Mélanie Talcott

Mélanie Talcott

Écrire est un plaisir et un luxe. Je fais partie de ceux qui écrivent, en se foutant comme de l’an quarante, de la notoriété, simplement parce que la musique des mots leur colle à l’âme. Nous écrivons pour le plaisir, pour nous perdre et nous trouver, une traduction de nous-mêmes sans ostentation, avec l’exigence de le faire bien. L’acquisition besogneuse d’un style, une patience infinie, un travail de fourmi taupinière… La solitude se fait monacale, mais aussi complice du monde, de ce que j’en sais et de ce que j’en ignore. Mais, la tête dans les étoiles, je reste toujours les pieds sur terre. Je suis une nomade de la vie et de l’écrit. – Mélanie Talcott –

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Renaud Sermon

« Je suis né à Angers au bord d’une rivière. J’ai passé ma tendre enfance entre un moulin et une île. Des allers-retours entre l’Anjou et la Flandre de mes origines, ou des vacances en Catalogne de mes racines qui porte le nom de Fluvia ou Emporda.

J’ai passé mon adolescence en Vendée. J’ai commencé par écrire des nouvelles à la fin du primaire et au collège. J’ai passé des bacs de lettres-philo et de sciences. Au lycée, j’ai commencé à écrire de la poésie et j’ai fait une rencontre déterminante avec une professeure de français qui m’a appris les pluriels et les singuliers, et surtout les virgules.

J’ai ensuite vécu en Bretagne, où j’ai fait des études de droit au cours desquelles j’ai pu rédiger de nombreux travaux de recherches dont des étudiants en thèse ou des professeurs pouvaient librement s’inspirer. À la fin de ces études, j’ai côtoyé de près le milieu politique en pleine dissolution de l’Assemblée Nationale. J’ai habité Paris, pour préparer l’ENA à l’Université de Panthéon Sorbonne. À cette époque, j’ai soumis une nouvelle à mon premier concours littéraire à Nanterre.

De retour en Bretagne, où je me suis marié, j’ai toujours travaillé dans le secteur des assurances.

J’aime beaucoup marcher et j’ai eu la chance de le faire à Amorgos, à Barcelone, à Londres, en Martinique et en Guadeloupe. Mes expériences américaines sont contrastées entre New York, Las Vegas, Los Angeles, San Francisco et le désert de Joshua Tree Park, du Grand Canyon et Bryce Canyon. Emprunter la route 66, entre l’Arizona et l’Utah…

Je vis entre vert et mer. »

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Landru

Auteur de la fieffée nouvelle du Pinceau, de la Banquière et du Vélo : coquine, photographique, immorale, théâtrale, drôle et sinistre à la fois.

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Pr Jean Costentin

Jean Costentin est docteur en médecine, pharmacien, docteur ès sciences, Professeur émérite de la faculté de Santé de Rouen ; ancien directeur de l’unité de neuropsychopharmacologie du CNRS (1984-2008) ; ancien directeur de l’unité de neurobiologie clinique du CHU de Rouen (1999-2011) ; ancien président de l’académie des Sciences, Belles Lettres et Arts de Rouen (2018-2019) ; membre titulaire de l’académie nationale de Médecine ; membre titulaire de l’académie nationale de Pharmacie ; membre du collège de l’Agence française de lutte contre le dopage.

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Arnaud Dangoisse

Professeur des écoles depuis plusieurs années, l’un des premiers objectifs d’Arnaud Dangoisse a été de transmettre l’amour de la littérature à ses élèves. Petit, il était un grand dévoreur de livres et ils lui ont permis à la fois de s’évader, de découvrir des contrées inexplorées, de vivre des aventures palpitantes ou tout simplement de se laisser guider par la mélodie des mots. C’est cette passion qui l’a entraîné dans l’écriture. Après « Mathieu et l’enfant du Rwanda » et « Butaré, boîte postale 315 », Arnaud Dangoisse publie chez JDH Éditions une saga qui se déroule dans l’univers équestre : « Brillante, une jument pour deux destins ».

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Badis Diab

Au-delà de son activité d’acteur social sur plusieurs continents et plus de 71 pays, Babis Diab est un auteur remarquable et ses textes sont empreints d’humanisme, de philosophie et de bon sens, « décrassent l’esprit » et « détruisent » ces idées reçues qui malheureusement servent une mondialisation où l’exclusion est reine. Son action humanitaire, dont vous trouverez une synthèse en postface de cet ouvrage est remarquable.

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Carlo Sibille Lumia

Journaliste de presse écrite depuis désormais huit ans, Carlo Sibille Lumia se dit passionné par les voyages désorganisés, le sport, les histoires qui finissent mal et le whisky… tourbé, de préférence ! À 31 ans, il passe le plus clair de son temps à noircir les pages du Républicain Lorrain – le quotidien régional que lisent attentivement devant leur café du matin ses grands-parents. Le reste du temps, il le consacre à la découverte de lieux où il peut laisser libre cours à son imagination, stylo et verre (un seul, promis, pas plus) de whisky à portée de main. Que ce soit au Japon, en Islande, aux États-Unis ou ailleurs…

Doté d’une appétence particulière pour le traitement des faits divers, il s’occupe entre autres de la chronique judiciaire de Moselle-Est et assiste donc, chaque semaine, aux audiences correctionnelles du tribunal de Sarreguemines. Il a également assisté à de nombreux procès devant les cours d’assises de Paris et de Nancy dans le cadre de ses précédents postes, de quoi plonger au plus profond de la noirceur de l’âme humaine et inspirer certains de ses personnages…

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Philippe Buffarot

Banquier de profession, natif de l’Est de la France, attaché aux terres du Sud-Ouest, puis Nantais d’adoption, il est venu sur le tard vers l’écriture. D’abord vers la poésie, pour son univers si vaste, la magie des mots associés, la finesse d’une rime. Une vingtaine de poèmes a vu le jour, sans publication. Peu à peu, l’envie d’investir une écriture différente, faite de personnages humains, de trajectoires de vie, de descriptions, a pris le dessus. Une forme de curiosité naturelle, alliée à ses lectures, ses voyages, ses observations du monde, inspirent ses écrits.
« La couleur des âmes blanches » est son premier roman.
« Alice n’avait pas la moindre idée de ce qu’était la latitude, pas plus d’ailleurs que la longitude, mais elle jugeait que c’étaient de très jolis mots, impressionnants à prononcer. »
Cette phrase extraite du roman de Lewis Carroll « Les aventures d’Alice au pays des merveilles » résonne en moi. Les mots ont cette magie, cette part de mystère, qui font que l’on peut les aimer sans même les connaître ni les comprendre. Les débusquer, les associer, les imaginer, les intervertir, jouer avec leur musicalité, procure un plaisir particulier sans limites. Bien au-delà du sens des phrases qu’ils forment, les mots nous procurent des émotions si singulières. Ils nous apportent à la fois l’évasion et une exceptionnelle ouverture au monde. Ils stimulent notre imaginaire et notre réflexion dont ils sont pourtant les fruits, car comme l’écrit Michel Bouthot : « le mot juste aiguise la pensée. »
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Lamia Aamou

Lamia Aamou, née au Maroc, nous fait le récit de son immigration en France à l’âge de 23 ans, de son intégration professionnelle réussie comme cadre de la section de l’innovation et de la recherche auprès de la RATP. Philosophie, amour et humour émaillent ce récit voyageur.

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Coralie Griso

Auteure ayant participé au collectif Monoparentalité, course en solitaire, avec sa nouvelle intitulée « C’est moi qui les aime ».

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