Dans cette collection littéraire, nous attribuons un chiffre à chacun de nos livres (plus c’est un chiffre élevé plus c’est un livre qui peut choquer le lecteur. Les chiffres allant de 4.0 à 9.5) : Ci-dessous nos derniers livres en date pour la collection Magnitudes
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« Arythmies » de Laetitia Cavagni
Jean embrasse Emma…du regard. Il embrasse les contours de son corps voilé d’une légère robe noire.
« Et un rire… »
Et si cette légende japonaise prédisait une vérité ? Sommes-nous liés au destin d’une seule personne à notre naissance ?
Pouvons-nous ignorer ce fil rouge tissé de nos cœurs à nos doigts ? De nos doigts à nos cœurs ?
La vie, souvent moqueuse, rétablit un équilibre en empêchant deux êtres de se retrouver. Nous sommes les instruments de sa volonté. Parfois…
« Frissons avec sursis » de Didier Michel
Léo Maizeret, député UDF élu par hasard en mai 1981, disparaît dans la nuit du 12-13 juillet 1982 dans le vol Paris-Miami pour réapparaître en juillet 2018. Pour le commun des mortels, il s’est écoulé 36 ans mais pour lui qui a côtoyé l’immortalité, seulement un mois. Un mois durant lequel il a été confronté à la subtile mécanique de l’univers, du temps dans l’espace et de l’homme face à son destin. Coupable de légèreté et d’inconstance, il est entraîné dans cette forme de rédemption initiatique qui s’avère être une mission divine. Pour orchestrer le ballet de cette âme en déroute, Bermude, féminité et grâce incarnées, lui fera vivre un amour éternel, une ivresse dévastatrice, impossible à imaginer même dans les rêves les plus fous.
« La demoiselle de nulle part » de Thomas Degré
Gabriel, trentenaire un peu décalé, se laisse porter par les événements. Il fait l’amour avec Émilie, une inconnue de dix-sept ans rencontrée dans le métro parisien. Il est interpellé par la police quelques jours plus tard, après la découverte dans le Bois de Vincennes du corps inanimé de la jeune fille sous des branchages. Meurtre ? Viol ?…
Rapidement mis hors de cause, Gabriel, romancier à ses heures, s’isole dans sa maison de campagne avec l’idée d’écrire une histoire d’amour légère et joyeuse, inspirée des Demoiselles de Rochefort. Mais la mort d’Émilie l’obsède.
Rentré à Paris, il mène sa propre enquête. Bientôt, fiction et réalité s’entremêlent, s’imbriquent, se confondent, la fiction venant étrangement éclairer la réalité. Gabriel découvrira-t-il la vérité ? Et quelle vérité ?
Une intrigue sur fond d’amour, besoins d’amour, manques d’amour, abandons et attentes, illusions perdues, qui nous entraîne entre Paris, Royan, Conques, New York et Rochefort et qui rend hommage à la comédie musicale de Jacques Demy.
« D(i)eux » de Franck Antunes
Une, D(i)eux, trois, je dirai en quoi je crois. Une, D(i)eux, trois, il n’y a pas de langue de bois. Une, D(i)eux, trois, mes vœux sont ma foi. Une, D(i)eux, trois, ce que tu liras dans l’avenir fera règle de trois.
Léo écrit pour changer le monde.
Changer le monde… Quelle drôle d’idée !
Pourquoi ? Il n’est pas bien tel qu’il est, le monde ?
Une, D(i)eux, trois, mon stylo n’est pas en bois.
Si l’écriture salvatrice et contestataire pour l’auteur devenait une sorte de lampe d’Aladin. Si le talent de Léo était son mauvais génie… Et si Dieu s’en mêlait… Pourquoi pas, puisque tout est permis. Mais dans l’acte solitaire de l’écriture, comment concrétiser la rencontre avec l’autre. Et aussi avec l’autre, là le très grand… Ce type aux dessins impénétrables…
Une, D(i)eux, trois, tu ne vois que ce que tu crois…
Léo ta vie n’est pas facile. Et tu n’es pas facile. Que vas-tu faire de tout ça ? Réaliser tes rêves, prendre tout ce que tu peux prendre à la vie ? Exploiter ta folie douce et acheter le dernier étage de la plus haute tour ? Ou vas-tu finir par comprendre…
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