La collection uppercut réveille le pamphlet littéraire. Elle donne de la voix, dénonce et exprime ce que des milliers d’entre nous pensent sans pouvoir le dire.
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Le dernier à paraître était « Bébés connecté : enfance massacrée » d’Elsa Job-Pigeard
Jouer. Penser. Parler. Trois mots qui n’ont rien d’extraordinaire. Pourtant, quand nos enfants sont prisonniers du virtuel, quand la machine décide pour l’homme, quand la parentalité évolue sur circuit imprimé, ces mots perdent leurs sens. Enfance massacrée, c’est-à-dire sacrifiée aux profits de pollueurs du genre, offerte à des besoins absconses, à des parents embrigadés et abusés. Des spécialistes de l’enfance, affolés par ce cirque numérique, par ces applications qui décident pour vous des besoins de votre progéniture, réagissent. L’auteure de ce pamphlet lance l’alerte sur cette enfance saccagée, parce que connectée. Elle écrit parce qu’on ne l’entend pas, parce que l’orthophonie devient cacophonie et que depuis son cabinet elle voit le drame s’amplifier. Ses ennemis : la perte de sens, la perte de l’humain, la corruption du lien parent enfant.
Ses valeurs : la transmission, la réflexion, la force des mots, le libre arbitre.
« La liberté assassinée » de Thomas Andrieu
Un jeune de 17 ans ose ! Statistiques et faits à l’appui, il fait le procès d’un système à bout. Un système tueur de libertés. Paris, ville lumière, s’éteint car c’est tout l’esprit des lumières qui vacille. Écologisme forcené, contrôle des populations, délits d’opinion, etc. La multiplication des lois liberticides grignote nos libertés fondamentales conférés par un État de droit, et bride le citoyen dans sa manière d’agir, d’entreprendre, et bientôt de penser…
Un court pamphlet qui fera longtemps réfléchir, et va à contre-courant des idées exprimées par des jeunes embrigadés dans le moule de la pensée unique.
Ainsi que les deux pamphlet sur le Coronavirus avec « Je ne pouvais pas les laisser mourir ! » du célèbre médecin Jean-Jacques Erbstein
Coronavirus.
Un médecin parle. Un médecin raconte. Un médecin dénonce.
Dans un récit aux tons pamphlétaires, le docteur Erbstein lève l’omerta médicale. Il raconte comment, en très peu de temps, les cabinets médicaux de province, ceux-là même qui sont oubliés de notre administration centrale, sont devenus des champs de bataille, des lieux de souffrance où il a fallu se battre avec abnégation, presque à mains nues. Un virus sous-estimé au départ, devenu en une fraction de seconde la pandémie du siècle, face à laquelle il aura fallu confiner comme au Moyen Âge, à défaut de pouvoir offrir aux médecins les moyens de soigner.
La faillite de l’État-providence et du soi-disant meilleur système de santé au monde, est révélée au grand jour, à travers ce cri du cœur d’un praticien qui a livré une bataille sur le terrain, pour sauver des vies, au péril de la sienne. Un texte fort, puissant, inoubliable.
« Coronavirus, la dictature sanitaire » un livre écrit à huit mains.
Il y en a qui trouvent que face à ce virus maudit appelé Corona, les états n’en font pas assez.
D’autres trouvent qu’ils en font trop.
Il y en a qui en veulent toujours plus des états, quitte à être bridés, contrôlés, infantilisés…
D’autres qui veulent plus de liberté, de responsabilité, de bon sens et qu’on cesse de les prendre pour des enfants, voire pour des imbéciles.
Et ceux-là, s’ils entendent bien mugir dans la campagne sanitaire ce féroce virus qui vient jusque dans nos villes pour fermer nos écoles et affoler nos familles, n’en pensent pas moins des dérives politiques et gouvernementales qui s’appliquent à nos pays.
Ce sont ces derniers qui décident de prendre la parole, à travers 4 textes, 4 courts pamphlets qui très certainement ne laisseront pas les lecteurs insensibles.
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