Actualité

Ayako teppanyaki : le sublime dans notre assiette

Ayako teppanyaki : c’est le nom d’un restaurant japonais situé dans le 14e arrondissement de Paris, 67 rue de l’Ouest très exactement.

Ma deuxième expérience culinaire dans ce restaurant confirme à la fois l’aspect très convivial et détendu, autour du teppanyaki (la grande table de cuisson où les plats sont préparés en direct par le très talentueux chef cuisinier) de ce restaurant, mais elle confirme aussi le côté sublime et la précision extrême de la cuisine proposée. Que ce soient pour les plats réalisés sur la plaque, où les produits sont excellents, tant au niveau des viandes que des poissons, que pour les sushis et autres makis. A noter aussi les sauces maison qui accompagnent parfaitement les plats, les assaisonnements et le choix de vins et de sakés à la carte.

Il ne s’agit pas réellement d’un restaurant surfant sur la vague dite fusion, mais d’une cuisine japonaise ouverte sur le monde, avec par exemple la réinterprétation selon le chef du ceviche péruvien. A noter que le chef est d’origine chinoise, et que ces deux cuisines ont en commun la précision extrême et le sens de la perfection.

Les prix restent très corrects pour un restaurant de ce niveau sur Paris. Par exemple, le saumon au teppanyaki est à 23 euros, avec bien sur ses garnitures, l’entrecôte Angus est à 28 euros, préparée devant vous, avec une découpe parfaite. Dans n’importe quelle brasserie lambda, à Paris, le prix moyen d’une entrecôte ou d’un pavé de saumon sont dans les mêmes eaux. Mais ici, le sublime est en plus!

Jean-David Haddad

Editeur

 

En savoir plus

Les auteurs financiers de JDH EDITIONS en dédicace au salon de l’Analyse Technique le 22 mars 2024!

Nos lecteurs pourront retrouver Jean-David Haddad au salon de l’analyse technique le vendredi 22 mars de 9h à 19h! Adresse : « New Cap Event Center – 3, Quai de Grenelle 75015 Paris »

Le salon annuel d’André Malpel verra donc sa présence sous la bannière JDH EDITIONS.
Personnellement, JDH dédicacera ses livres de 10h45 à 11h45 et de 17h15 à 18h15 sur le stand numéro C3.
Pour vous inscrire gratuitement c’est ici :
www.salonat.com#inscription

JDH dédicacera ainsi ses deux derniers livres : « Bien démarrer en bourse » et « Analyse fondamentale et analyse technique », tous deux publiés dans la collection LES GUIDES DE FRANCEBOURSE.COM
Le livre INFLATION sera aussi en dédicace.

Vous pourrez aussi commander en pré-vente (pour le recevoir dédicacé) son prochain livre « Penny-stock trading ». Parution prévue en avril mais vous serez dans les premiers en le commandant sur le stand.

Il reste très peu d’évènements liés à la bourse, à destination d’un public d’actionnaires individuels en France ; il faut donc en profiter!
Il y aura aussi en dédicace :

-Gilles Santacreu pour son livre « Maitrisez la bourse! » à 14h15

-Thomas Andrieu qui dédicacera son livre « Révolution Cryptos » et ‘L’or et l’argent » ainsi que son dernier livre « Création et destruction », à 15h15

-Romain Daubry qui dédicacera son livre « Trading à effet de levier » à 16h15

Venez nombreux pour nous rencontrer!

JDH EDITIONS

En savoir plus

Pour gagner en bourse : analyse fondamentale ou analyse technique?

Pour appréhender le cours d’une action, ou même d’un autre actif comme l’or, le pétrole, le dollar, ou encore celui d’un indice boursier, et savoir si vous devez acheter ou vendre, vous avez à votre disposition deux grandes catégories d’outils : l’analyse fondamentale et l’analyse technique, dite aussi analyse graphique.

-L’analyse fondamentale consiste à étudier les fondamentaux des sociétés cotées, c’est-à-dire leurs indicateurs de santé économique et financière. Elle est basée sur le principe selon lequel la valeur réelle d’un actif (comme une entreprise mais aussi un immeuble, une matière première, etc) est déterminée par des éléments concrets, quantifiables et objectivables. Elle part du principe selon lequel si la valeur que donne le marché à cet actif s’écarte de trop de cette valeur objective, alors tôt ou tard, les deux valeurs finiront par converger. Avec l’analyse fondamentale, c’est le règne du rationalisme et du cartésianisme. Le règne de l’objectivation aussi.

-L’analyse technique, ou graphique, consiste à étudier les évolutions graphiques des cours de bourse des sociétés en question. Le principe de base est de dire qu’il ne faut pas regarder les fondamentaux mais que toutes les informations sont contenues dans les graphiques. Les évolutions des prix donneraient en effet toutes les informations nécessaires sur le sentiment des investisseurs et les potentiels mouvements de prix à venir. De nombreuses méthodes différentes d’approche co-existent, plus ou moins mathématiques, et plus ou moins déterministes. Certaines considérant que l’histoire se répète. Avec l’analyse technique, c’est le règne de l’irrationnel et de l’appréhension par les figures géométriques des mouvements de foule, qui sont à l’origine des fluctuations du marché. C’est aussi le règne de la subjectivité. Car plus on creuse, plus chacun verra une figure différente de celle de son voisin.

Pour schématiser, l’analyse fondamentale aide à faire de bons choix, l’analyse technique aide à choisir des actions (ou des prises de positions) au bon moment. La combinaison des deux permet d’effectuer les bons choix au bon moment !
Le trader s’intéressera quasi-uniquement à l’analyse graphique, cela va sans dire. Les fondamentaux ne lui seront pas d’un grand intérêt, surtout s’il trade des indices boursiers, comme cela est souvent préconisé. A la rigueur, s’il trade des actions, il peut éventuellement essayer de se positionner juste avant des annonces de résultats s’il connait bien l’entreprise dont il va trader l’action.

Le rentier ne s’intéressera qu’à une partie de l’analyse fondamentale, celle qui concerne le rendement et les perspectives de rendement. Il pourra néanmoins quelque peu se servir des graphiques pour optimiser son investissement.
Le boursicoteur ou investisseur boursier, qui vise à faire des plus-values sur un horizon de quelques mois ou quelques années, aura tout intérêt à mélanger équitablement les deux approches afin d’optimiser ses zones d’achat et ses zones de vente.
Aussi, bien que tout oppose les deux méthodes d’analyse et de décision, il faut savoir que les professionnels des marchés utilisent les deux et combinent les deux. En effet, quand les signaux convergent, les chances de réussite croissent, c’est évident. Même si le 100% est impossible en bourse.

Jean-David Haddad, co-fondateur et rédacteur en chef de Francebourse.com, président et éditeur de sa propre marque JDH EDTIONS (qui compte plus de 300 ouvrages à son catalogue), publie son tout nouveau livre, « Analyse fondamentale et analyse technique : Faites comme les pros de la bourse, les bons choix au bon moment ». Publié dans la collection corporate « Les guides de Francebourse.com », créée pour les particuliers qui investissent en bourse, et pour mettre en avant le site Francebourse.com.

 

JDH EDITIONS

 

En savoir plus

Yoann Laurent-Rouault interviewe le Président de EDICO (JDH EDITIONS), Jean-David Haddad

C’est un exercice presque rituel en fin d’année : l’éditeur interrogé par le directeur littéraire et artistique Yoann Laurent-Rouault.

L’interview porte entre autres sur le partenariat avec Robert Lafont.

YLR : Monsieur Jean-David Haddad, bonjour, et merci de nous accorder cet entretien de fin d’année, devenu maintenant presque traditionnel. Nous allons entrer directement dans le vif du sujet, car de nombreux auteurs sont inquiets sur le devenir des maisons d’édition françaises après cette année 2023 assez catastrophique pour la corporation. Nous avons tous constaté que de nombreuses maisons indépendantes ont disparu du paysage éditorial, dont certaines étaient importantes, alors, qu’en est-il pour JDH Éditions ?

JDH : Il est vrai que le monde de l’édition a beaucoup souffert de l’après-COVID. Les confinements et l’expérience traumatisante de cette période ont poussé nombre de gens à écrire, mais surtout à lire. Nous avons nous-mêmes publié plusieurs témoignages, plusieurs avis, voire plusieurs prises de position sur le sujet. Politiques comme sociétales et médicales.

YLR : Nous sommes tous d’accord, auteurs comme collaborateurs de maisons d’édition, pour dire qu’effectivement, la période COVID fut bénéfique au livre.

JDH : Oui, mais le retour à la réalité fut brutal. Comme l’écrit si bien un de nos jeunes auteurs, Thomas Andrieu, en expliquant les facteurs économiques de la théorie des cycles, la situation qui fut dans un premier temps bénéfique est redevenue ensuite normale, pour arriver sur ces derniers mois de l’année à une situation presque calamiteuse en termes de ventes de livres. Heureusement pour nous, chez JDH Éditions, nous avons anticipé et pris un virage d’importance, notamment en nous recentrant sur le livre économique d’une part et ensuite en travaillant sur la communication d’entreprises, par le biais du livre d’entreprise, mais aussi par des plans de communication livrés clefs en main pour des entreprises de tous secteurs.

YLR : D’où l’importance de se réinventer en permanence… La période est certainement l’une des plus difficiles que l’édition ait connues depuis ces 20 dernières années de l’avis général, mais j’ai constaté avec plaisir, que la maison d’édition JDH est nouvellement apparue comme partenaire dans de nombreuses publications externes à ses voies de communication habituelles ou dédiées, notamment avec le groupe de presse Lafont, et qu’on la retrouve aussi au générique de quelques émissions médias du Web.

JDH : Depuis que JDH Éditions existe, c’est-à-dire depuis 2017, le livre d’entreprise est présent au catalogue. Après avoir réalisé 2 livres, les choses se sont un peu tassées, car la littérature et l’économie ont monopolisé nos ressources. En 2022, nous avons renoué avec le genre et la cadence s’est fortement accélérée en 2023.

YLR : Effectivement, j’en suis témoin et participant et ce que l’on peut dire du livre d’entreprise, c’est qu’il offre un référencement jusque-là inédit et une visibilité remarquable aux entrepreneurs qui ont tenté l’aventure.

JDH : C’est vrai que le livre d’entreprise nous permet de faire coordonner l’action médiatique de JDH Éditions avec celle de différents partenaires médias et notamment, vous l’avez nommé tout à l’heure, le groupe Lafont Presse.

YLR : En 2 mots, Monsieur Haddad, la démarche pour réaliser un livre d’entreprise ?

JDH : Nous l’écrivons, c’est-à-dire que nous présentons un biographe et des partenaires capables de réaliser le livre à des chefs d’entreprise, ceci dans le but de leur fournir en finalité un outil de crédibilité et de notoriété pour leurs clients et leurs prospects. La mise en page est faite par nos équipes, tout comme la correction, la couverture, etc., et après pour la diffusion, il y a plusieurs options… On va dire que dans les formules les plus classiques, soit le livre est édité par le groupe Lafont Presse soit directement par nos soins. Le livre est bien entendu, classiquement, comme pour chaque publication de notre maison, référencé sur toutes les plateformes de vente de livres, de la Fnac à Cultura, aux librairies en passant par Amazon, etc.

YLR : Et à votre maison de proposer aussi des plans de communication…

JDH : Oui et avec de plus en plus de partenaires que nous sélectionnons évidemment avec le plus grand soin, comme le groupe TV Finance qui permet à nos clients d’avoir accès à des émissions de télévision professionnelles, diffusées sur La Tribune ou encore Le Figaro… et aussi quelquefois, suivant le sujet et suivant la notoriété de l’entreprise avec laquelle nous travaillons, d’obtenir des passages sur des chaînes du bouquet numérique, comme NRJ12 ou BFMTV par exemple.

YLR : J’ai aussi constaté que la maison JDH était très réceptive à ce qu’on appelle « le réseautage », et que vous-même étiez favorable au rapprochement de différentes entreprises, pas forcément concurrentielles d’ailleurs, pour qu’elles-mêmes puissent développer de nouveaux partenariats…

JDH : Tout à fait… Notre portefeuille clients s’étoffe en conséquence de nos publications et parfois nous repérerons des synergies possibles entre telle ou telle entité… cela fait partie de l’accompagnement que nous proposons… N’oublions pas que la société mère de JDH Éditions est la société EDICO. EDICO qui veut dire édition et communication. C’était le vœu de mon associée Cynthia Skorupa dès la création de l’entreprise.

YLR : Alors, pour illustrer les partenariats dont vous nous parlez, Monsieur Haddad, je vais maintenant citer une publication en particulier, qui n’est pas une publication d’entreprise, puisqu’il s’agit des Enquêtes d’Icare publiées chez Lafont Presse Éditions en feuilleton dans Le Journal de France et qui sont récemment devenues un livre que vous avez produit sous l’étiquette « Lafont Presse Éditions », mais qui est mis en page, corrigé et illustré par JDH Éditions… Pouvez-vous définir votre rôle par rapport à ce nouveau partenaire ? Car j’ai récemment lu une interview vous concernant où vous êtes présenté comme « directeur de collection » chez Lafont Presse Éditions…

JDH : Nous avons noué en 2023 un partenariat avec Robert Lafont. Et justement, tout est parti du livre d’entreprise et du fait qu’EDICO voulait proposer des plans médias aux différentes entreprises qui la contactaient ou avec qui elle travaillait. Donc nous nous sommes mis en relation avec le groupe de presse Robert Lafont Éditions qui gère un certain nombre de magazines, plusieurs dizaines, et qui par le fait pouvait proposer des solutions à nos clients. Mais, rapidement, nous avons été un peu plus loin, et Robert Lafont nous a proposé d’externaliser la production de ses publications et donc de créer des collections dédiées.

YLR : L’édition de presse et l’édition de livres n’étant pas du tout la même chose.

JDH : Exactement ! Sachant que chez EDICO nous avons les équipes pour produire des livres et donc tout est déjà en place. Ce qui n’est pas le cas pour notre partenaire.

YLR : Donc EDICO prend en charge la réalisation complète des livres que veut publier le groupe Robert Lafont Presse & Éditions ?

JDH : Et aussi, bien évidemment, la distribution du livre par les créneaux habituels de JDH Éditions.

YLR : Et donc Lafont Presse Éditions reste le propriétaire des livres édités et le responsable de la publication ?

JDH : Tout à fait, c’est son rôle officiel et légal. Quant à moi, je reste évidemment le président de ma société d’édition.

YLR : Donc c’est un partenariat tout simple où finalement EDICO et les équipes de production et de rédaction de JDH Éditions n’apportent que leur savoir-faire ?

JDH : Oui, et donc pour répondre complètement à la question, je tiens à préciser que je ne suis en aucun cas directeur de collection pour ce cher Robert Lafont, mais bel et bien un partenaire d’édition.

YLR : Donc vous êtes partenaire et prestataire, mais aucunement un directeur de collection détaché au groupe Lafont.

JDH : C’est tout à fait exact.

YLR : Parlons maintenant si vous le voulez bien, Monsieur Jean-David Haddad, de l’actualité de la maison d’édition. Très récemment, il y a eu un salon financier organisé par JDH Éditions qui a remporté un vif succès…

JDH : Oui, et un salon qui signifie aussi le retour de JDH sur la scène principale de l’édition de livres économiques.

YLR : Et dans le domaine, la maison a connu quelques succès, notamment sur des publications relatives au trading…

JDH : Nous avons acquis une véritable renommée dans le domaine, et aussi en publiant des livres intemporels sur l’économie, j’entends par ce terme les classiques du genre, comme nous allons également explorer en permanence de nouveaux territoires de l’économie avec des auteurs remarquables.

YLR : Comme le livre sur le trading à effet de levier de l’analyste économiste Romain Daubry ?

JDH : Oui et avec d’autres auteurs encore et aussi quelques surprises qui seront annoncées en temps voulu pour le premier semestre de l’année 2024.

YLR : L’économie passionne les foules, initiées ou non initiées, nous le constatons tous. D’autant que la situation internationale du moment n’est pas spécialement brillante et que nous sortons d’une grave crise liée à la pandémie du COVID-19. Cependant, j’observe en économiste amateur que les grands krachs boursiers qui ont été prédits, par certains auteurs de la maison JDH et par des chroniqueurs TV appartenant aussi au panel d’auteurs de la maison, ne se sont pas produits. Et qu’au contraire, l’économie qui est pourtant prise dans une situation à tiroirs, se maintient en créant une sorte d’économie adaptative, qui semblerait-il, a évité le pire au niveau des places boursières mondiales. Et donc vous publiez comme vous intéressez les lecteurs à ces techniques alternatives.

JDH : Oui, et je crois comprendre que vous faites référence au livre de Daniel Cohen de Lara, Le pouvoir d’Ichimoku, paru récemment.

YLR : Vous pouvez nous dire quelques mots sur ce livre ?

JDH : Il est à découvrir, c’est un très beau format couleur, presque artistique, et disons que c’est un livre d’analyses et de méthodes boursières et financières qui détonne par son originalité et surtout qui révèle et met en avant le fameux dispositif « Ichimoku ». Avec les Memoria Books et les nouveaux « performeurs » de l’économie, nous avons l’histoire et les bases de l’économie et aussi l’avenir de la discipline. L’économie est une matière vivante.

YLR : Mais revenons au salon économique JDH qui s’est tenu récemment.

JDH : C’était un événement festif, comme il y en a rarement dans ce secteur, qui s’articulait autour d’une conférence et de trois de nos auteurs qui présentaient leurs livres, avec nos partenaires de la soirée l’AFATE et Bourse Direct, le tout couvert par des journalistes de la télévision et de la presse écrite et numérique. L’événement a drainé un public international. Et j’y ai fait de très belles rencontres. Qui aboutiront à des projets, très certainement. Notamment pour de l’édition économique et politique.

YLR : Eh bien merci pour toutes ces précisions, Jean-David Haddad, et je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d’année, ainsi qu’à vos équipes, vos auteurs et vos partenaires. Un dernier mot ?

JDH : Merci à nos équipes et à nos associés d’avoir tenu le cap durant cette année particulièrement difficile, et merci à nos auteurs et à nos lecteurs. Bonnes fêtes de fin d’année à tous.

 

En savoir plus

L’antisémitisme français méritait bien un livre!

Un climat d’antisémitisme délétère…

Tandis que l’actualité voit en France une recrudescence de l’antisémitisme avec, depuis le 7 octobre, jour de l’attaque d’Israël par le Hamas, 83% des français se montrent inquiets, selon un sondage ELABE publié le 31 octobre.

Tags d’étoiles sionistes sur plusieurs immeubles à Paris et en banlieue, chants antisémites dans le RER, injures et menaces sur les réseaux sociaux… Le fléau a changé de camp, mais il reste le même.

Un livre publié le 11 octobre 2023, donc écrit bien avant le 7 octobre, retrace ce mal français.

Un livre unique qui travaille la mémoire collective

Ce livre n’est pas un livre sur l’antisémitisme comme les autres. Il ne s’agit pas d’un pur essai historique mais d’un essai documenté et illustré. S’appuyant sur de nombreux textes du domaine public : aussi bien des textes de justes comme Émile Zola (« J’accuse » est ici dans son intégralité) ou Anatole France, que des textes antisémites comme ceux de Barrès ou de Maurras. Ces textes sont commentés et reliés par Yoann Laurent-Rouault. Qui, en sa qualité de maître diplômé des Beaux-Arts de Rennes, a également illustré ces textes.

L’affaire Dreyfus occupe le coeur de cet ouvrage. Mais celui-ci, au fil des pages, remonte plus loin et étend aussi sa portée jusqu’à la Seconde Guerre mondiale et même jusqu’à nos jours. C’est dans le fonds littéraire international Memoria Books que ces textes compilés, illustrés et reliés par un profond fil conducteur trouvent logiquement leur place.

L’auteur, Yoann Laurent-Rouault, braque le projecteur sur une vérité nue : celle de l’antisémitisme et de l’antijudaïsme français. Au travers de l’affaire Dreyfus et du procès Zola, des guerres mondiales et des remous de la Ve République, et jusqu’à nos jours. C’est le plaidoyer des justes qui est ici mis à l’honneur. La documentation associée au texte fait état de vérités « françaises » que beaucoup préféreraient continuer d’ignorer. Comme :

-la liste des camps d’internement sous Vichy qui s’étire sur 6 pages,

-la liste « Otto » et la liste « Bernhard »

-la compromission de la presse et de l’édition au travers de grands noms de la littérature et de l’intelligentsia française.

Révisionnisme…

Il nous interroge également sur le phénomène du révisionnisme, que dans notre pays on ne saurait voir en trois couleurs, au nom du « politiquement correct » et d’une certaine idée de la France, comme pour servir un patriotisme cocardier, qui de tout temps a été générateur de crises et de conflits armés. Ici est faite la démonstration que la culture antisémite française qui s’étire sur plusieurs siècles donnera naissance à un courant littéraire moderne et à une pensée raciste et ségrégationniste qui fut un temps homologuée par l’académie et par l’État. « L’antisémitisme, dans les pays où il a une réelle importance, n’est jamais que l’arme d’un parti politique ou le résultat d’une situation économique grave, écrivait Zola. La phrase est pertinente, et ce que je constate aujourd’hui, c’est que pour une certaine France, si « le Juif » est coupable de tout, il est avant tout coupable d’être juif. »

A découvrir dans le fonds « Mémoria Books ». En vente sur Amazon, Fnac, etc.

 

 

En savoir plus

PODIUM du mois d’octobre

Sur un « tout petit mois » au niveau des ventes, Thomas Andrieu s’impose sur la première marche avec son essai sur les cycles économiques et humains. C’est le cinquième livre de ce jeune homme de 20 ans.
Sur la 2e marche, le collectif TUEUSES qui relate des faits réels montrant que les meurtres ne sont pas que des féminicides
Sur la 3e marche, on retrouve Jean-Luc Cadeddu, publié chez Lafont Presse Editions. Un polar remarquable, qui était sur la première marche en septembre avec plus de 500 ventes.
Peut être un graphique de texte
En savoir plus

Interview de Daniel Cohen de Lara, pour son livre très remarqué sur Ichimoku

Daniel Cohen de Lara, auteur remarqué pour cette rentrée littéraire 2023, a donné une interview à Jean-David Haddad, dans un cadre détendu, pour parler de son nouveau livre « Le pouvoir d’Ichimoku » dans la collection « Les Pros de l’Eco« . En vente sur Amazon et ailleurs :

 

Cette interview a été réalisée en vidéo et un verbatim suivra ci-dessous la vidéo que voici :

L’AFATE est donc l’Association française des analystes techniques, c’est l’organisation qui est représentative de cet art qu’est l’analyse technique en France

JDH : Je reçois donc aujourd’hui Daniel Cohen de Lara, le président de l’AFATE, qui vient de sortir le livre Le pouvoir d’Ichimoku. Il va nous en dire plus, mais je voudrais déjà vous présenter le livre et sa qualité graphique : il s’agit d’un grand format, et le livre est en couleur avec de très jolis graphiques, car pour ceux qui s’intéressent à la Bourse, Ichimoku est une méthode très visuelle. Mon cher Daniel, pourriez-vous nous en dire un peu plus sur cette méthode qu’est Ichimoku, et au préalable très brièvement vous présenter ainsi que l’AFATE dont vous êtes président ?

DCL : L’AFATE est donc l’Association française des analystes techniques. C’est l’organisation qui est représentative de cet art qu’est l’analyse technique en France, et qui fait partie d’une organisation mondiale qui s’appelle l’IFTA, présente dans une trentaine de pays : en fait tous les pays qui ont une industrie financière importante et qui regroupent à la fois des professionnels de la finance, qui travaillent sur la base de l’analyse technique, et des investisseurs individuels. Cela fait une osmose dans laquelle les investisseurs individuels viennent chercher de la ressource, de la matière chez les professionnels. C’est une association qui a un peu plus de trente ans, qui fonctionne sur un mode extrêmement agréable : on se retrouve une fois par mois, et toutes nos manifestations se finissent par un pot amical.

Superbe. Vous avez dit quelque chose qui m’a interpellé pour l’analyse technique : vous avez parlé d’art. C’est un art, l’analyse technique ?

Oui, c’est un art.

Plus qu’une science ?

Ah ce n’est pas une science ; qui dit science dit quand même science relativement exacte.

Pas forcément, les sciences humaines ne sont pas exactes, les sciences économiques, les sciences sociales…

C’est un art dans la mesure où elle n’a pas la possibilité d’être exacte. C’est une science qui mêle la technique, et beaucoup la psychologie, puisqu’on travaille uniquement sur l’analyse des prix. Et l’objectif de l’analyse technique, c’est à partir des prix au niveau du passé, à partir des supports de marché, des résistances de marché, d’élaborer des scénarios pour l’avenir ; je dis bien élaborer des scénarios. Il y a des scénarios qui vont fonctionner, d’autres qui ne vont pas fonctionner, mais il y a quand même un élément à la fin : seul le marché a raison.

Ichimoku travaille sur des niveaux d’équilibre de marché, lorsque le marché hésite

Et donc Ichimoku est une méthode parmi d’autres pour analyser les graphiques et essayer de prédire les mouvements du marché en bourse, c’est bien ça ?

Tout à fait. Il y a l’analyse technique, qui existe dans le monde occidental depuis 130 ans, qui existe au Japon depuis 250 ou 300 ans, et Ichimoku, qui est d’origine japonaise.

La grande distinction entre les deux, c’est que vous avez la première qui utilise, qui travaille sur les extrêmes de marché ; un support, c’est un extrême vers le bas du marché ; une résistance est un extrême haut du marché ; un canal est entre la branche haute et la branche basse du canal, qui sont des extrêmes de marché.

Ichimoku travaille sur des niveaux d’équilibre de marché, à savoir : lorsque le marché hésite, lorsque le marché cherche une voie, il vient se réfugier dans des zones qui ont certes été travaillées non pas en extrêmes mais en lieux, ou quand le marché a hésité, les investisseurs venaient se réfugier sur ces niveaux. Je vais vous donner un exemple qui est extrêmement récent, qui date de quelques jours, sur le CAC 40.

Je précise donc qu’au moment de cette interview, nous sommes le 12 septembre 2023.

Il y a donc quelques jours, j’avais, dans les émissions que je fais, indiqué qu’il y avait un niveau extrêmement important pour le CAC, qui n’avait jamais été touché en tant que tel, que l’analyse technique classique ne connaissait pas, qui était exactement à 7 189, qui était un niveau d’équilibre long terme décrit par Ichimoku. À deux reprises, le marché est allé toucher exactement le niveau, et en la circonstance en baissant, les acheteurs étaient présents sur ce niveau. Le marché baissait, et sur ce niveau, 7 189, les acheteurs étaient présents, et ce n’était pas jusque-là un niveau d’analyse technique classique. On s’aperçoit également que la grande majorité des niveaux d’analyse technique ont en fait été créés par Ichimoku, parce que c’est la méthode qui fait le mieux le lien entre le fondamental du marché, l’analyse technique et le comportement de l’investisseur.

Ichimoku veut dire « d’un coup d’œil »

De quand date environ la méthode Ichimoku ?

Cette méthode a été le travail d’une vie, d’un monsieur qui s’appelait M. Hosoda. Ichimoku veut dire « d’un coup d’œil ». C’est un homme qui y a consacré sa vie entre les années 30 et 1968, où il a publié l’ensemble de sa méthode. À l’époque, on n’avait pas les ordinateurs qui traitaient une quantité de données énorme ; on travaillait sur du papier millimétré, et donc il a fait travailler des générations d’étudiants en mathématiques et en finances pour mettre au point sa méthode. En fait, sa méthode n’a eu aucun succès au moment de sa sortie, car elle demandait beaucoup trop de traitements d’informations.

Ce n’est qu’au début des années 90 qu’un trader japonais, M. Sasaki, a écrit un livre sur la méthode de M. Hosoda. Là, les ordinateurs avaient tout à fait la capacité à traiter l’énorme quantité de données nécessaires, et c’est là où la méthode a commencé à se développer fortement dans les salles de marché japonaises. C’est la méthode de base des salles de marché japonaises. Ensuite, ce livre a été traduit en anglais, donc il a ouvert les États-Unis à la méthode, et en Europe, en France, à la fin des années 2000, tout début des années 2010.

La méthode Ichimoku est utilisée par beaucoup de gens aujourd’hui ?

Elle est utilisée par de plus en plus d’investisseurs, à la fois privés et de plus en plus professionnels.

Des gérants de fonds ?


Plutôt des analystes techniques, à la fois enseignants, traders, formateurs…


On est d’accord que personne ne peut s’approprier cette méthode, elle est universelle ? Parce qu’un jour, j’ai entendu quelqu’un dire : « Ichimoku, c’est moi. »

Oui, ça a pu être dit. Après, les sentiments de chacun par rapport au travail qu’il a pu faire… Ichimoku, c’est un mode de pensée, qui est de dire : « on travaille sur les équilibres de marché et non pas sur les extrêmes ».

À partir du moment où vous avez défini cette approche, chacun peut penser ce qu’il veut, à partir de son expérience, à partir des outils complémentaires que l’on peut utiliser. C’est une analyse technique, après tout. Moi, j’utilise l’analyse technique en complément d’Ichimoku, et la méthode que je décris dans ce livre, c’est justement : la base, c’est Ichimoku. Mais on ne va pas renier, tourner le dos à 130 ou 140 ans d’analyse technique occidentale, et à 250 ans d’analyse technique. Ça existe, c’est vrai, et ça fonctionne.

Donc l’originalité de mon approche, c’est justement d’abord Ichimoku. Je ne prends jamais de position en bourse qui soit contraire à ce que me dit Ichimoku, mais je viens dans un certain nombre de situations, un certain nombre de cas, me compléter l’analyse. J’ai décrit une méthode qui a justement fait le lien entre « Ichimoku, la base » et l’analyse technique classique qui a sa réalité, sa vie et ses justifications.

Deux petites questions qui concerneront tout particulièrement les gens qui « boursicotent » et qui investissent sur des actions pour faire des plus-values sur un terme plus ou moins long : est-ce que cette méthode peut s’appliquer aux small caps, ou est-ce que ça ne concerne plutôt que les indices ou les très grandes valeurs ?

Non, ça concerne tous les actifs dans toutes les unités de temps.

Même quand ce n’est pas très liquide ?

Même quand ce n’est pas très liquide. Ce n’est pas Ichimoku qui va créer une information qui n’existe pas ; si elle n’existe pas, elle n’existe pas.

Au lieu de travailler sur des extrêmes de marché, sur des actifs qui sont peu liquides, ces extrêmes peuvent être vraiment très extrêmes. On peut avoir sur des produits peu liquides des volatilités à court terme qui peuvent être importantes et qui peuvent brouiller, au contraire, la lecture qu’on peut avoir en analyse technique classique. Ichimoku, ce n’est pas son problème les extrêmes, les points aberrants de marché. Ichimoku va chercher les équilibres du marché.

Un investisseur qui utilise Ichimoku va avoir une cartographie du possible du marché de l’actif en question, qui va être beaucoup plus clair que ce que l’analyse technique va pouvoir indiquer.

Est-ce que cette méthode peut s’appliquer pour faire de l’investissement à long terme ? Par exemple : j’achète une action, mon but c’est de la garder 2 ou 3 ans, mais sur cette période, je ne veux pas faire 5 %, je veux doubler. Est-ce que c’est une méthode pertinente pour cela ?

La méthode est en tout cas beaucoup plus pertinente que l’analyse technique classique. Dans la mesure où, de la même manière, et on revient toujours à ça, on regarde les équilibres de marché, et Ichimoku va aussi indiquer quels sont les supports et les résistances d’équilibre du futur.

Donc un investisseur qui utilise Ichimoku va avoir une cartographie du possible du marché de l’actif en question, qui va être beaucoup plus clair que ce que l’analyse technique va pouvoir indiquer. En fait, l’analyse technique va peut-être donner de grandes directions, mais va avoir beaucoup de mal à donner des niveaux d’équilibre de marché. Concernant les marchés, il y a une forme de suivi, les grands niveaux pour un actif donné, les grands niveaux d’équilibre, s’ils ont été pertinents dans le passé, vont être pertinents dans le futur, parce que ce sont des équilibres que le marché va en permanence aller chercher. Quand on est en tendance, on est en tendance.

D’accord, nous avons bien compris ce travail sur l’équilibre, c’est très visuel.

C’est la base, et c’est effectivement une méthode très visuelle.

On le voit dans les illustrations de ce livre que vous avez écrit et dont vous avez vous-même réalisé les graphiques. C’est un livre assez exceptionnel en soi ; c’est d’ailleurs le livre le plus cher que j’ai édité à ce jour, 65,90 euros, parce que le contenu est quand même très particulier et qu’on pourrait presque dire que c’est un beau livre de Bourse.

En fait, ce format, je l’ai trouvé très original ; on est un peu entre le livre classique et le livre d’art.

Ichimoku, c’est un art

Exactement, et ça rejoint ce qu’on disait au début de l’interview : Ichimoku, c’est un art.

C’est un art, absolument.

Je vous remercie, cher Daniel Cohen de Lara. Le pouvoir d’Ichimoku, chez JDH Éditions, dans la collection Les Pros de l’Éco, par Daniel Cohen de Lara.

 


En savoir plus

Un « livre corporate » sur la première marche du podium en juillet

Livre d’entreprise, sous-entend que c’est un livre fait par et pour une entreprise, qui pourrait par exemple parler de ses produits, de son historique, etc.

Livre Corporate, sous-entend la même chose, mais pouvant être étendu au delà du monde des entreprises, à une association, une administration, par exemple. En français cela donne « livre corporatif », mais il est vrai que le mot Corporate est très utilisé dans le monde du business.

Livre sur mesure, livre personnalisé, renvoie à un concept plus large, incluant par exemple des biographies de particuliers.

En fait, le livre personnalisé inclut le livre Corporate qui inclut le livre d’entreprise.

C’est aujourd’hui la vocation naissante de JDH ÉDITIONS de se spécialiser dans ce type d’ouvrages. Grâce à notre Directeur littéraire et artistique Yoann Laurent-Rouault, biographe en chef pour l’occasion, nous permettons aux entreprises, mais aussi aux administrations ou associations, de publier des ouvrages. Il faut savoir qu’un livre permet un superbe référencement (Amazon, Fnac, etc), ce qui donne une très belle visibilité à la marque en question. De plus un livre assoit la notoriété de son auteur comme un spécialiste de son domaine. Et peut constituer un beau cadeau pour les clients.

Mais ce n’est pas parce que c’est un livre sur mesure, au sens large, qu’il se vendra moins qu’un autre. La preuve avec le livre de Dominique Large, qui met en avant sa marque de cosmétiques POLARE.

Quelques mots, donc, sur cet auteur et sur sa marque :

Aujourd’hui retraité de la gendarmerie, après une carrière méritant tous les honneurs (il fut le héros qui sauva la petite fille des décombres du crash d’avion du Mont Saint Odile en 1992), Dominique Large se consacre à présent à sa marque de cosmétiques Polare Paris, centré autour de son sérum anti-âge Miracle, élaboré à partir d’une recette héritée de son grand-père. Il est un entrepreneur sexagénaire, ce qui mérite d’être applaudi et encouragé.

D’ailleurs son nouveau livre s’intitule « POLARE, ou comment entreprendre après 60 ans ». Il sera en vente très prochainement.

Pour l’heure, c’est le livre centré sur ses cosmétiques qui a été en tête du podium du mois de juillet.

Ce livre relate l’incroyable histoire familiale de la marque depuis les premières années du XXe siècle et apprend tout à ses lecteurs de la composition de ce cosmétique. Vous trouverez dans les pages de ce livre, entre autres trésors : de la « botanique voyageuse », des révélations sur le cosmétique et son utilisation à travers les âges, des conseils pour votre bien-être, des interviews exclusives du fondateur de la marque, mais aussi le résultat du match entre le Botox like et les injections cutanées de botox et bien d’autres choses…

A noter que Cecilia Siharaj, star de télé-réalité et influenceuse, sur laquelle une biographie est publiée chez JDH ÉDITIONS, est l’égérie de la marque Polare.

La rédaction de cet ouvrage de référence sur les cosmétiques a été réalisée par Yoann Laurent-Rouault, directeur littéraire et artistique de JDH ÉDITIONS.

 

En savoir plus

Podium de juillet : un livre d’entreprise en tête!

Et voilà le podium de juillet de JDH Éditions !

  • Sur la première marche, le capitaine de gendarmerie Dominique Large, héros en son temps, reconverti dans les cosmétiques. Il dévoile dans son livre Polare, le sérum anti-âge Miracle, les secrets et l’histoire de son sérum anti-âge miracle avec l’aide rédactionnelle minutieuse de Yoann Laurent Rouault.
  • Sur la 3e marche la très méritante Leila Belakhdar qui fait un travail de fond remarquable depuis 2 ans et qui peut cette année se permettre de viser le top 20 annuel même si on la voit pour la première fois sur un podium, avec son livre Waw, Merci, J’adore !
En savoir plus

Interview de Cécilia Siharaj, l’aventurière influenceuse

Aujourd’hui, nous lançons la prévente de la biographie de Cécilia Siharaj, l’aventurière influenceuse écrite par Karine Gardize.
À cette occasion, Cécilia s’est prêtée au jeu de l’interview !
Découvrez les mots de Cécilia, recueillis par Jean-David Haddad, qui lui a posé des questions sur le livre, sa communauté et ses projets.

JDH : Bonjour Cécilia. C’est un plaisir pour JDH Éditions d’éditer votre livre dans la collection Baraka. Ou plus exactement votre histoire écrite par une biographe, en interaction avec vos réactions. Un livre très bien fait ! Vous êtes connue : vous avez été star de téléréalité via Koh-Lanta et via Mamans et célèbres, vous êtes devenue influenceuse… Ça fait quoi d’avoir désormais sa propre biographie ?

Cécilia : Pour commencer, c’est un plaisir partagé car je suis très très heureuse aussi de sortir mon livre avec JDH Éditions. Je dirais, dans un premier temps, que je ne me considère pas du tout comme une star de la téléréalité, absolument pas. En plus, pour moi, Koh-Lanta, c’est un programme de téléaventure, et Mamans et célèbres, de télédocumentaire, je classerais ça dans ces rubriques ; donc je me considère pas comme une star de téléréalité, je dirais juste que je suis une personne qui a fait de la télé, mais c’est vrai que j’aime bien souligner ce côté-là parce que je trouve que « téléréalité » donne une autre image, une image différente, je trouve, des personnes comme moi. Je pense d’ailleurs que c’est pour ça que je n’ai jamais fait de téléréalité, je pense que j’étais peut-être « trop normale » pour être un bon profil de téléréalité. Et d’avoir sa propre biographie, c’est vrai que c’est assez fou, je crois que je ne réalise pas encore, je ne me rends pas réellement compte de ce qu’il se passe, mais je suis hyper heureuse ; c’est vrai que c’est fou, j’ai du mal à me dire qu’il y a des gens qui peuvent être intéressés par moi, parce que j’ai fait de la télé, parce qu’ils me suivent énormément sur les réseaux, parce qu’ils peuvent s’identifier, j’ai beaucoup de mal à réaliser tout ça. C’est sûr que c’est flatteur, mais je ne me rends pas réellement compte de ce qu’il se passe.

Avoir sa propre biographie, c’est vrai que c’est assez fou, je crois que je ne réalise pas encore, je ne me rends pas réellement compte de ce qu’il se passe, mais je suis hyper heureuse.

JDH : Vu que vous publiez un autre livre autobiographique, pour qu’il n’y ait pas de confusion dans l’esprit des lecteurs, celui que vous publiez avec nous, chez JDH Éditions, est plus axé sur vos confidences faites à votre biographe, avec des photos exclusives et surtout les coulisses de la téléréalité… et des informations jamais révélées… Confirmez-vous ?

Cécilia : Tout à fait, je confirme tout cela. Ce sont deux livres complètement différents. L’autre livre est vraiment axé sur ma vie de maman, sur l’avant, le pendant ma grossesse et ma reconstruction ; il est vraiment axé sur tout ce qu’il s’est passé suite à ma séparation, au fait de me retrouver maman solo, et qu’est-ce que c’est qu’élever un enfant seul, on est vraiment axé sur cette grosse partie-là de ma vie, c’était un choix de ma part, et d’ailleurs, c’est moi qui l’ai entièrement écrit. Alors que le livre autobiographique qu’on a réalisé chez JDH Éditions avec Karine Gardize, ce sont vraiment mes confidences ; je me confie, je donne des informations sur moi, qui vont de ma tendre enfance à aujourd’hui, en passant par ma vie intime, ma vie de famille, ce que j’ai fait au niveau de la danse, au niveau télé, en donnant aussi mes points de vue, en appuyant sur ma façon de penser, bref sur mon passé, sur ce que j’ai vécu, ce sont des choses exclusives que je n’ai jamais dévoilées. Dans ce livre-là, on sera vraiment sur moi, la personne que je suis, que je suis devenue, le pourquoi du comment je suis comme ça, qu’est-ce qui a fait que j’ai une force de caractère, qu’est-ce qui a fait que dans ma vie j’ai toujours été une battante, il y a également des photos exclusives, et bien d’autres choses, qui sont vraiment touchantes. Ce sont donc vraiment deux livres complètement différents mais qui peuvent tout à fait être complémentaires, parce qu’un livre se focus sur ma vie de maman, de maman solo, et l’autre, avec JDH Éditions, qui se concentre sur « qui est Cécilia, qui elle est réellement ».

 

JDH : Vous êtes connue depuis 2016 : pourquoi avoir attendu maintenant pour publier ?

Cécilia : J’ai été connue du grand public en 2016, c’est vrai ; j’ai toujours rêvé d’écrire un livre, ça a toujours été mon rêve, mais je ne savais tout simplement pas comment ça fonctionnait, je ne connaissais pas le système, je ne m’étais pas réellement renseignée, je ne connaissais pas de maisons d’édition, et c’est vrai que c’est fou parce qu’il a fallu attendre 2023 pour que des propositions viennent à moi. Karine, ma biographe, c’est elle qui m’a contactée parce qu’elle était intéressée par moi ; on s’est rencontrées lors d’un évènement, qui était tout simplement mon anniversaire – un gros évènement organisé par un parc pour enfants, qui était vraiment génial. Donc Karine était là, et elle m’a observée et a vraiment apprécié la personne que j’étais et m’a proposé ce projet en tant que biographe. J’ai trouvé ça super intéressant et j’ai saisi l’opportunité.

 

JDH : J’ai lu ce livre passionnant de bout en bout… Aviez-vous déjà « balancé » ces infos sur la manière dont vous avez été traitée par ces émissions de téléréalité ? Ou est-ce la première fois ?

Cécilia : C’est vraiment la première fois que je parle ouvertement de ce que j’ai pu vivre dans mes émissions de télé. Je ne m’étais jamais réellement confiée, je n’en avais jamais vraiment parlé, donc, comme quoi, on est vraiment sur de réelles confidences.

 

JDH : Malgré tout, vous dites que vous aimez Koh-Lanta, aussi bien l’émission que votre aventure… Vous continuez de regarder l’émission chaque année ?

Cécilia : Pour être honnête, c’est vrai que Koh-Lanta est un programme que j’aimais beaucoup, je me rappelle à l’époque où j’étais jeune, quand j’étais adolescente, je regardais pas par cœur, ce n’était pas mon rendez-vous de tous les vendredis – à l’époque, c’était tous les vendredis – parce que j’étais quelqu’un qui aimait beaucoup sortir, aller dehors, à l’extérieur ; mais quand je tombais sur l’émission, j’aimais bien regarder. Du coup, quand je tombais dessus, je me posais et regardais, mais je n’ai jamais suivi le programme, les saisons entièrement, et ça n’a pas changé. Donc non, pour être honnête, je ne regarde pas ; quand je tombe dessus, je regarde, mais je suis incapable de vous dire qui est qui, ni qui a gagné ces dernières saisons toutes les années après les miennes. J’aime le programme, mais pas au point que ce soit mon rendez-vous de toutes les semaines.

J’ai envie d’être moi-même, je sais que je revendique beaucoup le naturel, j’aime montrer qui je suis, mon quotidien, je ne m’inspire pas d’autres, je suis moi, que ça plaise ou non…

JDH : À la lecture de votre livre, j’ai envie de vous définir comme une influenceuse authentique. Qu’en pensez-vous ?

Cécilia : J’apprécie le nom d’influenceuse authentique, parce que je suis différente des autres, je n’ai pas envie de m’identifier à quelqu’un, j’ai envie d’être moi-même ; je sais que je revendique beaucoup le naturel, j’aime montrer qui je suis, mon quotidien, je ne m’inspire pas d’autres, je suis moi, que ça plaise ou non. Je pense que ça plaisait pas pour faire de la téléréalité, justement, ça n’a jamais été suffisant en tout cas, et je n’ai jamais cherché à être quelqu’un d’autre ou à faire semblant. J’aime me montrer sans maquillage, au naturel, pas coiffée, pas habillée, en pyjama, pas lavée… Ce n’est pas que j’aime, mais c’est que je suis comme ça. Je ne vais pas me préparer exprès pour faire des vidéos, des stories – bien sûr, de temps en temps quand je sors, j’aime bien m’apprêter aussi, attention ! (rire) Cécilia, c’est aussi une fille qui aime prendre soin d’elle, mais je ne vais pas faire exprès de prendre soin de moi pour me montrer dans des vidéos apprêtée, je suis naturelle, nature peinture, sans filtre, et j’aime ça. Du coup, quand je me prépare, on voit la Cécilia qui a pris soin d’elle et qui s’est préparée pour tel évènement ou telle chose, et j’aime jouer avec ça, parce que j’aime aussi me faire très jolie, mais je n’ai pas honte de me montrer au naturel.

 

JDH : Vous avez aujourd’hui quelque 300 000 followers Instagram, et si on cumule avec les autres réseaux, on dépasse 400 000. Est-ce le chiffre le plus élevé que vous ayez atteint ?

Cécilia : Clairement, aujourd’hui, oui. Actuellement, j’ai presque 300 000 followers sur Instagram, j’en ai jamais eu autant et j’aurais jamais cru en avoir autant. Je suis contente parce que je vois le chiffre qui augmente quotidiennement, donc c’est génial parce que je me dis que j’ai une communauté qui s’accroche, qui est de plus en plus présente, qui continue de me suivre, qui a envie de faire partie de cette nouvelle aventure qui m’attend aussi, et ça me touche, parce que je me dis que je ne fais pas ça pour rien, et ils me le rendent bien. J’aime partager mon quotidien, et je vois que le fait d’être suivie, ça rassure ; c’est vraiment un échange et un partage, donc je suis contente et heureuse, et c’est vrai que c’est fou, ce chiffre est quand même incroyable.

Je trouve ça très important, justement en tant que femme, de montrer que nous ne sommes pas faibles, nous sommes des battantes, des guerrières.

JDH : J’ai publié un livre de témoignages féminins qui s’appelle Nous ne sommes pas le sexe faible. On y trouve en particulier des aventurières. Vous, Cécilia, vous sentez-vous proche du titre de ce livre ? Je vous pose la question car, à la lecture de votre biographie, si je vous avais connue il y a deux ans, je vous aurais proposé d’y participer !

Cécilia : Déjà, je suis très contente de savoir que j’aurais pu, il y a deux ans, participer à ce livre, c’est vrai que le fait que ce soit des témoignages de femmes avec un titre de livre qui est Nous ne sommes pas le sexe faible, je trouve ça génial. Je trouve que les femmes d’aujourd’hui sont des warriors, on est des warriors tout au long d’une vie. Déjà, rien que le fait de porter la vie fait que nous sommes des warriors. Et c’est vrai que j’aime mettre en avant ce côté-là de la femme, car il y a toujours eu une différence homme/femme, depuis toujours, malheureusement c’est comme ça, et je trouve ça très important, justement en tant que femme, de montrer que nous ne sommes pas faibles, nous sommes des battantes, des guerrières. Donc oui, bien évidemment, je me sens proche de ce livre, de ce titre, je m’y retrouve complètement.

JDH : Pouvez-vous nous dire quelques mots sur votre voyage à venir ? Combien de temps partez-vous ? Reviendrez-vous en France quelques jours pendant cette période ? Et votre fille, Sway ?…

Cécilia : Quelques mots concernant mon voyage à venir : déjà, c’est incroyable, car en toute honnêteté, je n’aurais jamais cru avoir le courage de le faire, mais je pense que c’est le moment ou jamais. Avec mon chéri, on est épanouis comme jamais, on rêve tous les deux de ça, et je trouve que c’est le bon moment de le faire au niveau de l’âge de ma fille ; elle est encore jeune, ça reste encore facile, et puis Sway c’est vraiment une petite qui demande à voyager, à partir, à découvrir des choses, donc je pense que ça va être incroyable. On part sur une durée indéterminée… Moi je me dis minimum 6 mois, Maxence me dit un an, je pense qu’on sera à l’écoute l’un de l’autre, on verra comment ça se passe sur place, et puis beaucoup nous disent : « Vous n’aurez jamais envie de rentrer. » Dans tous les cas, on sait qu’on va revenir, parce qu’on veut fonder une famille, et pour cela on a envie de revenir en France, d’autant plus que Maxence est très famille, donc on va revenir dans tous les cas, dans maximum un an, on part en septembre, donc on reviendra maximum en septembre l’année prochaine, mais on ne s’est pas donné de date de retour pour l’instant, on verra, mais il est important que Sway soit là pour la grande section de maternelle, et de toute façon, on aura envie de rentrer parce que nos familles vont nous manquer, et parce qu’on a des projets – on parle beaucoup de projets à venir, et bien évidemment d’enfants : c’est son rêve, et moi je rêve d’offrir à Sway un petit frère ou une petite sœur, donc bien évidemment, on a de gros projets futurs. Mais ça va être incroyable ! Et puis il y a mon père en Thaïlande, donc retrouver mon père aussi, on a des choses à vivre là-bas, à construire. À la base, mon chéri avait envie de partir là-bas en septembre ; lui c’était Bali, il a envie de se lancer dans un business qui est le coaching sur Internet, et je pense que le fait qu’il soit là-dedans et moi sur les réseaux, je pense qu’il peut y avoir de belles choses à faire ensemble.

On part sur une durée indéterminée… Moi je me dis minimum 6 mois, Maxence me dit un an, je pense qu’on sera à l’écoute l’un de l’autre, on verra comment ça se passe sur place

JDH : Cécilia, merci de cette interview. Votre livre est en prévente jusqu’au 26 juin sur notre librairie en ligne. Puis il sera en vente partout d’ici un mois. Nous lui souhaitons un énorme succès. On peut même espérer que des personnes qui ne vous connaissent pas vous découvrent, car franchement, votre parcours mérite d’être connu ! Et il est si bien relaté !

Cécilia : C’est moi qui vous remercie de cette interview. J’espère vraiment que ce livre va fonctionner, que les gens auront envie de découvrir vraiment qui est Cécilia, pas seulement la Cécilia qui est maman et qui a vécu une période de grossesse difficile et qui élève seule sa fille, mais j’espère que les gens auront envie de comprendre d’où vient cette Cécilia, qui était cette Cécilia, l’enfant, l’adolescente, la jeune femme, et pourquoi Cécilia est devenue comme ça. C’est vrai que là, on est vraiment sur mes confessions, je me dévoile complètement, et j’espère que les gens auront envie de comprendre qui est la vraie Cécilia.

En savoir plus