JO 2024 : réhabilitons Pierre de Coubertin !
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Les JO 2024 ont lieu en France. Comme on nous le dit souvent, cela arrive une fois par siècle. Et le wokisme ambiant fait que Pierre de Coubertin, qui est pourtant un français, qui est à l’origine de ces olympiades de temps modernes, est passé sous silence. Presque oublié. A peine une allusion lors de la controversée cérémonie d’ouverture.
Boudé dans son propre pays, le Baron de Coubertin est pourtant, qu’on le veuille ou non un personnage qui a marqué son temps. Il est pourtant très apprécié à l’étranger, et particulièrement dans le monde anglo-saxon.
Alors pourquoi Coubertin est-il persona non grata dans sa propre patrie ?
Sont souvent cités ses points de vue misogynes d’une part, et colonialistes d’autre part.
Coubertin avait tort de penser que le sport n’était pas compatible avec la féminité, car son époque avait tort ! Mais ce n’est pas pour cela qu’il faut oublier qu’il a créé ces olympiades
Comme l’écrit Yoann Laurent-Rouault, auteur de l’essai documentaire qui appuie le livre de Coubertin que nous avons publié chez Memoria Books : « Coubertin oscille entre l’idée grecque de l’homme par l’homme et pour l’homme ( la femme est hors du jeu) et la grande paix des nations dites civilisées ( avec un certain humanisme), mais de l’autre côté il est un chantre de la soit disant supériorité blanche ( voir la petite histoire des JO de 36 et son rapport compliqué avec le fascisme). Il pense le sport et surtout la compétition sportive comme élitiste. »
Avant de critiquer Coubertin, encore faut-il lire son texte. C’est ce texte fondateur des JO, « Mémoires olympiques » qui est publié en intégralité dans cet ouvrage du même nom. Tandis qu’un essai documentaire de Yoann Laurent-Rouault l’accompagne, avec des illustrations d’époque retouchées artistiquement. Tandis que la postface de Jean-David Haddad vient clôturer l’ensemble.
Un livre à découvrir impérativement en cette période olympique.
Sur notre librairie en ligne : Mémoires olympiques – JDH Éditions (jdheditions.fr)
À découvrir également : Les Œuvres essentielles de Pierre de Coubertin
Ce volume rassemble le texte mythique et fondateur de Coubertin ainsi que d’autres textes moins répandus : Mémoires olympiques – Quatre textes sur l’élitisme sportif et olympique – Essais de psychologie sportive – Les femmes aux Jeux olympiques – Notes sur le football.
Les pennys-stocks à l’honneur : un dossier et un livre!
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- Jean-David Haddad
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Jean-David Haddad, spécialiste des penny-stocks, publie à la fois un livre sur le sujet et un dossier exclusif à Francebourse.com!
Un penny, c’est un centime. Une penny-stock est donc très logiquement une action dont le cours de bourse s’exprime en centimes.
On compte de nombreuses penny-stocks sur la Bourse de Paris, et depuis que notre site existe, nous recommandons, sur nos portefeuilles, des achats réguliers de penny-stocks, que nous n’hésitons pas, d’ailleurs, à recommander de vendre en cas de belle réussite. Car les réussites peuvent arriver vite… Et fort! Une penny-stock est par nature bien plus volatile qu’une action « ordinaire » et donc, aussi bien les hausses que les baisses peuvent être brutales.
En 2023, nos lecteurs et abonnés avaient considéré, via un sondage en ligne, que notre meilleure recommandation fut l’achat de Llama Group, un titre acheté à 0.59€ en décembre 2022 et revendu en plusieurs fois, vers les 2€ en février 2023 (ce qui avait permis de ramener le prix de revient à zéro), puis vers 2€ encore en mars 2023 puis enfin sous les 1€ en juin 2023. La plus-value globale moyenne s’étant établie à 130% pour nos abonnés.
[b]Le dossier de Francebourse.com [/b]
Quelles sont les penny-stocks à tenter à l’achat aujourd’hui?
Un tout nouveau dossier vient d’être publié, aujourd’hui même. Les cours donnés sont ceux au 3 mai à la clôture.
Dossier en vente sur notre boutique :
www.francebourse.com/produits.fb
Le dossier vous sera envoyé en PDF après votre commande.
Pour demander une version papier en plus il vous suffira d’écrire à contact@francebourse.com
[b]Le livre « Penny-stock trading »[/b]
La publication de ce dossier intervient dans la foulée de la publication du nouveau livre de Jean-David Haddad sur le PENNY-STOCK TRADING
En vente sur JDH EDITIONS :
www.jdheditions.fr
Le livre vous sera dans ce cas dédicacé!
En vente aussi sur Amazon :
https://urlz.fr/qB5k
IL arrivera progressivement sur toutes les plateformes (Fnac, Cultura, etc)
C’est le seul livre en français sur le penny-stock trading ! Un livre unique et sans concurrence, simple, facile d’accès, qui s’adresse à tous.
Jean-David Haddad avait publié, en 2004, un best-seller sur le sujet. Vingt ans après, alors que le marché a complètement changé, il était nécessaire d’écrire un tout nouveau livre, abordant la volatilité exacerbée sur ces actions qui valent moins d’un euro, mais aussi les financements par OCA qui se sont développés dans les années 2010, et bien sûr les hyper-penny-stocks, ces actions qui valent moins de 0,01€, maintenant que les pas de cotation se font au centième de centime !
Le penny-stock trading permet de pouvoir gagner beaucoup en misant peu. Mini-investissement, maxi-profit ! Que ce soit sur un horizon de temps très court (les hausses de court terme sont bien plus fulgurantes sur les penny-stocks) ou très long (Apple et Amazon furent des penny-stocks à un moment donné). Cependant, c’est une activité risquée car justement la volatilité est très grande et qu’une penny-stock a généralement un passé peu glorieux. Mais toute entreprise qui ne meurt pas est potentiellement un phoenix capable de renaître de ses cendres ! Cet ouvrage vous permettra de comprendre les penny-stocks, leur spécificité, d’avoir un regard fondamental, de faire les bons choix, d’éviter les pièges, et d’utiliser des indicateurs d’analyse technique très simples mais pertinents, adaptés au sujet. Il vous permettra aussi d’envisager le trading sur carnet d’ordres, adapté aux hyper-penny-stocks de moins de 0,01€. Des thèmes jamais abordés en langue française, pas même sur Internet.
Important : cet ouvrage comporte en annexe une liste de 36 penny-stocks sur la Bourse de Paris, ainsi que des cahiers de bord types pour penny-stock traders, qu’il suffit de remplir pour rendre votre trading plus facile. Ce livre est introduit par James D. Touati, dit « Le Loup de Zurich », un trader international qui monte en flèche. Retrouvez sa vidéo de 8 mn, accessible par QR Code dans sa préface.
[b]En résumé…[/b]
Le livre explique comment trader les penny-stocks, les rechercher, éviter les pièges… Le dossier met les pieds dans le plat et recommande à titre spéculatif 12 penny-stocks de la bourse de Paris en prévenant des risques afférents…
Deux produits complémentaires. Selon Jean-David Haddad : « le dossier commence là où le livre s’arrête »…
Ayako teppanyaki : le sublime dans notre assiette
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Ayako teppanyaki : c’est le nom d’un restaurant japonais situé dans le 14e arrondissement de Paris, 67 rue de l’Ouest très exactement.
Ma deuxième expérience culinaire dans ce restaurant confirme à la fois l’aspect très convivial et détendu, autour du teppanyaki (la grande table de cuisson où les plats sont préparés en direct par le très talentueux chef cuisinier) de ce restaurant, mais elle confirme aussi le côté sublime et la précision extrême de la cuisine proposée. Que ce soient pour les plats réalisés sur la plaque, où les produits sont excellents, tant au niveau des viandes que des poissons, que pour les sushis et autres makis. A noter aussi les sauces maison qui accompagnent parfaitement les plats, les assaisonnements et le choix de vins et de sakés à la carte.
Il ne s’agit pas réellement d’un restaurant surfant sur la vague dite fusion, mais d’une cuisine japonaise ouverte sur le monde, avec par exemple la réinterprétation selon le chef du ceviche péruvien. A noter que le chef est d’origine chinoise, et que ces deux cuisines ont en commun la précision extrême et le sens de la perfection.
Les prix restent très corrects pour un restaurant de ce niveau sur Paris. Par exemple, le saumon au teppanyaki est à 23 euros, avec bien sur ses garnitures, l’entrecôte Angus est à 28 euros, préparée devant vous, avec une découpe parfaite. Dans n’importe quelle brasserie lambda, à Paris, le prix moyen d’une entrecôte ou d’un pavé de saumon sont dans les mêmes eaux. Mais ici, le sublime est en plus!
Jean-David Haddad
Editeur
Les auteurs financiers de JDH EDITIONS en dédicace au salon de l’Analyse Technique le 22 mars 2024!
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Nos lecteurs pourront retrouver Jean-David Haddad au salon de l’analyse technique le vendredi 22 mars de 9h à 19h! Adresse : « New Cap Event Center – 3, Quai de Grenelle 75015 Paris »
Le salon annuel d’André Malpel verra donc sa présence sous la bannière JDH EDITIONS.
Personnellement, JDH dédicacera ses livres de 10h45 à 11h45 et de 17h15 à 18h15 sur le stand numéro C3.
Pour vous inscrire gratuitement c’est ici :
www.salonat.com#inscription
JDH dédicacera ainsi ses deux derniers livres : « Bien démarrer en bourse » et « Analyse fondamentale et analyse technique », tous deux publiés dans la collection LES GUIDES DE FRANCEBOURSE.COM
Le livre INFLATION sera aussi en dédicace.
Vous pourrez aussi commander en pré-vente (pour le recevoir dédicacé) son prochain livre « Penny-stock trading ». Parution prévue en avril mais vous serez dans les premiers en le commandant sur le stand.
Il reste très peu d’évènements liés à la bourse, à destination d’un public d’actionnaires individuels en France ; il faut donc en profiter!
Il y aura aussi en dédicace :
-Gilles Santacreu pour son livre « Maitrisez la bourse! » à 14h15
-Thomas Andrieu qui dédicacera son livre « Révolution Cryptos » et ‘L’or et l’argent » ainsi que son dernier livre « Création et destruction », à 15h15
-Romain Daubry qui dédicacera son livre « Trading à effet de levier » à 16h15
Venez nombreux pour nous rencontrer!
JDH EDITIONS
Pour gagner en bourse : analyse fondamentale ou analyse technique?
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Pour appréhender le cours d’une action, ou même d’un autre actif comme l’or, le pétrole, le dollar, ou encore celui d’un indice boursier, et savoir si vous devez acheter ou vendre, vous avez à votre disposition deux grandes catégories d’outils : l’analyse fondamentale et l’analyse technique, dite aussi analyse graphique.
-L’analyse fondamentale consiste à étudier les fondamentaux des sociétés cotées, c’est-à-dire leurs indicateurs de santé économique et financière. Elle est basée sur le principe selon lequel la valeur réelle d’un actif (comme une entreprise mais aussi un immeuble, une matière première, etc) est déterminée par des éléments concrets, quantifiables et objectivables. Elle part du principe selon lequel si la valeur que donne le marché à cet actif s’écarte de trop de cette valeur objective, alors tôt ou tard, les deux valeurs finiront par converger. Avec l’analyse fondamentale, c’est le règne du rationalisme et du cartésianisme. Le règne de l’objectivation aussi.
-L’analyse technique, ou graphique, consiste à étudier les évolutions graphiques des cours de bourse des sociétés en question. Le principe de base est de dire qu’il ne faut pas regarder les fondamentaux mais que toutes les informations sont contenues dans les graphiques. Les évolutions des prix donneraient en effet toutes les informations nécessaires sur le sentiment des investisseurs et les potentiels mouvements de prix à venir. De nombreuses méthodes différentes d’approche co-existent, plus ou moins mathématiques, et plus ou moins déterministes. Certaines considérant que l’histoire se répète. Avec l’analyse technique, c’est le règne de l’irrationnel et de l’appréhension par les figures géométriques des mouvements de foule, qui sont à l’origine des fluctuations du marché. C’est aussi le règne de la subjectivité. Car plus on creuse, plus chacun verra une figure différente de celle de son voisin.
Pour schématiser, l’analyse fondamentale aide à faire de bons choix, l’analyse technique aide à choisir des actions (ou des prises de positions) au bon moment. La combinaison des deux permet d’effectuer les bons choix au bon moment !
Le trader s’intéressera quasi-uniquement à l’analyse graphique, cela va sans dire. Les fondamentaux ne lui seront pas d’un grand intérêt, surtout s’il trade des indices boursiers, comme cela est souvent préconisé. A la rigueur, s’il trade des actions, il peut éventuellement essayer de se positionner juste avant des annonces de résultats s’il connait bien l’entreprise dont il va trader l’action.
Le rentier ne s’intéressera qu’à une partie de l’analyse fondamentale, celle qui concerne le rendement et les perspectives de rendement. Il pourra néanmoins quelque peu se servir des graphiques pour optimiser son investissement.
Le boursicoteur ou investisseur boursier, qui vise à faire des plus-values sur un horizon de quelques mois ou quelques années, aura tout intérêt à mélanger équitablement les deux approches afin d’optimiser ses zones d’achat et ses zones de vente.
Aussi, bien que tout oppose les deux méthodes d’analyse et de décision, il faut savoir que les professionnels des marchés utilisent les deux et combinent les deux. En effet, quand les signaux convergent, les chances de réussite croissent, c’est évident. Même si le 100% est impossible en bourse.
Jean-David Haddad, co-fondateur et rédacteur en chef de Francebourse.com, président et éditeur de sa propre marque JDH EDTIONS (qui compte plus de 300 ouvrages à son catalogue), publie son tout nouveau livre, « Analyse fondamentale et analyse technique : Faites comme les pros de la bourse, les bons choix au bon moment ». Publié dans la collection corporate « Les guides de Francebourse.com », créée pour les particuliers qui investissent en bourse, et pour mettre en avant le site Francebourse.com.
JDH EDITIONS
Yoann Laurent-Rouault interviewe le Président de EDICO (JDH EDITIONS), Jean-David Haddad
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C’est un exercice presque rituel en fin d’année : l’éditeur interrogé par le directeur littéraire et artistique Yoann Laurent-Rouault.
L’interview porte entre autres sur le partenariat avec Robert Lafont.
YLR : Monsieur Jean-David Haddad, bonjour, et merci de nous accorder cet entretien de fin d’année, devenu maintenant presque traditionnel. Nous allons entrer directement dans le vif du sujet, car de nombreux auteurs sont inquiets sur le devenir des maisons d’édition françaises après cette année 2023 assez catastrophique pour la corporation. Nous avons tous constaté que de nombreuses maisons indépendantes ont disparu du paysage éditorial, dont certaines étaient importantes, alors, qu’en est-il pour JDH Éditions ?
JDH : Il est vrai que le monde de l’édition a beaucoup souffert de l’après-COVID. Les confinements et l’expérience traumatisante de cette période ont poussé nombre de gens à écrire, mais surtout à lire. Nous avons nous-mêmes publié plusieurs témoignages, plusieurs avis, voire plusieurs prises de position sur le sujet. Politiques comme sociétales et médicales.
YLR : Nous sommes tous d’accord, auteurs comme collaborateurs de maisons d’édition, pour dire qu’effectivement, la période COVID fut bénéfique au livre.
JDH : Oui, mais le retour à la réalité fut brutal. Comme l’écrit si bien un de nos jeunes auteurs, Thomas Andrieu, en expliquant les facteurs économiques de la théorie des cycles, la situation qui fut dans un premier temps bénéfique est redevenue ensuite normale, pour arriver sur ces derniers mois de l’année à une situation presque calamiteuse en termes de ventes de livres. Heureusement pour nous, chez JDH Éditions, nous avons anticipé et pris un virage d’importance, notamment en nous recentrant sur le livre économique d’une part et ensuite en travaillant sur la communication d’entreprises, par le biais du livre d’entreprise, mais aussi par des plans de communication livrés clefs en main pour des entreprises de tous secteurs.
YLR : D’où l’importance de se réinventer en permanence… La période est certainement l’une des plus difficiles que l’édition ait connues depuis ces 20 dernières années de l’avis général, mais j’ai constaté avec plaisir, que la maison d’édition JDH est nouvellement apparue comme partenaire dans de nombreuses publications externes à ses voies de communication habituelles ou dédiées, notamment avec le groupe de presse Lafont, et qu’on la retrouve aussi au générique de quelques émissions médias du Web.
JDH : Depuis que JDH Éditions existe, c’est-à-dire depuis 2017, le livre d’entreprise est présent au catalogue. Après avoir réalisé 2 livres, les choses se sont un peu tassées, car la littérature et l’économie ont monopolisé nos ressources. En 2022, nous avons renoué avec le genre et la cadence s’est fortement accélérée en 2023.
YLR : Effectivement, j’en suis témoin et participant et ce que l’on peut dire du livre d’entreprise, c’est qu’il offre un référencement jusque-là inédit et une visibilité remarquable aux entrepreneurs qui ont tenté l’aventure.
JDH : C’est vrai que le livre d’entreprise nous permet de faire coordonner l’action médiatique de JDH Éditions avec celle de différents partenaires médias et notamment, vous l’avez nommé tout à l’heure, le groupe Lafont Presse.
YLR : En 2 mots, Monsieur Haddad, la démarche pour réaliser un livre d’entreprise ?
JDH : Nous l’écrivons, c’est-à-dire que nous présentons un biographe et des partenaires capables de réaliser le livre à des chefs d’entreprise, ceci dans le but de leur fournir en finalité un outil de crédibilité et de notoriété pour leurs clients et leurs prospects. La mise en page est faite par nos équipes, tout comme la correction, la couverture, etc., et après pour la diffusion, il y a plusieurs options… On va dire que dans les formules les plus classiques, soit le livre est édité par le groupe Lafont Presse soit directement par nos soins. Le livre est bien entendu, classiquement, comme pour chaque publication de notre maison, référencé sur toutes les plateformes de vente de livres, de la Fnac à Cultura, aux librairies en passant par Amazon, etc.
YLR : Et à votre maison de proposer aussi des plans de communication…
JDH : Oui et avec de plus en plus de partenaires que nous sélectionnons évidemment avec le plus grand soin, comme le groupe TV Finance qui permet à nos clients d’avoir accès à des émissions de télévision professionnelles, diffusées sur La Tribune ou encore Le Figaro… et aussi quelquefois, suivant le sujet et suivant la notoriété de l’entreprise avec laquelle nous travaillons, d’obtenir des passages sur des chaînes du bouquet numérique, comme NRJ12 ou BFMTV par exemple.
YLR : J’ai aussi constaté que la maison JDH était très réceptive à ce qu’on appelle « le réseautage », et que vous-même étiez favorable au rapprochement de différentes entreprises, pas forcément concurrentielles d’ailleurs, pour qu’elles-mêmes puissent développer de nouveaux partenariats…
JDH : Tout à fait… Notre portefeuille clients s’étoffe en conséquence de nos publications et parfois nous repérerons des synergies possibles entre telle ou telle entité… cela fait partie de l’accompagnement que nous proposons… N’oublions pas que la société mère de JDH Éditions est la société EDICO. EDICO qui veut dire édition et communication. C’était le vœu de mon associée Cynthia Skorupa dès la création de l’entreprise.
YLR : Alors, pour illustrer les partenariats dont vous nous parlez, Monsieur Haddad, je vais maintenant citer une publication en particulier, qui n’est pas une publication d’entreprise, puisqu’il s’agit des Enquêtes d’Icare publiées chez Lafont Presse Éditions en feuilleton dans Le Journal de France et qui sont récemment devenues un livre que vous avez produit sous l’étiquette « Lafont Presse Éditions », mais qui est mis en page, corrigé et illustré par JDH Éditions… Pouvez-vous définir votre rôle par rapport à ce nouveau partenaire ? Car j’ai récemment lu une interview vous concernant où vous êtes présenté comme « directeur de collection » chez Lafont Presse Éditions…
JDH : Nous avons noué en 2023 un partenariat avec Robert Lafont. Et justement, tout est parti du livre d’entreprise et du fait qu’EDICO voulait proposer des plans médias aux différentes entreprises qui la contactaient ou avec qui elle travaillait. Donc nous nous sommes mis en relation avec le groupe de presse Robert Lafont Éditions qui gère un certain nombre de magazines, plusieurs dizaines, et qui par le fait pouvait proposer des solutions à nos clients. Mais, rapidement, nous avons été un peu plus loin, et Robert Lafont nous a proposé d’externaliser la production de ses publications et donc de créer des collections dédiées.
YLR : L’édition de presse et l’édition de livres n’étant pas du tout la même chose.
JDH : Exactement ! Sachant que chez EDICO nous avons les équipes pour produire des livres et donc tout est déjà en place. Ce qui n’est pas le cas pour notre partenaire.
YLR : Donc EDICO prend en charge la réalisation complète des livres que veut publier le groupe Robert Lafont Presse & Éditions ?
JDH : Et aussi, bien évidemment, la distribution du livre par les créneaux habituels de JDH Éditions.
YLR : Et donc Lafont Presse Éditions reste le propriétaire des livres édités et le responsable de la publication ?
JDH : Tout à fait, c’est son rôle officiel et légal. Quant à moi, je reste évidemment le président de ma société d’édition.
YLR : Donc c’est un partenariat tout simple où finalement EDICO et les équipes de production et de rédaction de JDH Éditions n’apportent que leur savoir-faire ?
JDH : Oui, et donc pour répondre complètement à la question, je tiens à préciser que je ne suis en aucun cas directeur de collection pour ce cher Robert Lafont, mais bel et bien un partenaire d’édition.
YLR : Donc vous êtes partenaire et prestataire, mais aucunement un directeur de collection détaché au groupe Lafont.
JDH : C’est tout à fait exact.
YLR : Parlons maintenant si vous le voulez bien, Monsieur Jean-David Haddad, de l’actualité de la maison d’édition. Très récemment, il y a eu un salon financier organisé par JDH Éditions qui a remporté un vif succès…
JDH : Oui, et un salon qui signifie aussi le retour de JDH sur la scène principale de l’édition de livres économiques.
YLR : Et dans le domaine, la maison a connu quelques succès, notamment sur des publications relatives au trading…
JDH : Nous avons acquis une véritable renommée dans le domaine, et aussi en publiant des livres intemporels sur l’économie, j’entends par ce terme les classiques du genre, comme nous allons également explorer en permanence de nouveaux territoires de l’économie avec des auteurs remarquables.
YLR : Comme le livre sur le trading à effet de levier de l’analyste économiste Romain Daubry ?
JDH : Oui et avec d’autres auteurs encore et aussi quelques surprises qui seront annoncées en temps voulu pour le premier semestre de l’année 2024.
YLR : L’économie passionne les foules, initiées ou non initiées, nous le constatons tous. D’autant que la situation internationale du moment n’est pas spécialement brillante et que nous sortons d’une grave crise liée à la pandémie du COVID-19. Cependant, j’observe en économiste amateur que les grands krachs boursiers qui ont été prédits, par certains auteurs de la maison JDH et par des chroniqueurs TV appartenant aussi au panel d’auteurs de la maison, ne se sont pas produits. Et qu’au contraire, l’économie qui est pourtant prise dans une situation à tiroirs, se maintient en créant une sorte d’économie adaptative, qui semblerait-il, a évité le pire au niveau des places boursières mondiales. Et donc vous publiez comme vous intéressez les lecteurs à ces techniques alternatives.
JDH : Oui, et je crois comprendre que vous faites référence au livre de Daniel Cohen de Lara, Le pouvoir d’Ichimoku, paru récemment.
YLR : Vous pouvez nous dire quelques mots sur ce livre ?
JDH : Il est à découvrir, c’est un très beau format couleur, presque artistique, et disons que c’est un livre d’analyses et de méthodes boursières et financières qui détonne par son originalité et surtout qui révèle et met en avant le fameux dispositif « Ichimoku ». Avec les Memoria Books et les nouveaux « performeurs » de l’économie, nous avons l’histoire et les bases de l’économie et aussi l’avenir de la discipline. L’économie est une matière vivante.
YLR : Mais revenons au salon économique JDH qui s’est tenu récemment.
JDH : C’était un événement festif, comme il y en a rarement dans ce secteur, qui s’articulait autour d’une conférence et de trois de nos auteurs qui présentaient leurs livres, avec nos partenaires de la soirée l’AFATE et Bourse Direct, le tout couvert par des journalistes de la télévision et de la presse écrite et numérique. L’événement a drainé un public international. Et j’y ai fait de très belles rencontres. Qui aboutiront à des projets, très certainement. Notamment pour de l’édition économique et politique.
YLR : Eh bien merci pour toutes ces précisions, Jean-David Haddad, et je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d’année, ainsi qu’à vos équipes, vos auteurs et vos partenaires. Un dernier mot ?
JDH : Merci à nos équipes et à nos associés d’avoir tenu le cap durant cette année particulièrement difficile, et merci à nos auteurs et à nos lecteurs. Bonnes fêtes de fin d’année à tous.
L’antisémitisme français méritait bien un livre!
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Un climat d’antisémitisme délétère…
Tandis que l’actualité voit en France une recrudescence de l’antisémitisme avec, depuis le 7 octobre, jour de l’attaque d’Israël par le Hamas, 83% des français se montrent inquiets, selon un sondage ELABE publié le 31 octobre.
Tags d’étoiles sionistes sur plusieurs immeubles à Paris et en banlieue, chants antisémites dans le RER, injures et menaces sur les réseaux sociaux… Le fléau a changé de camp, mais il reste le même.
Un livre publié le 11 octobre 2023, donc écrit bien avant le 7 octobre, retrace ce mal français.
Un livre unique qui travaille la mémoire collective
Ce livre n’est pas un livre sur l’antisémitisme comme les autres. Il ne s’agit pas d’un pur essai historique mais d’un essai documenté et illustré. S’appuyant sur de nombreux textes du domaine public : aussi bien des textes de justes comme Émile Zola (« J’accuse » est ici dans son intégralité) ou Anatole France, que des textes antisémites comme ceux de Barrès ou de Maurras. Ces textes sont commentés et reliés par Yoann Laurent-Rouault. Qui, en sa qualité de maître diplômé des Beaux-Arts de Rennes, a également illustré ces textes.
L’affaire Dreyfus occupe le coeur de cet ouvrage. Mais celui-ci, au fil des pages, remonte plus loin et étend aussi sa portée jusqu’à la Seconde Guerre mondiale et même jusqu’à nos jours. C’est dans le fonds littéraire international Memoria Books que ces textes compilés, illustrés et reliés par un profond fil conducteur trouvent logiquement leur place.
L’auteur, Yoann Laurent-Rouault, braque le projecteur sur une vérité nue : celle de l’antisémitisme et de l’antijudaïsme français. Au travers de l’affaire Dreyfus et du procès Zola, des guerres mondiales et des remous de la Ve République, et jusqu’à nos jours. C’est le plaidoyer des justes qui est ici mis à l’honneur. La documentation associée au texte fait état de vérités « françaises » que beaucoup préféreraient continuer d’ignorer. Comme :
-la liste des camps d’internement sous Vichy qui s’étire sur 6 pages,
-la liste « Otto » et la liste « Bernhard »
-la compromission de la presse et de l’édition au travers de grands noms de la littérature et de l’intelligentsia française.
Révisionnisme…
Il nous interroge également sur le phénomène du révisionnisme, que dans notre pays on ne saurait voir en trois couleurs, au nom du « politiquement correct » et d’une certaine idée de la France, comme pour servir un patriotisme cocardier, qui de tout temps a été générateur de crises et de conflits armés. Ici est faite la démonstration que la culture antisémite française qui s’étire sur plusieurs siècles donnera naissance à un courant littéraire moderne et à une pensée raciste et ségrégationniste qui fut un temps homologuée par l’académie et par l’État. « L’antisémitisme, dans les pays où il a une réelle importance, n’est jamais que l’arme d’un parti politique ou le résultat d’une situation économique grave, écrivait Zola. La phrase est pertinente, et ce que je constate aujourd’hui, c’est que pour une certaine France, si « le Juif » est coupable de tout, il est avant tout coupable d’être juif. »
A découvrir dans le fonds « Mémoria Books ». En vente sur Amazon, Fnac, etc.
PODIUM du mois d’octobre
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Interview de Daniel Cohen de Lara, pour son livre très remarqué sur Ichimoku
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Daniel Cohen de Lara, auteur remarqué pour cette rentrée littéraire 2023, a donné une interview à Jean-David Haddad, dans un cadre détendu, pour parler de son nouveau livre « Le pouvoir d’Ichimoku » dans la collection « Les Pros de l’Eco« . En vente sur Amazon et ailleurs :
Cette interview a été réalisée en vidéo et un verbatim suivra ci-dessous la vidéo que voici :
L’AFATE est donc l’Association française des analystes techniques, c’est l’organisation qui est représentative de cet art qu’est l’analyse technique en France
JDH : Je reçois donc aujourd’hui Daniel Cohen de Lara, le président de l’AFATE, qui vient de sortir le livre Le pouvoir d’Ichimoku. Il va nous en dire plus, mais je voudrais déjà vous présenter le livre et sa qualité graphique : il s’agit d’un grand format, et le livre est en couleur avec de très jolis graphiques, car pour ceux qui s’intéressent à la Bourse, Ichimoku est une méthode très visuelle. Mon cher Daniel, pourriez-vous nous en dire un peu plus sur cette méthode qu’est Ichimoku, et au préalable très brièvement vous présenter ainsi que l’AFATE dont vous êtes président ?
DCL : L’AFATE est donc l’Association française des analystes techniques. C’est l’organisation qui est représentative de cet art qu’est l’analyse technique en France, et qui fait partie d’une organisation mondiale qui s’appelle l’IFTA, présente dans une trentaine de pays : en fait tous les pays qui ont une industrie financière importante et qui regroupent à la fois des professionnels de la finance, qui travaillent sur la base de l’analyse technique, et des investisseurs individuels. Cela fait une osmose dans laquelle les investisseurs individuels viennent chercher de la ressource, de la matière chez les professionnels. C’est une association qui a un peu plus de trente ans, qui fonctionne sur un mode extrêmement agréable : on se retrouve une fois par mois, et toutes nos manifestations se finissent par un pot amical.
Superbe. Vous avez dit quelque chose qui m’a interpellé pour l’analyse technique : vous avez parlé d’art. C’est un art, l’analyse technique ?
Oui, c’est un art.
Plus qu’une science ?
Ah ce n’est pas une science ; qui dit science dit quand même science relativement exacte.
Pas forcément, les sciences humaines ne sont pas exactes, les sciences économiques, les sciences sociales…
C’est un art dans la mesure où elle n’a pas la possibilité d’être exacte. C’est une science qui mêle la technique, et beaucoup la psychologie, puisqu’on travaille uniquement sur l’analyse des prix. Et l’objectif de l’analyse technique, c’est à partir des prix au niveau du passé, à partir des supports de marché, des résistances de marché, d’élaborer des scénarios pour l’avenir ; je dis bien élaborer des scénarios. Il y a des scénarios qui vont fonctionner, d’autres qui ne vont pas fonctionner, mais il y a quand même un élément à la fin : seul le marché a raison.
Ichimoku travaille sur des niveaux d’équilibre de marché, lorsque le marché hésite
Et donc Ichimoku est une méthode parmi d’autres pour analyser les graphiques et essayer de prédire les mouvements du marché en bourse, c’est bien ça ?
Tout à fait. Il y a l’analyse technique, qui existe dans le monde occidental depuis 130 ans, qui existe au Japon depuis 250 ou 300 ans, et Ichimoku, qui est d’origine japonaise.
La grande distinction entre les deux, c’est que vous avez la première qui utilise, qui travaille sur les extrêmes de marché ; un support, c’est un extrême vers le bas du marché ; une résistance est un extrême haut du marché ; un canal est entre la branche haute et la branche basse du canal, qui sont des extrêmes de marché.
Ichimoku travaille sur des niveaux d’équilibre de marché, à savoir : lorsque le marché hésite, lorsque le marché cherche une voie, il vient se réfugier dans des zones qui ont certes été travaillées non pas en extrêmes mais en lieux, ou quand le marché a hésité, les investisseurs venaient se réfugier sur ces niveaux. Je vais vous donner un exemple qui est extrêmement récent, qui date de quelques jours, sur le CAC 40.
Je précise donc qu’au moment de cette interview, nous sommes le 12 septembre 2023.
Il y a donc quelques jours, j’avais, dans les émissions que je fais, indiqué qu’il y avait un niveau extrêmement important pour le CAC, qui n’avait jamais été touché en tant que tel, que l’analyse technique classique ne connaissait pas, qui était exactement à 7 189, qui était un niveau d’équilibre long terme décrit par Ichimoku. À deux reprises, le marché est allé toucher exactement le niveau, et en la circonstance en baissant, les acheteurs étaient présents sur ce niveau. Le marché baissait, et sur ce niveau, 7 189, les acheteurs étaient présents, et ce n’était pas jusque-là un niveau d’analyse technique classique. On s’aperçoit également que la grande majorité des niveaux d’analyse technique ont en fait été créés par Ichimoku, parce que c’est la méthode qui fait le mieux le lien entre le fondamental du marché, l’analyse technique et le comportement de l’investisseur.
Ichimoku veut dire « d’un coup d’œil »
De quand date environ la méthode Ichimoku ?
Cette méthode a été le travail d’une vie, d’un monsieur qui s’appelait M. Hosoda. Ichimoku veut dire « d’un coup d’œil ». C’est un homme qui y a consacré sa vie entre les années 30 et 1968, où il a publié l’ensemble de sa méthode. À l’époque, on n’avait pas les ordinateurs qui traitaient une quantité de données énorme ; on travaillait sur du papier millimétré, et donc il a fait travailler des générations d’étudiants en mathématiques et en finances pour mettre au point sa méthode. En fait, sa méthode n’a eu aucun succès au moment de sa sortie, car elle demandait beaucoup trop de traitements d’informations.
Ce n’est qu’au début des années 90 qu’un trader japonais, M. Sasaki, a écrit un livre sur la méthode de M. Hosoda. Là, les ordinateurs avaient tout à fait la capacité à traiter l’énorme quantité de données nécessaires, et c’est là où la méthode a commencé à se développer fortement dans les salles de marché japonaises. C’est la méthode de base des salles de marché japonaises. Ensuite, ce livre a été traduit en anglais, donc il a ouvert les États-Unis à la méthode, et en Europe, en France, à la fin des années 2000, tout début des années 2010.
La méthode Ichimoku est utilisée par beaucoup de gens aujourd’hui ?
Elle est utilisée par de plus en plus d’investisseurs, à la fois privés et de plus en plus professionnels.
Des gérants de fonds ?
Plutôt des analystes techniques, à la fois enseignants, traders, formateurs…
On est d’accord que personne ne peut s’approprier cette méthode, elle est universelle ? Parce qu’un jour, j’ai entendu quelqu’un dire : « Ichimoku, c’est moi. »
Oui, ça a pu être dit. Après, les sentiments de chacun par rapport au travail qu’il a pu faire… Ichimoku, c’est un mode de pensée, qui est de dire : « on travaille sur les équilibres de marché et non pas sur les extrêmes ».
À partir du moment où vous avez défini cette approche, chacun peut penser ce qu’il veut, à partir de son expérience, à partir des outils complémentaires que l’on peut utiliser. C’est une analyse technique, après tout. Moi, j’utilise l’analyse technique en complément d’Ichimoku, et la méthode que je décris dans ce livre, c’est justement : la base, c’est Ichimoku. Mais on ne va pas renier, tourner le dos à 130 ou 140 ans d’analyse technique occidentale, et à 250 ans d’analyse technique. Ça existe, c’est vrai, et ça fonctionne.
Donc l’originalité de mon approche, c’est justement d’abord Ichimoku. Je ne prends jamais de position en bourse qui soit contraire à ce que me dit Ichimoku, mais je viens dans un certain nombre de situations, un certain nombre de cas, me compléter l’analyse. J’ai décrit une méthode qui a justement fait le lien entre « Ichimoku, la base » et l’analyse technique classique qui a sa réalité, sa vie et ses justifications.
Deux petites questions qui concerneront tout particulièrement les gens qui « boursicotent » et qui investissent sur des actions pour faire des plus-values sur un terme plus ou moins long : est-ce que cette méthode peut s’appliquer aux small caps, ou est-ce que ça ne concerne plutôt que les indices ou les très grandes valeurs ?
Non, ça concerne tous les actifs dans toutes les unités de temps.
Même quand ce n’est pas très liquide ?
Même quand ce n’est pas très liquide. Ce n’est pas Ichimoku qui va créer une information qui n’existe pas ; si elle n’existe pas, elle n’existe pas.
Au lieu de travailler sur des extrêmes de marché, sur des actifs qui sont peu liquides, ces extrêmes peuvent être vraiment très extrêmes. On peut avoir sur des produits peu liquides des volatilités à court terme qui peuvent être importantes et qui peuvent brouiller, au contraire, la lecture qu’on peut avoir en analyse technique classique. Ichimoku, ce n’est pas son problème les extrêmes, les points aberrants de marché. Ichimoku va chercher les équilibres du marché.
Un investisseur qui utilise Ichimoku va avoir une cartographie du possible du marché de l’actif en question, qui va être beaucoup plus clair que ce que l’analyse technique va pouvoir indiquer.
Est-ce que cette méthode peut s’appliquer pour faire de l’investissement à long terme ? Par exemple : j’achète une action, mon but c’est de la garder 2 ou 3 ans, mais sur cette période, je ne veux pas faire 5 %, je veux doubler. Est-ce que c’est une méthode pertinente pour cela ?
La méthode est en tout cas beaucoup plus pertinente que l’analyse technique classique. Dans la mesure où, de la même manière, et on revient toujours à ça, on regarde les équilibres de marché, et Ichimoku va aussi indiquer quels sont les supports et les résistances d’équilibre du futur.
Donc un investisseur qui utilise Ichimoku va avoir une cartographie du possible du marché de l’actif en question, qui va être beaucoup plus clair que ce que l’analyse technique va pouvoir indiquer. En fait, l’analyse technique va peut-être donner de grandes directions, mais va avoir beaucoup de mal à donner des niveaux d’équilibre de marché. Concernant les marchés, il y a une forme de suivi, les grands niveaux pour un actif donné, les grands niveaux d’équilibre, s’ils ont été pertinents dans le passé, vont être pertinents dans le futur, parce que ce sont des équilibres que le marché va en permanence aller chercher. Quand on est en tendance, on est en tendance.
D’accord, nous avons bien compris ce travail sur l’équilibre, c’est très visuel.
C’est la base, et c’est effectivement une méthode très visuelle.
On le voit dans les illustrations de ce livre que vous avez écrit et dont vous avez vous-même réalisé les graphiques. C’est un livre assez exceptionnel en soi ; c’est d’ailleurs le livre le plus cher que j’ai édité à ce jour, 65,90 euros, parce que le contenu est quand même très particulier et qu’on pourrait presque dire que c’est un beau livre de Bourse.
En fait, ce format, je l’ai trouvé très original ; on est un peu entre le livre classique et le livre d’art.
Ichimoku, c’est un art
Exactement, et ça rejoint ce qu’on disait au début de l’interview : Ichimoku, c’est un art.
C’est un art, absolument.
Je vous remercie, cher Daniel Cohen de Lara. Le pouvoir d’Ichimoku, chez JDH Éditions, dans la collection Les Pros de l’Éco, par Daniel Cohen de Lara.
Un « livre corporate » sur la première marche du podium en juillet
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- Jean-David Haddad
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Livre d’entreprise, sous-entend que c’est un livre fait par et pour une entreprise, qui pourrait par exemple parler de ses produits, de son historique, etc.
Livre Corporate, sous-entend la même chose, mais pouvant être étendu au delà du monde des entreprises, à une association, une administration, par exemple. En français cela donne « livre corporatif », mais il est vrai que le mot Corporate est très utilisé dans le monde du business.
Livre sur mesure, livre personnalisé, renvoie à un concept plus large, incluant par exemple des biographies de particuliers.
En fait, le livre personnalisé inclut le livre Corporate qui inclut le livre d’entreprise.
C’est aujourd’hui la vocation naissante de JDH ÉDITIONS de se spécialiser dans ce type d’ouvrages. Grâce à notre Directeur littéraire et artistique Yoann Laurent-Rouault, biographe en chef pour l’occasion, nous permettons aux entreprises, mais aussi aux administrations ou associations, de publier des ouvrages. Il faut savoir qu’un livre permet un superbe référencement (Amazon, Fnac, etc), ce qui donne une très belle visibilité à la marque en question. De plus un livre assoit la notoriété de son auteur comme un spécialiste de son domaine. Et peut constituer un beau cadeau pour les clients.
Mais ce n’est pas parce que c’est un livre sur mesure, au sens large, qu’il se vendra moins qu’un autre. La preuve avec le livre de Dominique Large, qui met en avant sa marque de cosmétiques POLARE.
Quelques mots, donc, sur cet auteur et sur sa marque :
Aujourd’hui retraité de la gendarmerie, après une carrière méritant tous les honneurs (il fut le héros qui sauva la petite fille des décombres du crash d’avion du Mont Saint Odile en 1992), Dominique Large se consacre à présent à sa marque de cosmétiques Polare Paris, centré autour de son sérum anti-âge Miracle, élaboré à partir d’une recette héritée de son grand-père. Il est un entrepreneur sexagénaire, ce qui mérite d’être applaudi et encouragé.
D’ailleurs son nouveau livre s’intitule « POLARE, ou comment entreprendre après 60 ans ». Il sera en vente très prochainement.
Pour l’heure, c’est le livre centré sur ses cosmétiques qui a été en tête du podium du mois de juillet.
Ce livre relate l’incroyable histoire familiale de la marque depuis les premières années du XXe siècle et apprend tout à ses lecteurs de la composition de ce cosmétique. Vous trouverez dans les pages de ce livre, entre autres trésors : de la « botanique voyageuse », des révélations sur le cosmétique et son utilisation à travers les âges, des conseils pour votre bien-être, des interviews exclusives du fondateur de la marque, mais aussi le résultat du match entre le Botox like et les injections cutanées de botox et bien d’autres choses…
A noter que Cecilia Siharaj, star de télé-réalité et influenceuse, sur laquelle une biographie est publiée chez JDH ÉDITIONS, est l’égérie de la marque Polare.
La rédaction de cet ouvrage de référence sur les cosmétiques a été réalisée par Yoann Laurent-Rouault, directeur littéraire et artistique de JDH ÉDITIONS.
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