>>>JHC: Il se passe plus de trois siècles après la Grande Extinction provoquée par la Troisième Guerre Mondiale et la catastrophe écologique, Une forme de civilisation est stabilisée dans l’Amérique du Nord dévastée. La population survit comme elle peut. Une poignée de privilégiés, revenus aux temps féodaux des forteresses, monopolisent le peu de ressources que compte désormais l’ancien « Nouveau Monde ». Les autres, les sans-grade, les misérables, errent dans un no man’s land barbare et apocalyptique. Mais le temps passe et les conflits s’enveniment entre les places fortes et les tribus errantes, menaçant d’entraîner l’Amérique dans une nouvelle guerre totale. Les hommes répéteront-ils les mêmes erreurs ?
>>>JHC: Absolument ! Dans le roman, l’une des cités dominantes est une « cité des Amazones », une ville de femmes qui, grâce au clonage et à l’avance technologique, n’ont plus besoin des hommes.
>>>JHC: Oui ! Elles sont visibles de nos jours. J’ai parfois eu la chance rencontrer des femmes remarquables. Elle le peuvent d’une certaine manière, Surtout sans chercher à imiter les comportements masculins. Les femmes ont suffisamment de ressources: attention, intelligence, souplesse, empathie, ruse, aussi, pour le faire avec leurs propres atouts. C’est ce que montre mon héroïne: une championne qui gagne avec d’autres atouts que la force brutale et la vitesse d’exécution.
j’ai déjà publié un recueil de poèmes: Haïkus des bords de Marne, aux Éditions L’iroli.
J’aimais beaucoup la Science-Fiction classique, Asimov en particulier, et j’en ai gardé le gout pour l’anticipation scientifique et sociétale.
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