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Deux livres inédits

Voici deux livres inédits, deux livres pour le bien de l’autre !

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« Crée ton succès » de Lula Maille est le premier livre publié dans la collection Baraka.
Partie de rien, Lula Maille a construit son propre succès selon ses propres règles, sans jamais devoir se plier à des ordres ou à des règles qui n’auraient pas été les siennes.

Dans ce premier livre qu’elle écrit, elle raconte sans tabous son histoire, tout en donnant, au fur et à mesure des étapes, des conseils clairs, directs et avisés à ses lecteurs.

A travers ces pages, s’opère une vraie progression qui permettra à l’entrepreneur lisant ces lignes, de lever bien des obstacles et de se dire : « comment n’y ai-je pas pensé plus tôt ? »

« Crée ton succès » est à la fois un livre de recettes à l’américaine mais aussi un conte vécu et réaliste, à la française !
Lula Maille démocratise enfin « le rêve français » !

 

« Regards d’enfants des rues » est un livre de photos réalisé par Frédéric Granotier pour l’association « Rêves d’enfants des rues ».
« Rêves d’enfants des rues » est une association humanitaire ayant pour objectif d’aider les enfants en situation de grande précarité.

Le 1er projet auquel se consacre l’association consiste à financer la construction d’un centre d’accueil pour ces enfants des rues de Manille, que vous voyez sur ces photos, sur un terrain de 2 hectares reçu en donation à San Carlos, à 200 km au nord de la capitale des Philippines.

L’objectif de ce projet est de permettre à ces enfants d’échapper, ponctuellement, à l’enfer de leur bidonville, et de leur faire prendre conscience qu’il existe des lieux sans violence dans lesquels la vie n’implique pas un combat de chaque instant.

Au-delà de ces parenthèses offertes par ce lieu d’accueil, la finalité est de leur montrer qu’une vie est possible hors du bidonville, et que cela implique d’aller à l’école, de faire des études, de développer le goût de l’effort, et de se plier à des règles et à une rigueur quotidienne.

Par un projet éducatif et un partage des savoirs, des expériences et des compétences entre des bénévoles et ces enfants des rues réunis dans ce même lieu d’accueil, « Rêves d’enfants des rues » souhaite contribuer aussi à créer des liens entre des êtres humains que leurs conditions de vie matérielles séparent radicalement, alors que chacun peut aider l’autre à grandir sur un chemin d’humanité.

L’intégralité des bénéfices de ce livre étant reversée à l’Association « Rêves d’enfants des rues », par son achat, vous aidez les enfants des bidonvilles de Manille à réaliser leurs rêves. 

www.revesdenfantsdesrues.org

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Collection uppercut collection qui dénonce

La collection uppercut réveille le pamphlet littéraire. Elle donne de la voix, dénonce et exprime ce que des milliers d’entre nous pensent sans pouvoir le dire.

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Le dernier à paraître était « Bébés connecté : enfance massacrée » d’Elsa Job-Pigeard
Jouer. Penser. Parler. Trois mots qui n’ont rien d’extraordinaire. Pourtant, quand nos enfants sont prisonniers du virtuel, quand la machine décide pour l’homme, quand la parentalité évolue sur circuit imprimé, ces mots perdent leurs sens. Enfance massacrée, c’est-à-dire sacrifiée aux profits de pollueurs du genre, offerte à des besoins absconses, à des parents embrigadés et abusés. Des spécialistes de l’enfance, affolés par ce cirque numérique, par ces applications qui décident pour vous des besoins de votre progéniture, réagissent. L’auteure de ce pamphlet lance l’alerte sur cette enfance saccagée, parce que connectée. Elle écrit parce qu’on ne l’entend pas, parce que l’orthophonie devient cacophonie et que depuis son cabinet elle voit le drame s’amplifier. Ses ennemis : la perte de sens, la perte de l’humain, la corruption du lien parent enfant.
Ses valeurs : la transmission, la réflexion, la force des mots, le libre arbitre.

 

« La liberté assassinée » de Thomas Andrieu
Un jeune de 17 ans ose ! Statistiques et faits à l’appui, il fait le procès d’un système à bout. Un système tueur de libertés. Paris, ville lumière, s’éteint car c’est tout l’esprit des lumières qui vacille. Écologisme forcené, contrôle des populations, délits d’opinion, etc. La multiplication des lois liberticides grignote nos libertés fondamentales conférés par un État de droit, et bride le citoyen dans sa manière d’agir, d’entreprendre, et bientôt de penser…
Un court pamphlet qui fera longtemps réfléchir, et va à contre-courant des idées exprimées par des jeunes embrigadés dans le moule de la pensée unique.

 

Ainsi que les deux pamphlet sur le Coronavirus avec « Je ne pouvais pas les laisser mourir ! » du célèbre médecin Jean-Jacques Erbstein
Coronavirus.
Un médecin parle. Un médecin raconte. Un médecin dénonce.
Dans un récit aux tons pamphlétaires, le docteur Erbstein lève l’omerta médicale. Il raconte comment, en très peu de temps, les cabinets médicaux de province, ceux-là même qui sont oubliés de notre administration centrale, sont devenus des champs de bataille, des lieux de souffrance où il a fallu se battre avec abnéga­tion, presque à mains nues. Un virus sous-estimé au départ, devenu en une fraction de seconde la pandémie du siècle, face à laquelle il aura fallu confiner comme au Moyen Âge, à défaut de pouvoir offrir aux médecins les moyens de soigner.
La faillite de l’État-providence et du soi-disant meilleur système de santé au monde, est révélée au grand jour, à travers ce cri du cœur d’un praticien qui a livré une bataille sur le terrain, pour sauver des vies, au péril de la sienne. Un texte fort, puissant, inoubliable.

 

« Coronavirus, la dictature sanitaire » un livre écrit à huit mains.
Il y en a qui trouvent que face à ce virus maudit appelé Corona, les états n’en font pas assez.
D’autres trouvent qu’ils en font trop.
Il y en a qui en veulent toujours plus des états, quitte à être bridés, contrôlés, infantilisés…
D’autres qui veulent plus de liberté, de responsabilité, de bon sens et qu’on cesse de les prendre pour des enfants, voire pour des imbéciles.
Et ceux-là, s’ils entendent bien mugir dans la campagne sanitaire ce féroce virus qui vient jusque dans nos villes pour fermer nos écoles et affoler nos familles, n’en pensent pas moins des dérives politiques et gouvernementales qui s’appliquent à nos pays.
Ce sont ces derniers qui décident de prendre la parole, à travers 4 textes, 4 courts pamphlets qui très certainement ne laisseront pas les lecteurs insensibles.

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Les collectifs de JDH Éditions

Cette collection permets de mettre en commun plusieurs écrits, rédigés par plusieurs auteurs : Voici nos collectifs

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Nous avions tout d’abord eu « Stupeur et confinements »
Deux mots qui ne vont pas très bien ensemble. Pourtant, face aux récents événements, avec vécus et ressentis, un collectif d’auteurs s’est réuni pour produire ce recueil unique. Unique par sa diversité, par ses angles de vues, par ses opinions, par les questions qu’il soulève. Nous avons tous vécu la crise sanitaire de ces derniers mois avec colère, tristesse, angoisse et au final, le temps aidant, avec du recul.

 

Aujourd’hui nous avons aussi « Nos violences conjuguées »
La violence fait partie de nos vies et ses prestations de sévices sont vastes. Féminicides, violences sexuelles, violences familiales, conjugales, infanticides, violences verbales, violences en réunion, automutilation, âpreté des sentiments, domination, perversion, narcissisme…
L’horreur est humaine.
Son terrain de jeu est vaste.
Tous, nous sommes, serons ou avons été confrontés à la violence. Dans ce collectif, dix femmes et quatre hommes, d’âges et d’horizons différents témoignent des violences qu’ils ont subies comme des violences qu’ils ont données. Sans filtres. Parfois durement. Sous diverses formes. Entre témoignages et confessions, dans l’actualité des affres du confinement, des conséquences de ce bouleversement sociétal, ce recueil libérateur a pour but de vous emmener vers une réalité que beaucoup d’entre nous nient. Et qui pourtant, ne cesse et ne cessera de détruire des vies : nos violences conjuguées.

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Drôles de pages

Ces drôles de pages vous redonneront la bonne humeur pour cet été : collection drôle de pages

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« Gaufrette aux piments ou les pérégrinations d’une assistante pas très sociale » de Bérénice jolilac
Gaufrette aux piments ?
Et pourquoi pas « tartelette au poivre » ou « café liégeois au sel de Guérande » ?
Titre étrange…

Étrange, mais cela prend tout son sens, quand on comprend que cette gaufrette aux piments n’est pas un dessert farfelu, mais bel et bien une femme. Ou, pour être exact, un mètre cube de tendresse corrosive, d’humour et d’humanité. D’ailleurs c’est ainsi qu’elle se décrit : un mètre cube. Et c’est ainsi que je comprends ce personnage détonnant.
Ce roman est hors norme. Totalement incorrect. Son auteure est du même calibre. Il est connu que les gaufrettes aux piments n’engendrent pas des éclairs à la moutarde, au même titre que les chiens ne font pas des chats. Et ce qui est certain c’est que vous ne croquerez plus jamais dans une gaufrette sans y penser.

À dévorer sans modération.

 

« Le meurtre du bon sens » de Gilles Nuytens
Le meurtre du bon sens. Ce n’est pourtant pas une histoire Belge, même si depuis Bruxelles, pour l’auteur, la situation à l’air d’une farce. Et l’histoire se répète dans le monde entier. La blague est dite même en latin. Les croyants brûlent des cierges. La pandémie pantomime donne lieu à une dictature sanitaire à tendance psychotique, citoyenne comme gouvernementale. Heureux les hypocondriaques, car les portes des hôpitaux leurs sont grandes ouvertes ! Heureux les gouvernants, car le fantasme du contrôle des masses est devenu réalité ! Heureux les fascistes à la petite semaine, car ils peuvent décider du sort de leurs prochains !

Un fascisme ordinaire et maussade se met en place, partout, pour une situation elle aussi ordinaire que la masse média a voulu rendre extraordinaire. L’homme de bien et de raison oscillera alors entre deux tendances. Devenir con ou le rester. Réfléchir, en appeler à sa raison ou bien bêler sans se soucier de la marque de la tondeuse.

Gilles Nuytens, sujet sensible et disciple du bon sens nous livre avec ce texte enflammé, sa vision des choses, que vous approuverez, si tout comme certains, vous pensez que cette crise sanitaire donnera effectivement naissance à ce que beaucoup appellent déjà : le monde d’après.

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Nos nouvelles pages

Voici nos derniers livres publiés dans une collection avant-gardiste de visions personnelles. Des textes de tous genres, des talents de demain : la collection nouvelles pages

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« Cent papiers sans pieds » de Tiffany Ducloy
Dans les transports en commun, j’ai élimé mon regard sur les coquilles vides des humains. De coquilles froissées en coquilles fêlées, j’ai fini par faire feu sur ma coquille frileuse. Relation sentimentale chaotique et désordre anarchique, féminisme timide et excentrisme avide. La femme est mon personnage, elle brille dans toutes les pages parce qu’elle est le génie qui encense ce voyage. Rouge comme la rose, elle se meut comme un vers dans une prose, combattante et militante, la femme est méritante.

Une poésie sans poèmes pour jouer avec les mots et des poèmes sans poésie pour me délester de mes maux. Ce livre est mon exutoire pour me lancer du haut du plongeoir. La société n’a qu’à bien se tenir.

 

« Un aigle dans la ville » de Damien Granotier
Quand un aigle épris de liberté, taciturne et solitaire entre en collision avec un poulet de basse-cour et se retrouve cloué au sol, il doit se résigner à rejoindre la ville qu’il avait quittée des années auparavant. La trouvera-t-il changée ? Devra-t-il pointer à Poule emploi ? Saura-t-il s’y adapter alors que bon nombre de ses contemporains lui semblent marcher sur la tête ?
Avec cette histoire rocambolesque librement inspirée des Contes de Grimm, des Fables de Lafontaine et du film d’animation Chicken Run, l’auteur met en exergue les travers de notre société d’une façon jubilatoire.
Que vous ayez de 9 à 99 ans, ce livre vous donnera le sourire.

 

« La voltigeuse de Constantinople » de Laurent Dencausse
Childéric Sconce, quasi-quadra parisien, gratte-papier modeste amateur de danses de salon, va, par suite d’un malheureux accident de paso-doble et d’un coup de fil inattendu, se retrouver embarqué dans une douloureuse affaire d’enlèvement d’enfant.

Afin de secourir une cousine hystérique et son rejeton mollasson, il va, flanqué d’une jolie étudiante et épaulé par des forces de police consciencieuses, franchir le Rhin et ses barrières mentales et se découvrir une âme d’aventurier, de celles qui font chavirer le cœur des belles esthéticiennes en mal d’horizons nouveaux.

Et tant pis s’il lui faudra pour cela rater sa série préférée !

 

« Le bal des vampires et autres nouvelles du monde financier » de Sébastien Thiboumery
Le monde financier parisien. Un microcosme. Si bienséant en apparence. Qui soigne tant ses apparences, justement. Mais sûrement moins bienséant et pas du tout bienveillant dans ses arcanes et ses profondeurs. Ce court recueil de nouvelles transportera tout de suite le lecteur au cœur de ce monde, ses histoires, ses malversations, ses questionnement. Des nouvelles inspirées de faits réels, qui permettront aussi au lecteur de se familiariser avec quelques notions boursières.

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Notre collection littéraire Magnitudes

Dans cette collection littéraire, nous attribuons un chiffre à chacun de nos livres (plus c’est un chiffre élevé plus c’est un livre qui peut choquer le lecteur. Les chiffres allant de 4.0 à 9.5) : Ci-dessous nos derniers livres en date pour la collection Magnitudes

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« Arythmies » de Laetitia Cavagni
Jean embrasse Emma…du regard. Il embrasse les contours de son corps voilé d’une légère robe noire.
« Et un rire… »

Et si cette légende japonaise prédisait une vérité ? Sommes-nous liés au destin d’une seule personne à notre naissance ?
Pouvons-nous ignorer ce fil rouge tissé de nos cœurs à nos doigts ? De nos doigts à nos cœurs ?
La vie, souvent moqueuse, rétablit un équilibre en empêchant deux êtres de se retrouver. Nous sommes les instruments de sa volonté. Parfois…

 

« Frissons avec sursis » de Didier Michel
Léo Maizeret, député UDF élu par hasard en mai 1981, disparaît dans la nuit du 12-13 juillet 1982 dans le vol Paris-Miami pour réapparaître en juillet 2018. Pour le commun des mortels, il s’est écoulé 36 ans mais pour lui qui a côtoyé l’immortalité, seulement un mois. Un mois durant lequel il a été confronté à la subtile mécanique de l’univers, du temps dans l’espace et de l’homme face à son destin. Coupable de légèreté et d’inconstance, il est entraîné dans cette forme de rédemption initiatique qui s’avère être une mission divine. Pour orchestrer le ballet de cette âme en déroute, Bermude, féminité et grâce incarnées, lui fera vivre un amour éternel, une ivresse dévastatrice, impossible à imaginer même dans les rêves les plus fous.

 

« La demoiselle de nulle part » de Thomas Degré
Gabriel, trentenaire un peu décalé, se laisse porter par les événements. Il fait l’amour avec Émilie, une inconnue de dix-sept ans rencontrée dans le métro parisien. Il est interpellé par la police quelques jours plus tard, après la découverte dans le Bois de Vincennes du corps inanimé de la jeune fille sous des branchages. Meurtre ? Viol ?…

Rapidement mis hors de cause, Gabriel, romancier à ses heures, s’isole dans sa maison de campagne avec l’idée d’écrire une histoire d’amour légère et joyeuse, inspirée des Demoiselles de Rochefort. Mais la mort d’Émilie l’obsède.
Rentré à Paris, il mène sa propre enquête. Bientôt, fiction et réalité s’entremêlent, s’imbriquent, se confondent, la fiction venant étrangement éclairer la réalité. Gabriel découvrira-t-il la vérité ? Et quelle vérité ?

Une intrigue sur fond d’amour, besoins d’amour, manques d’amour, abandons et attentes, illusions perdues, qui nous entraîne entre Paris, Royan, Conques, New York et Rochefort et qui rend hommage à la comédie musicale de Jacques Demy.

 

« D(i)eux » de Franck Antunes
Une, D(i)eux, trois, je dirai en quoi je crois. Une, D(i)eux, trois, il n’y a pas de langue de bois. Une, D(i)eux, trois, mes vœux sont ma foi. Une, D(i)eux, trois, ce que tu liras dans l’avenir fera règle de trois.

Léo écrit pour changer le monde.
Changer le monde… Quelle drôle d’idée !
Pourquoi ? Il n’est pas bien tel qu’il est, le monde ?
Une, D(i)eux, trois, mon stylo n’est pas en bois.

Si l’écriture salvatrice et contestataire pour l’auteur devenait une sorte de lampe d’Aladin. Si le talent de Léo était son mauvais génie… Et si Dieu s’en mêlait… Pourquoi pas, puisque tout est permis. Mais dans l’acte solitaire de l’écriture, comment concrétiser la rencontre avec l’autre. Et aussi avec l’autre, là le très grand… Ce type aux dessins impénétrables…

Une, D(i)eux, trois, tu ne vois que ce que tu crois…

Léo ta vie n’est pas facile. Et tu n’es pas facile. Que vas-tu faire de tout ça ? Réaliser tes rêves, prendre tout ce que tu peux prendre à la vie ? Exploiter ta folie douce et acheter le dernier étage de la plus haute tour ? Ou vas-tu finir par comprendre…

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« Face au monde d’après » : extraits dévoilés

Voici des extraits dévoilés de l’essai de Jean-David Haddad, « Face au monde d’après« .

ECONOMIE INTERNATIONALE
« De nombreuses entreprises françaises, en raison de coûts de main d’œuvre très élevés en France, ont délocalisé leur production en Chine, et en particulier à Wuhan. Cela a par exemple posé un véritable problème au niveau de l’approvisionnement en masques de protection. C’est le cas, citons-le, de la PME française Delta Plus Group qui fabrique de nombreux équipements de protection… dont des masques. Une partie du retard de la France en termes de disponibilité des masques au printemps 2020 s’est expliquée par le fait que la production soit localisée en Chine.
Le problème des masques de protection restera gravé comme un des principaux problèmes rencontrés par la France face à la pandémie. Et la mondialisation a été montrée du doigt… comble du cynisme politique (ou pas ?), par un Président de la République pro-mondialisation !
«

« Cependant, la relocalisation de la production, l’affirmation des souverainetés nationales, seront une sorte de trompe-l’œil, un mirage souverainiste, car la mondialisation des discours, des idées, et des doctrines, va quant à elle se poursuivre par le biais d’institutions supranationales craintes et respectées comme le FMI ou l’OMS. Et ne parlons pas de l’ONU ! Ou du G7 ! Ou de l’OTAN, organisme moins présent sur la scène internationale depuis quelques années, mais toujours d’une grande activité. D’ailleurs, durant la crise du coronavirus, l’OMS a été une boussole permanente pour les scientifiques, les dirigeants et les médias. Pourtant, le président de l’OMS, du moins celui en place au moment où sont écrites ces lignes, n’est même pas médecin ! Le « gouvernement mondial » qui ne dira jamais son nom, va continuer subrepticement à se mettre en place en dépit des souverainismes visibles à l’œil nu. Les dirigeants des grandes puissances, malgré les tensions qui s’installeront entre certains, continueront, par le biais de ces institutions, à former une sorte de cartel. Le G7, le G20, seront toujours aussi actifs !
Les marchés financiers seront plus que jamais les carrefours du financement des états car la crise économique qui commence en 2020 ira de mal en pis, et que le financement passe obligatoirement par les marchés internationaux de capitaux. Aussi bien le financement des états par le biais des obligations, que celui des grandes entreprises, par le biais des actions et des obligations, convertibles ou pas. Cela sera d’autant plus vrai qu’en période de crise les banques réduisent le financement.
Les institutions internationales technocratiques comme le FMI ou la BCE seront les nobles chevaliers venant à la rescousse des états les plus faibles et des défaillants. Ce qui renforcera le pouvoir de ces institutions. Les liens entre états seront assurément moins commerciaux, éventuellement moins productifs, mais probablement encore plus financiers. « 

ECOLOGIE
« La crise sanitaire du printemps 2020 a permis aux gouvernements de s’imposer de manière autoritaire. Pour cause de santé publique, pour cause d’urgence sanitaire, plusieurs pays européens ont basculé dans l’autoritarisme politique, avec, rappelons-le, un fort soutien de l’opinion publique.
Vu que la trajectoire empruntée depuis une bonne dizaine d’années était celle de réglementations écologiques de plus en plus poussées, il est facile, désormais, d’imaginer que dans un futur proche, on interdira totalement de circuler en voiture lors des périodes de pics de pollution, à moins que la dite voiture soit électrique, et encore… Surtout dans les grandes villes, où sont déjà en place des constructions de milliers de pistes cyclables, venant rogner sur la route. On pense à Londres et Paris qui se sont lancées dans ce type de projet mais aussi à des villes secondaires comme Grenoble.
Il est facile également d’imaginer que sous prétexte de santé publique, le confinement, qui a été imposé, le soit à nouveau, sur des créneaux horaires, pour cause de pollution.
Il est facile d’imaginer que le tri des déchets soit obligatoire, et contrôlé par des caméras de surveillance à reconnaissance faciale placées dans les locaux à poubelles ou sur la voirie…
Il est facile d’aller encore plus loin et d’imaginer une police écologique !
Rien, dans l’opinion publique, ni dans la trajectoire prise par les gouvernements, ne laisse suggérer que cela soit impossible. N’oublions pas que le 4 mars 2020, la Commission européenne a annoncé sa volonté d’inscrire l’objectif de neutralité climatique à l’horizon 2050 dans la législation afin de rendre cet objectif contraignant pour tous. Le mot contraignant est fort et il peut laisser sous-entendre une contrainte policière voire militaire.
«

RECESSION : CONSEQUENCES
« La récession actuelle va provoquer une déflation massive. Cela est logique : le pays ayant été mis à l’arrêt, il va y avoir de nombreuses faillites, donc moins de production et plus de chômage. Par conséquent moins de revenus. Si on produit moins, et qu’il y a moins de demande du fait d’une baisse de revenus, il y aura moins de tensions sur les prix. Avec une baisse du pouvoir d’achat, les prix peuvent donc baisser. Cette récession déflationniste augmente donc considérablement le poids relatif des dettes dans l’économie comme indiqué plus haut. La déflation pousse également vers un regain d’intérêt immédiat pour l’épargne et la détention de devises (la déflation dévalorise les actifs et valorise la devise). Le taux d’épargne en France, avant la crise, était déjà anormalement élevé… La constitution d’une épargne étant une habitude profondément ancrée dans la société française, cette proportion du revenu qui est épargnée tourne autour de 14% en 2018, alors qu’elle n’est que de 8% aux Etats-Unis. Or, en France l’essentiel de l’épargne est orientée, non pas vers les actions (donc vers les entreprises) comme aux Etats-Unis, mais vers les obligations d’Etat, bien souvent sans que les ménages ne le sachent. Tel est le cas par exemple du livret A… Une épargne orientée vers la création de richesse aux Etats-Unis, et vers l’Etat en France… Voilà qui traduit bien la différence de culture !
Dans un premier temps, la crise sanitaire va donc provoquer une déflation. D’ailleurs les premiers chiffres montrent que les prix n’ont pas augmenté en mars 2020 en France et quasiment pas en avril de la même année. Malgré les tensions sur l’alimentation.
Mais… Attention ! Une inflation nulle avec un PIB en baisse, génère de facto une baisse de pouvoir d’achat, donc une paupérisation.
Une fois que la première partie de la crise sera derrière nous, disons début 2021, la déflation fera progressivement place à de l’inflation.
Pourquoi un si brutal changement de cap ? (…)
«

BOURSE
« Plus une crise est sévère, plus la première jambe de rebond après le krach initial est importante en raison des injections de liquidités des banques centrales… D’où la vigueur du rebond constatée en cette fin de printemps 2020.
Quand la phase X1 sera finie, ce qui devrait être le cas en fin d’été, avec un CAC 40 pouvant remonter vers 5500 points… alors, nous entrerons très probablement dans la phase Y qui pourrait amener le CAC 40 assez bas. Une fois que l’euphorie provoquée par les injections de liquidités de la BCE sera finie elle aussi. Ce seraient alors les premiers signes économiques de reprise bien plus molle que prévu qui mettraient le feu aux poudres.
«

« Placer sur les géants de l’industrie pharmaceutique, sur les géants de l’industrie hospitalière, a toujours été un bon pari, et pourrait l’être encore, à condition de savoir longtemps, très longtemps conserver ses actions, voire même réinvestir les dividendes distribués.
Les leaders des télécoms, comme Orange, devraient aussi bien s’en tirer. Le confinement leur a été propice, et, bien que ces sociétés investissent lourdement et soient sur des marchés concurrentiels, la baisse des prix des forfaits téléphoniques semble terminée. La hausse prévisible du télétravail va les favoriser.
A l’opposé de la chaine entrepreneuriale, de nombreuses start-up ou tout simplement des PME bien implantées, positionnées sur des domaines comme la décontamination, la surveillance vidéo, les logiciels de télétravail, les services à l’environnement, vont s’affirmer, tant par leur notoriété, que par leur croissance et leur rentabilité. Evidemment, pour investir sur ce genre d’actions, il ne faut pas s’y prendre au hasard. De tels investissements doivent être le fruit d’études et de recherches méthodiques et minutieuses. De tels investissements étant par nature risqués.
«

RETRAITE
« Prendre ou pas sa retraite ?
La question va se poser pour beaucoup de personnes de la génération X dans les « années 20 ». En effet, ceux qui sont nés dans les années 60 (début de la génération X, génération qui a suivi celle du baby-boom, déjà à la retraite), vont fêter leur sexagénat au cours de la décennie.
Pour eux, en France du moins, l’âge légal de départ à la retraite est à 62 ans. Partir à l’âge légal ne garantit pas d’obtenir pour autant une pension de retraite à taux plein si les postulants n’ont pas tous les trimestres requis. Cette condition de trimestres est cependant levée dès lors que le départ s’effectue à partir de 67ans, âge du taux plein automatique.
La plupart des français seront tentés par un départ à 67 ans, pour bénéficier de leur pension à taux plein. Seulement, ce calcul n’est peut-être pas le meilleur.
«

De nombreuses autres questions sont abordées : dictature, opinion publique, télétravail, économie souterraine, etc

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Podium de juillet : Erbstein toujours numéro 1. Suprenante entrée de Catuogno et Ducloy!

Et voici notre (surprenant) classement des meilleures ventes de juillet! Il révèle en effet deux surprises de taille.
Sans surprise, toujours numéro 1 : le récit pamphlétaire du Docteur Erbstein, bien évidemment, car le besoin de savoir la vérité sur la gestion de la crise du COVID, ce que nous ont caché les médias, est un besoin humainement très important!

Première surprise, on trouve deux nouvelles auteures littéraires sur le podium. En effet, en deuxième position, le feel-good de Marie-Claude Catuogno, très acheté par les libairies, suite à une incroyable campagne de son auteure; puis, en troisième position, le livre « ovni », inclassable de Tiffany Ducloy, à la fois frais, acerbe, aiguisé, caustique… qui inaugure la collection « Nouvelle pages »! Là aussi, un formidable travail de son auteure.

Deuxième surprise, pour la première fois depuis plus d’un an le livre de Benoist Rousseau, « Devenez trader pro », quitte de podium! Il reste bien sur le livre le plus vendu à ce jour de JDH Editions, mais, bien qu’approchant la centaine de ventes sur juillet, est désormais devancé par ces nouveaux entrants. Qui montrent la montée en puissance du pôle littéraire de la maison.

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Tiffany Ducloy sur la rampe de lancement de la starification!

Elle est l’auteure de l’été! Notre auteure de l’été. Nous l’avons lancée. Nous avons à plusieurs reprises fait le suivi des road shows de Tiffany Ducloy.

La presse s’empare à présent du phénomène Tiffany… Un déferlement d’énergie et d’audace dans le monde de l’édition!

Son livre de pensées satiriques « Cent papiers sans pieds » ne cesse de faire parler de lui… Et du coup, aussi le livre collectif « Stupeur et confinements », livre emblématique de la maison JDH.

Pour rappel : Tiffany sera en dédicace samedi 25 juillet après-midi à la librairie « Le Grand Cercle » de Saint-Gratien (Val D’oise).

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Face au monde d’après COVID : l’auteur dévoile comment il a écrit ce livre

Le seul essai disponible sur le marché qui concerne ce que les médias nomment « le monde d’après », a été écrit par Jean-David Haddad, et publié chez JDH Editions début juillet.

Il se nomme « Face au monde d’après ». Sous-titre : « Du COVID à 2030 : s’adapter à ce qui pourrait nous attendre ».

Hier sur Francebourse.com, l’auteur s’est exprimé et a dévoilé comment il a écrit cet ouvrage.

Il écrit ceci :

« Je menais une double réflexion, à la fois sur les évolutions prévisibles et sur leurs répercussions boursières.
C’est en réfléchissant sur « DEMAIN » que je vous ai recommandé de bonnes valeurs, et qui permettent à notre portefeuille de très bien s’en tirer. Mais cette réflexion sur « DEMAIN », j’avais besoin de la mettre par écrit, de la structurer.
Ainsi est né cet essai. Qui est totalement en corrélation avec mes réflexions boursières.

Il s’agit donc d’un essai de prospective et d’investigation sur les années qui viennent.
Le champ étudié concerne toute la sphère habituelle de laquelle je parle régulièrement ici (bourse, finance, économie, dettes publiques, etc), mais il concerne aussi le champ politico-sociologique (libertés individuelles et publiques, monde du travail, etc).

Après une introduction philosophique, je traite dans une première partie des perspectives qui me semblent probables sur les années à venir (ampleur de la crise à venir, accroissement des inégalités, entreprises qui vont gagner du pouvoir de marché, avenir de nos libertés, montée de l’écologie, etc); puis dans une deuxième partie, je traite des manières de s’adapter à cet avenir : stratégies par rapport à nos retraites, stratégies globales boursières, monde du travail, migration de votre patrimoine, etc. Enfin dans une troisième partie j’ai voulu laisser la parole à des jeunes natifs du 21ème siècle pour voir comment eux perçoivent leur avenir.

Ce livre, ce travail, devrait m’aider à publier un dossier à la rentrée.

C’est un essai de 268 pages, illustré avec de très nombreux graphiques en couleur, de très nombreux documents. »

L’essai de Jean-David Haddad est disponible dédicacé sur notre librairie en ligne. CLIQUEZ ICI!

Il est aussi disponible en librairie. Particulièrement chez Cultura, et en version e-book sur Amazon.

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