Laurent Dencausse, professeur d’anglais en région toulousaine, a toujours écrit. Quelques poèmes, quelques micronouvelles, écrire est devenu pour lui une sorte de white-spirit mental, essentiel pour éliminer les boulettes de goudron que quelques années d’Éducation nationale ont déposées sur sa frêle carcasse. Ceci est son premier roman, mais certainement pas le dernier.