleure vente JDH en 2020 et premier sur les podiums de janvier et février 2021), a été le premier livre où un médecin s’est exprimé, levant l’omerta médicale, racontant comment, en très peu de temps, les cabinets médicaux de province, ceux-là même qui sont oubliés de notre administration centrale, sont devenus des champs de bataille, des lieux de souffrance où il a fallu se battre avec abnéga­tion, presque à mains nues.

-« Face au monde d’après » de notre éditeur en personne, professeur agrégé d’économie et de sciences sociales, qui projette ce que pourrait être la décennie qui arrive en raison de cette crise qui va modifier beaucoup de choses. N’oubliant pas qu’il conseille des milliers de particuliers quotidiennement sur leurs finances, JDH donne aussi dans ce livre des conseils patrimoniaux pour affronter cette décennie.

-« Le meurtre du bon sens » de Gilles Nuytens est peut-être le cri qui s’élève le plus fort contre la « dictature sanitaire ». Un texte enflammé, une vision des choses, que vous approuverez… ou pas, mais qu’il faut lire pour comprendre les arguments des « anti » car tout est bien posé sur la table et décortiqué.

-« Petit traité philosophique d’une confinée du peuple » d’Anne-Sophie Tredet. Troublante, dérangeante, intimiste, séduisante, délicieusement femme et incroyablement « elle », cette jeune femme s’amuse avec une profondeur philosophique certaine à décortiquer son confinement.

10ème meilleure vente JDH de 2020.

-« Maladie X ». Ce n’est pas le COVID mais ça y ressemble énormément… Date pour date quasiment… « Maladie X  » est un roman de science-fiction publié en pleine deuxième phase de confinement.

-« Le dilemme » de Glidas Thomas est un court récit d’un homme meurtri car il a filé le COVID à son père, et que ce dernier en est mort, une mort face à laquelle il a été impuissant. Le COVID chez JDH, c’est aussi cela.

-« Résilience et leadership sans blabla » est un livre de témoignages très positif, quant à lui, de chefs d’entreprises et de leaders qui ont su utiliser cette crise pour se réinventer et défier les modèles de management. Ils ont surmonté le COVID, ses restrictions et ont grandi! Préfacé par notre éditeur lui-même.

-Et n’oublions pas LE débat.

Etes-vous pour ou contre le port du masque?

Les deux ont la parole…

 

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