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Interview d’INES VIGNOLO, auteure de « Poupée musclée sur lamelles de bonheur »

A l’occasion de la dédicace en ligne qui aura lieu ce week-end, Inès Vignolo répond aux questions de son éditeur Jean-David Haddad.
JDH : Bonjour Inès. Moi je te connais un peu, mais pas forcément nos lecteurs. Peux-tu te présenter et nous parler de ce qui t’a amenée à écrire?
Inès : Je suis une auteure aux origines internationales, née en Équateur et établie en Suisse. Mère, juriste, peintre, philosophe. Bouleversée dans ma santé après des séjours hospitaliers qui ont chamboulé ma vision de la vie et de mes relations, je pars en voyage, et je tente d’amener le lecteur avec moi. Quand je dis l’amener avec moi, c’est dans ma tête… Lui faire partager sans censure mes réflexions sur des sujets qui me tiennent à cœur: l’amour, le couple, la fidélité, la passion. Sans prétendre avoir les réponses aux questions qui nous posons tous…
JDH : Peux-tu nous parler de ton roman, la fameuse « Poupée musclée », et des conditions dans lesquelles tu l’as écrit?
Inès : Une explosion de sincérité, de sentiments et du vécu, crachés sur le papier, du fond des tripes. De la paisible Suisse millimétrée au chaos bruyant de la marmite sud américaine, en passant par la révolte des indigènes d’octobre 2019, que j’ai vécu en direct et dans une profonde angoisse.
Des amours ratés, des amants réussis, sur fond de club échangiste et de réflexions sur nos univers relationnels. Un concentré de vérité crue à avaler sans modération. Vous l’avez classé en MAGNITUDE 8.0: Texte pouvant fortement choquer; réservé aux lecteurs avertis.
JDH : As-tu rencontré beaucoup de monde pour l’écrire?
Inès : Oui, ce livre m’a permis avoir des échanges merveilleux, avec des personnes qui se sont reconnues dans mon récit, dans mes expériences, mes confessions. J’ai été enrichie de leur partage, de leur confiance. Nous vivons tous des histoires “compliquées”, à un moment ou un autre. Elles sont le sel de la vie, les marches qui nous permettent de progresser, de mieux nous comprendre, de mieux aimer peut-être….
JDH : Quelques mots à nos lecteurs?
Inès : Merci de tout cœur pour votre accueil, j’ai écrit avec l’encre de mes tripes et dans un état second de pure sincérité, et je suis touchée au delà de ce que j’aurais pu imaginer par vos retours depuis que le livre est paru. A vous qui vivez la vie avec authenticité, et vérité, merci!
La version en espagnol est en route !
j’ai plaisir à faire partager les retours qui m’ont touchée le plus :
 « J’ai fait connaissance d’une diva sublime et insupportable, tellement attachante. »
 « C’est divinement bien écrit et sataniquement drôle ! »
« En lisant au sujet de ta liberté, je me suis posée des questions douloureuses sur la mienne »
« Un parler franc, qui dit les choses, les sentiments, comme ils sont. Je me suis prise quelques claques ! »
« Un régal, drôle, tellement pertinent, nécessaire ».
JDH EDITIONS
Interview menée par Jean-David Haddad
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Une demi-page dans Midi-Libre pour la Confinée du Peuple!

La Confinée du Peuple, c’est finalement le surnom qu’elle s’est donnée en écrivant son petit traité philosophique! Anne-Sophie Tredet, dont le livre, inclassable en son genre, et publié dans la collection des inclassables, à savoir « Drôles de Pages », bénéficie d’un bel article chez Midi-Libre : une demi-page dans laquelle elle livre qu’elle est en train de réfléchir à une suite!

 

« Petit traité philosophique d’une confinée du peuple«  : un livre entre essai, recueil de pensées, journal intime… A découvrir chez JDH EDITIONS

 

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Dédicace en ligne ce week-end!

JDH EDITIONS organise 4 dédicaces en ligne ce week-end!

Quatre livres de la collection « Nouvelles Pages » :
-« La tueuse de Manhattan » de Pierre Vaude
-« J’ai été accusé du pire » de Bernard Joliot
-« Voyage au coeur des hémispères » de Dimitri Pilon
-« Le revenu universel perpétuel et éphémère » de Didier Curel
Rendez-vous sur JDH EDITIONS, où une interview de chacun de ces auteurs est disponible!
JDH EDITIONS

 

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Interview de Pierre Vaude, auteur de « La tueuse de Manhattan »

A l’occasion de la dédicace en ligne qui aura lieu ce week-end sur le site JDH EDITIONS, Pierre Vaude répond à son éditeur au sujet de son thriller « La tueuse de Manhattan », publié par JDH EDITIONS dans la collection « Nouvelles Pages »

 

JDH : Bonjour Pierre Vaude. Vous avez écrit « La tueuse de Manhattan ». C’est un roman, assez court, qui se lit facilement et qu’on peut classer sans hésiter dans la catégorie « Thrillers ». N’ayant pas encore lancé notre collection dédiée à ce genre littéraire, et ayant été séduits par votre écrit, nous l’avons publié dans notre collection grand public de récits et romans relevant de visions personnelles et de particularités, à savoir « Nouvelles Pages ». Car le moins qu’on puisse dire, c’est qu’une tueuse est en soi une particularité tant nous sommes habitué aux tueurs! Pouvez-vous résumer cette histoire?

 

Pierre Vaude : La tueuse de Manhattan retrace le parcours criminel d’une jeune prostituée Liliana Morales atteinte d’une terrible maladie mentale exacerbée (décuplée) par le drame subi par son fils chéri Mario, victime d’un chauffard. Liliana, prisonnière de sa propre folie meurtrière, consacrera sa redoutable intelligence à semer l’horreur pour échapper à ses geôliers, pourchasser, attraper et punir les coupables, afin de revoir une dernière fois son fils sur son lit d’hôpital.

 

JDH : M’intéressant à l’Amérique du Sud, je sais que c’est d’une part un continent très violent, et c’est d’autre part le seul continent où les femmes participent à la violence autant ou presque que les hommes. Des femmes chef de gang par exemple, on en trouve en Amérique du Sud. Et ces femmes peuvent être aussi des mères formidables. Aussi, votre histoire est-elle inspirée d’une histoire vraie ou bien sortie tout droit de votre imagination?

 

Pierre Vaude : Pas totalement sortie de mon imagination effectivement! Il y a une histoire cachée derrière ce roman.

 

JDH : Allez-y!

 

Pierre Vaude : En vrac et dans le désordre, après mon divorce et une relation toxique, j’ai entrepris de fréquenter des femmes via le net sur des forums de littérature française. Plus ces femmes étaient éloignées de la France, le mieux ça me convenait. J’étais conscient de l’imaginaire, des risques liés à cette correspondance écrite, les fantasmes qu’ils peuvent générer. Conscient certes, mais la lucidité n’a plus cours quand la relation prend un tournant plus intime et que les confidences s’ajoutent aux sentiments qu’inévitablement les deux parties développent de concert.

Alors j’ai voyagé.

Lors d’un voyage en avion, j’ai fait la connaissance d’une femme mature étrangement séduisante, de père cubain. Elle rentrait au Mexique après avoir enterré sa mère française dans son village. Nous avons beaucoup parlé même si j’étais peu dispo à aller plus loin en confidences avec cette femme, puisque amoureux, je rejoignais ma princesse à Mexico et que cette idylle occupait toutes mes pensées.

Cependant, je gardai ses coordonnées.

Quelques années plus tard, je tombai sur des notes que j’avais conservées et décidai de la relancer. La réponse ne tarda pas et j’ai entrepris d’en savoir plus sur l’étrange parcours de cette femme.  Après moult confidences, partagé entre sentiments, peur d’avoir affaire à une mythomane, et dévoré par la soif d’en savoir plus, je suis parti la rejoindre. Mon roman s’inspire largement de ce qu’elle a vécu, elle et les femmes des bas-fonds de La Havane où elle avait passé sa jeunesse.

 

JDH : Très intéressant… Pouvez-vous nous en dire plus sur vous à présent et en particulier votre passion pour l’écriture. Est-ce récent?

 

Pierre Vaude : Non ce n’est pas récent. Je suis un littéraire depuis mon enfance, grâce à mon père et aux livres de la grande bibliothèque familiale, où je pêchais à loisir pour vivre de grandes aventures.  Adulte, les voyages, l’écriture, le théâtre et la mise en scène me permettront de conceptualiser mes propres univers. Les arts et les lettres n’étant pas une source d’enrichissement, j’ai fondé une société qui me permet de vivre et de subvenir largement aux besoins de ma famille. Mais mes enfants élevés, j’ai cédé mon affaire et me consacre totalement à une écriture que je n’ai jamais abandonnée.

Auteur de deux romans intimistes, d’un abécédaire de mots singuliers et abracadabrantesques, d’un thriller, il reste dans mes tiroirs nombre de manuscrits ne demandant qu’à voir le jour.

JDH : Et pour conclure?

Pierre Vaude : Un de mes lecteurs a écrit ceci à mon sujet : « Ses romans sont des histoires de rencontres humaines où l’intrigue est étroitement mêlée à la philosophie de l’existence. Son écriture a ceci d’intéressant qu’elle s’ancre dans l’esprit du lecteur et suscite chez lui, de singulières résonances liées à sa propre expérience, ou à sa compréhension de la vie. Le lecteur ne se sent ainsi jamais très loin du narrateur qui s’immisce dans sa conscience, éveillant presque l’illusion de penser à sa place. »

 

Interview menée par Jean-David Haddad

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Interview de Dimitri Pilon, auteur handicapé qui a fait le tour du monde

Dimitri Pilon, auteur de « Voyage au coeur des hémisphères » sera en dédicace en ligne ce week-end.

Il répond aux questions de son éditeur.

 

JDH : Quand avez-vous eu envie d’écrire?
Dimitri : J ai envie d’ecrire un livre depuis 2013, la première fois qu’une personne m’a demandé d’ecrire , c’etait a Zanzibaar cette même année.
JDH : Pourquoi « Voyages au coeur des hémisphères »?
Dimitri : J ai écrit ce livre pour changer le regard sur le handicap et montrer que tout était possible.
JDH : Comment ressentez-vous votre handicap en France?
Dimitri : En France le véritable problème du handicap est au travail car dans le quotidien cela ne pose pas véritablement pas de soucis particulier. Cela est plus compliqué au travail car mes troubles cognitifs ressortent avec un rythme imposé  : fatigabilité, stress, manque de concentration, sans filtres dans ma manière de communiquer et hypersensibilité qui sont liés au premier la fatigabilité.
JDH : Dans votre tour du monde, quels pays vous ont marqué positivement en negativement par rapport à votre handicap? Et que retenez-vous de votre tour du monde?
Dimitri : Un pays qui m a marqué pour la stigmatisation des handicapés, c’est le Népal en 2004 par son extrême pauvreté fait que les personnes en situation de handicap n ont pas accès au fauteuil roulant. Au Japon on remarque que la société a tendance a cacher ses petits vieux et handicapés. Aux Philippines c est très contradictoire, il y a des tarifs réduits et places réservées pour les personnes en situation de handicap sauf que les routes et les accès ne sont pas accessibles au fauteuil roulant. Trois de mes expériences marquantes ont eu lieu quand je me trouvais à Londres le jour de l’attentat du London Bridge. Ce jour là j’étais dans un bar le « o neils » un peu plus au Nord de la ville en train de regarder la finale de la ligue des champions. Ca fait alors bizarre de recevoir des dizaines de messages de gens qui s inquiètent pour toi alors que toi t’es au courant de rien de ce qui se passe. Ensuite je me souviens très bien du jour où je me promenais au marché de Tsukiji et que j’etais en plein typhon, je me suis pris la plus grosse saucée de ma vie, un vent du diable et une pluie discontinue, et pour finir je parlerais de mon voyage au Senegal en 2009 qui a lancé vraiment mon tour du monde et qui m a donné envie de voyager et de découvrir toutes les cultures du monde. Et bien sur ma rencontre avec ma compagne a été un moment fort mais pour un point de vue plus sentimental
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Le revenu universel : un mot de Didier Curel

Face à la paupérisation qui se dessine d’année en année, après cette crise sans précédent que nous vivons aujourd’hui, se repose la question du revenu universel.

Didier Curel, spécialiste en la matière, auteur du tout nouveau livre « Le Revenu Universel perpétuel et éphémère » , paru chez JDH EDITIONS, s’exprime sur le sujet :

Depuis plusieurs années maintenant ma réflexion sur le revenu
universel, nourrie de diverses rencontres et lectures, s’approfondit.
J’en tire un constat simple : le cantonner à un aménagement économique
est un risque conséquent. Je me suis interrogé sur les questions suivantes :

comment, dans un univers conditionné par la loi du marché, éviter l’inflation, la thésaurisation et l’évasion fiscale?

comment le rendre utile au-delà de la lutte contre la pauvreté?

comment lui donner une dimension sociale solidaire et respectueuse?

comment le rendre écologique?

Ce projet évolutionnaire propose une mise à disposition par la BCE
directement aux citoyens via un circuit direct, indépendant du système
bancaire, inversant la théorie du ruissellement et mettant en avant une
remontée des flux de monnaie par capillarité. Son usage incitera les
commerces et services à rejoindre le rang de ceux mettent l’humain au
centre de leur enjeu, de ceux qui créent du lien plutôt que du bien.
«

Cette nouvelle théorisation est développée dans son dernier livre « Le revenu universel perpétuel et éphémère » qu’il dédicacera en ligne à partir du 13 novembre et pour tout le week-end.

Jean-David Haddad

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JDH se lance dans la ROMANCE! JOUR J!

C’est aujourd’hui vendredi 6 novembre que JDH EDITIONS lance officiellement sa nouvelle collection « ROMANCE ADDICT ».

Son logo est décliné en trois selon le niveau : « ROMANCE », « SEXY ROMANCE » ou « DARK ROMANCE »

Le premier livre de cette collection, écrit par Bella Doré, se déroule dans l’armée. Un univers peu commun pour une romance, et qui, du coup est à découvrir, avec ses règles, ses tabous, etc.

« COEURS DE SOLDATS » est en vente depuis ce matin sur JDH EDITIONS.

Une pré-vente unique avec un cadeau offert aux 25 premières lectrices.

Cœurs de soldats

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Les deux économistes de JDH Editions s’expriment sur la crise actuelle et la reprise imaginaire…

Alors que sur les grands médias, les économistes parlent de reprise, les deux économistes de JDH EDITIONS, le professeur et l’élève, s’expriment sur « Les Pros de l’Eco » (média « spin-off » de JDH EDITIONS), sur la crise économique actuelle et surtout sur les perspectives.

Tandis que Jean-David Haddad, l’éditeur qui voit en face le monde d’après, nous parle de ce que les économistes appellent « reprise en K », Thomas Andrieu, le boulimique des cycles, nous parle du cycle économique à venir et nous livre ses prévisions.

Article de Jean-David Haddad :

https://www.lesprosdeleco.com/apres-la-crise-les-economistes-parlent-de-reprise-en-k/

Article de Thomas Andrieu :

https://www.lesprosdeleco.com/un-apercu-des-cycles-economiques-passes-et-a-venir-dans-le-temps-thomas-a/

Jean-David Haddad a écrit « FACE AU MONDE D’APRES » et Thomas Andrieu a écrit « 2021. PREMICES DE L’EFFONDREMENT »

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Deux nouveautés de la rentrée sur notre TOP 3 des ventes du mois d’OCTOBRE!

Ana Jan Lila : retenez bien ce nom… Cette nouvelle auteure va faire parler d’elle. Auteure du tome 1 de la trilogie « De Stockholm à Lima« , sous la direction littéraire de Yoann Laurent-Rouault, son tome 1 qui s’apparente à une « bad romance littéraire », publié le 24 septembre dans la collection Magnitudes, et affublé d’un niveau de Magnitude 9.0, est sur le podium de nos meilleurs ventes d’Octobre! Il est le numéro 3 de ce classement.

En 2ème position, c’est l’incroyable retour de « Devenez Trader Pro » de Benoist Rousseau, best-seller de JDH EDITIONS en 2019 et qui continue de faire des centaines de ventes par mois… C’est devenu LE LIVRE DE REFERENCE du trading en France.

Enfin, retour du confinement oblige, une belle première place pour le « Petit traité philosophique d’une confinée du peuple », dans la collection « Drôles de Pages », écrit par Anne-Sophie Tredet. Troublante, dérangeante, intimiste, séduisante, délicieusement femme et incroyablement « elle ». C’est notre meilleure vente du mois d’octobre 2020 : le petit traité philosophique d’une confinée du peuple!

Jean-David HADDAD

 

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