JO 2024 : réhabilitons Pierre de Coubertin !
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- Jean-David Haddad
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Les JO 2024 ont lieu en France. Comme on nous le dit souvent, cela arrive une fois par siècle. Et le wokisme ambiant fait que Pierre de Coubertin, qui est pourtant un français, qui est à l’origine de ces olympiades de temps modernes, est passé sous silence. Presque oublié. A peine une allusion lors de la controversée cérémonie d’ouverture.
Boudé dans son propre pays, le Baron de Coubertin est pourtant, qu’on le veuille ou non un personnage qui a marqué son temps. Il est pourtant très apprécié à l’étranger, et particulièrement dans le monde anglo-saxon.
Alors pourquoi Coubertin est-il persona non grata dans sa propre patrie ?
Sont souvent cités ses points de vue misogynes d’une part, et colonialistes d’autre part.
Coubertin avait tort de penser que le sport n’était pas compatible avec la féminité, car son époque avait tort ! Mais ce n’est pas pour cela qu’il faut oublier qu’il a créé ces olympiades
Comme l’écrit Yoann Laurent-Rouault, auteur de l’essai documentaire qui appuie le livre de Coubertin que nous avons publié chez Memoria Books : « Coubertin oscille entre l’idée grecque de l’homme par l’homme et pour l’homme ( la femme est hors du jeu) et la grande paix des nations dites civilisées ( avec un certain humanisme), mais de l’autre côté il est un chantre de la soit disant supériorité blanche ( voir la petite histoire des JO de 36 et son rapport compliqué avec le fascisme). Il pense le sport et surtout la compétition sportive comme élitiste. »
Avant de critiquer Coubertin, encore faut-il lire son texte. C’est ce texte fondateur des JO, « Mémoires olympiques » qui est publié en intégralité dans cet ouvrage du même nom. Tandis qu’un essai documentaire de Yoann Laurent-Rouault l’accompagne, avec des illustrations d’époque retouchées artistiquement. Tandis que la postface de Jean-David Haddad vient clôturer l’ensemble.
Un livre à découvrir impérativement en cette période olympique.
Sur notre librairie en ligne : Mémoires olympiques – JDH Éditions (jdheditions.fr)
À découvrir également : Les Œuvres essentielles de Pierre de Coubertin
Ce volume rassemble le texte mythique et fondateur de Coubertin ainsi que d’autres textes moins répandus : Mémoires olympiques – Quatre textes sur l’élitisme sportif et olympique – Essais de psychologie sportive – Les femmes aux Jeux olympiques – Notes sur le football.
Interview de Jean-David Haddad sur les « Grands Classiques – Grands Caractères »
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- Jean-David Haddad
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Interview de l’éditeur Jean-David Haddad par Yoann Laurent-Rouault, au sujet de la réédition des classiques de la collection Atemporels chez Memoria Books et en grands caractères.
YLR : Monsieur Haddad, vous êtes en train de procéder à la réédition, pour Memoria Books, de grands classiques de la littérature internationale jusqu’ici publiés par JDH Éditions dans la collection Les Atemporels, une collection à succès s’il en est, et la particularité de ces rééditions est qu’elles sont imprimées en corps 18, donc en grands caractères. Pourquoi donc avez-vous mis cela en place ?
JDH : Je souhaite que notre maison d’édition puisse proposer tout un panel de choix possibles sur les œuvres du domaine public. Ma conviction, depuis le début de l’aventure, c’est qu’il faut rendre hommage à la littérature classique, qu’il s’agisse de romans, d’essais, de philosophie, ou encore de livres polémiques, comme pour l’exemple Le Capital de Marx, qui a changé le monde en son temps… Je souhaite décliner ces livres sous des formes différentes. Il y a donc dans nos collections des livres illustrés, les œuvres documentées, il y a les œuvres essentielles qui rassemblent plusieurs textes d’un même auteur et maintenant les grands caractères.
La police que nous avons choisie est une police Arial, c’est-à-dire une police très simple, sans fantaisie, lisible par tous.
YLR : Les grands caractères s’adressent en particulier à un lectorat qui pourrait avoir des problèmes de vue, mais aussi peut-être à un lectorat qui cherche tout simplement le confort de lecture… nous connaissons tous les affres de la fatigue oculaire liée aux écrans… mais, est-ce que ça a été la première motivation pour vous d’offrir aux malvoyants la possibilité d’avoir accès à ces œuvres du domaine public ?
JDH : Oui, dans les deux cas. La police que nous avons choisie est une police Arial, c’est-à-dire une police très simple, sans fantaisie, lisible par tous. Et oui, nous offrons aussi cette facilité de lecture à tous ceux qui ressentent de la fatigue oculaire et bien sûr aux presbytes, qui représentent 40 % de la population européenne.
YLR : Alors c’est un phénomène d’édition relativement nouveau, en tout cas chez JDH Éditions, et donc pour Memoria Books, de « recycler » ces grands textes et les dossiers documentaires qui les accompagnent ainsi que les préfaces d’auteurs contemporains… mais pourquoi ne pas avoir directement tenté de publier ces œuvres aussi en braille, puisque nous savons que dans la littérature qui paraît pour les non-voyants et non pas les malvoyants, le champ est relativement restreint sur les classiques…
JDH : Notre système actuel nous permet de référencer les livres sur les plateformes en même temps que nous les publions, ce qui nous permet de grouper l’impression et la distribution, mais il ne nous permet pas cette fonctionnalité qui serait de publier en braille. Cela pourrait être une option ultérieurement. Mais encore une fois, l’imprimeur avec lequel nous travaillons actuellement ne nous permet pas de faire ça, il faudra envisager un système supplémentaire pour ce faire…
YLR : Alors, si on ajoute les livres publiés avec de grands caractères comme vous l’avez décrit, les livres audio et les livres en braille, est-ce que vous êtes d’accord avec l’idée que c’est aux éditeurs de porter la culture de la meilleure façon qui soit et pour tous, et ce, au-delà du handicap ?
JDH : Disons que les éditeurs ont un rôle à jouer et que la culture ne se limite pas aux livres… Dans le portage de cette flamme de la culture, pour faire un parallèle avec celui de la flamme olympique, puisqu’on est dans cette période, les éditeurs font partie de la course au relais…
Nous avons donc opté pour un format comparable à celui des livres déjà publiés par Memoria Books, donc un format assez grand, qui est proche du format des romans grand public.
YLR : Que pouvez-vous nous dire sur le format du livre, puisque qui dit « grands caractères » dit plus de papier utilisé, et sachant que les livres publiés dans les collections de Memoria Books sont de très grande qualité et rejoignent la catégorie « beaux livres », avec une mise en page très soignée et avec des illustrations le cas échéant, quelle est la gamme de prix de ces livres en grands caractères ? Et quels sont les critères que vous avez retenus en termes de format et de prix ?
JDH : Nous ne sommes pas partis sur un format A4, parce que ce format n’est pas pratique pour la manipulation du livre, pour son transport comme pour son stockage. Nous avons donc opté pour un format comparable à celui des livres déjà publiés par Memoria Books, donc un format assez grand, qui est proche du format des romans grand public. Ce qui fait qu’un livre qui affichait 150 pages en impression dans la collection Les Atemporels de JDH Éditions passe à 300 pages pour une impression en grands caractères. La gamme de prix est forcément supérieure, mais on est à mi-chemin entre Les Atemporels et les Memoria Books illustrés. Je vous donne un exemple : j’ai entre les mains Psychologie des foules écrit par Gustave Le Bon en petits caractères qui est au prix de 6,95 €, et de mémoire, le Memoria Books illustré magnifiquement par Yoann Laurent-Rouault est à 22 €. Le format en grands caractères est à 16,95 €…
YLR : Donc nous sommes sur des tarifs intermédiaires…
JDH : C’est exact. Depuis quelques années, on trouve des livres en grands caractères, mais seulement dans les librairies spécialisées et il y en a très peu. Là avec notre système, les livres en grands caractères seront disponibles sur toutes les plateformes en ligne.
Le but est de tous les rééditer
YLR : Nous savons que dans la collection Les Atemporels, certains titres classiques marchent mieux que d’autres… et que certains de ces livres font de très bons scores de ventes qui peuvent avoisiner les 10 000 exemplaires vendus sur une période de 36 mois. Est-ce que donc vous allez donner d’abord priorité aux classiques en grands caractères en fonction des scores de ventes que ces livres ont réalisés ?
JDH : Disons que le score de ventes réalisé est un critère de choix dans notre ordre de réédition, mais le but est de tous les rééditer. Mais évidemment, on ne va pas le faire sur 2 mois… nous avons commencé au mois d’avril et nous allons continuer ponctuellement. Nous voulons aussi donner une chance à ceux qui se sont le moins bien vendus, pour peut-être aller trouver un public sur les grands caractères… Si je prends par exemple Gatsby le Magnifique que nous avons édité en Atemporels et en livre illustré avec un très beau papier et en plus une version bilingue et des illustrations à couper le souffle, ni l’un ni l’autre ne se sont vendus malgré la traduction très récente et saluée de Clémentine Vacherie… Nous l’avons mis dans les grands caractères en espérant qu’il puisse aussi trouver un public…
Aujourd’hui, nous sommes dans une société où les gens cherchent des conseils et des renseignements…
YLR : Nous avons remarqué, et c’est global et ce n’est pas que le fait de votre maison d’édition, que la littérature générale à compte d’éditeur est en train de ralentir en production. Et le phénomène semble se généraliser au monde de l’édition tout entier… Nous avons aussi remarqué que chez JDH Éditions, il y a un retour au livre de finance, d’ailleurs nous avons fait une interview assez récemment sur le sujet, comme il y a un retour au livre pratique et puis bien sûr, il y a le livre d’entreprise, le livre corporatif ou les biographies qui se développent ; donc nous assistons au retour du livre utile… Mais qu’en est-il de la littérature générale chez JDH ? Est-ce que 2024 affichera la même tendance que 2023, c’est-à-dire avec beaucoup moins de production en littérature générale avec des auteurs contemporains ?
JDH : Je dois dire à grand regret, et pour l’ensemble des collaborateurs de JDH Éditions, que ce sera le cas. Mais vu que nous sommes une société donc à but lucratif qui doit faire des bénéfices ou au moins être à l’équilibre, nous avons de nombreuses charges et la littérature générale ne nous a pas permis de réaliser le chiffre d’affaires que nous espérions. Et donc nous sommes obligés de réduire sur ce secteur pour privilégier des projets qui ont plus de débouchés, et qui font plus de ventes. Comme vous le dites si bien, le livre utile fonctionne parce qu’aujourd’hui, nous sommes dans une société où les gens cherchent des conseils et des renseignements.
YLR : Pourtant, Monsieur Haddad, en littérature générale, il y a eu quand même dans les productions de la maison depuis 2019, quelques succès d’estime, notamment avec des livres qui ont fait des passages télé et il y a eu aussi la collection pamphlétaire, récompensée et primée…
JDH : Mais ce n’est pas suffisant en termes de chiffres et en termes de retombées pour la maison d’édition… Si je prends les meilleurs succès de JDH Éditions, malheureusement ils ne sont pas dans la littérature générale.
YLR : Merci Monsieur Haddad pour cet entretien.
Événement du 27 juin 2024
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JDH Éditions, en partenariat avec Francebourse.com (site leader de l’information boursière des particuliers depuis 2001), et avec l’AFATE (Association Française de l’Analyse Technique), a le plaisir de vous convier à un événement exceptionnel qui se tiendra JEUDI 27 JUIN à partir de 17h15 à Paris, au 118 Rue de Courcelles.
Le programme est le suivant :
17 h 15 : Accueil
17 h 30 : Conférence de Jean-David Haddad sur le thème Comment investir en Bourse différemment ?
Trois voies à explorer :
-
- le haut rendement
- l’investissement programmé
- les penny-stocks
Sont invités Thomas Andrieu et Alix Bakhos pour la sortie de leurs livres et pour illustrer les propos par leur expertise
La politique s’invitant dans l’actualité, nous terminerons par le sujet : Comment investir en cas de changement de pouvoir ou d’instabilité politique ?
18 h 30 : Moments d’échanges et de rencontres avec les auteurs JDH Éditions,
avec en particulier l’intervention de Nicolas Gallant (18h45), journaliste chez Capital et la présentation de son nouveau livre « L’analyse technique en 50 cas pratiques«
dans la collection « Les essentiels de l’Afate ».
19 h 15 : Conférence de James Touati, Head of SAMT Zurich Chapter, sur « Les figures harmoniques pour investir en Bourse ».
20 h 00 : Apéritif, dédicaces et échanges.
Inscriptions gratuites, c’est ICI.
Nous vous attendons nombreux !
JDH ÉDITIONS
Interview de Dominique Simoncini
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À l’occasion de la sortie de son dernier livre « Grosse panique à l’Élysée » chez JDH Éditions,
Dominique Simoncini répond à nos questions
Vous venez de publier un roman intitulé « Grosse panique à l’Élysée ». En quelques mots, de quoi s’agit-il ?
C’est un roman qui oppose deux mondes, celui du politique parisien qui n’ouvre même plus une porte lui-même et celui d’un éleveur rugueux que la vie percute comme un poing fermé tous les jours ! Actuel, non ?
Est-ce un roman que vous avez écrit il y a longtemps ou bien très récemment au moment de la crise avec les agriculteurs ?
C’est un projet dont j’avais eu l’idée immédiatement quand l’information qu’un président venait de se faire paparazzer en scooter au lever du jour en sortant de chez sa maîtresse. J’ai commencé à l’écrire à ce moment et, pris moi aussi par le match de boxe de ma vie, j’ai mis du temps à le terminer. La crise des agriculteurs existait déjà, et elle n’a fait que nourrir mon désir de le terminer.
Le qualifieriez-vous de farce ?
Non, je pense qu’il est plutôt à qualifier de roman social humoristique d’un incroyable réalisme !
J’ai entendu dire que vous avez un style à la Audiard… Qu’en pensez-vous ?
C’est le plus beau des compliments qui m’ait été fait. Il revient souvent dans les commentaires de mes livres précédents. Si j’avais 5 % de son immense talent, alors je serais heureux !
C’est le type de roman qui serait sympa en film ou téléfilm. Y avez-vous pensé ?
Effectivement, quand on voit la production de séries, on peut facilement imaginer une mini-série de « Grosse panique à l’Élysée ». L’histoire se déroulant alternativement au pied des Alpes et dans les salons feutrés du Palais, le contenu serait caustique et sympa, je pense…
Découvrez Grosse panique à l’Élysée :
2 heures du matin, un homme en scooter percute une bétaillère qui circule dans Paris en cette fin de Salon de l’agriculture. Clovis, l’éleveur rugueux, est au volant. L’esprit embrumé par un vin de paille du Jura et la vente de ses dernières vaches de concours, il sait à cet instant que plus rien ne sera comme avant.
Lui, le solide que la vie n’a jamais épargné, est, cette fois encore, bousculé par un destin chargé. Là, dans cette ruelle inanimée, il découvre un homme gisant derrière sa remorque ; pris d’une peur panique, il embarque la victime et son scooter dans son fourgon et roule vers les Alpes toute la nuit. Au petit matin, dans le froid glacial de la vallée de Chamonix, il ouvre les portes de sa remorque pour découvrir qu’il a enlevé le président de la République qui sortait de chez sa maîtresse… de quoi vraiment créer une grosse panique à l’Élysée !
Clovis au bord du gouffre entraînera-t-il sa précieuse victime dans un ultime vol plané ?
Le pays sans tête, sans voix et sans lumière va-t-il sombrer dans une anarchie politique destructrice ?
Pour feuilleter le livre sur Amazon : https://amzn.to/3V6oU2q
Les pennys-stocks à l’honneur : un dossier et un livre!
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- Jean-David Haddad
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Jean-David Haddad, spécialiste des penny-stocks, publie à la fois un livre sur le sujet et un dossier exclusif à Francebourse.com!
Un penny, c’est un centime. Une penny-stock est donc très logiquement une action dont le cours de bourse s’exprime en centimes.
On compte de nombreuses penny-stocks sur la Bourse de Paris, et depuis que notre site existe, nous recommandons, sur nos portefeuilles, des achats réguliers de penny-stocks, que nous n’hésitons pas, d’ailleurs, à recommander de vendre en cas de belle réussite. Car les réussites peuvent arriver vite… Et fort! Une penny-stock est par nature bien plus volatile qu’une action « ordinaire » et donc, aussi bien les hausses que les baisses peuvent être brutales.
En 2023, nos lecteurs et abonnés avaient considéré, via un sondage en ligne, que notre meilleure recommandation fut l’achat de Llama Group, un titre acheté à 0.59€ en décembre 2022 et revendu en plusieurs fois, vers les 2€ en février 2023 (ce qui avait permis de ramener le prix de revient à zéro), puis vers 2€ encore en mars 2023 puis enfin sous les 1€ en juin 2023. La plus-value globale moyenne s’étant établie à 130% pour nos abonnés.
[b]Le dossier de Francebourse.com [/b]
Quelles sont les penny-stocks à tenter à l’achat aujourd’hui?
Un tout nouveau dossier vient d’être publié, aujourd’hui même. Les cours donnés sont ceux au 3 mai à la clôture.
Dossier en vente sur notre boutique :
www.francebourse.com/produits.fb
Le dossier vous sera envoyé en PDF après votre commande.
Pour demander une version papier en plus il vous suffira d’écrire à contact@francebourse.com
[b]Le livre « Penny-stock trading »[/b]
La publication de ce dossier intervient dans la foulée de la publication du nouveau livre de Jean-David Haddad sur le PENNY-STOCK TRADING
En vente sur JDH EDITIONS :
www.jdheditions.fr
Le livre vous sera dans ce cas dédicacé!
En vente aussi sur Amazon :
https://urlz.fr/qB5k
IL arrivera progressivement sur toutes les plateformes (Fnac, Cultura, etc)
C’est le seul livre en français sur le penny-stock trading ! Un livre unique et sans concurrence, simple, facile d’accès, qui s’adresse à tous.
Jean-David Haddad avait publié, en 2004, un best-seller sur le sujet. Vingt ans après, alors que le marché a complètement changé, il était nécessaire d’écrire un tout nouveau livre, abordant la volatilité exacerbée sur ces actions qui valent moins d’un euro, mais aussi les financements par OCA qui se sont développés dans les années 2010, et bien sûr les hyper-penny-stocks, ces actions qui valent moins de 0,01€, maintenant que les pas de cotation se font au centième de centime !
Le penny-stock trading permet de pouvoir gagner beaucoup en misant peu. Mini-investissement, maxi-profit ! Que ce soit sur un horizon de temps très court (les hausses de court terme sont bien plus fulgurantes sur les penny-stocks) ou très long (Apple et Amazon furent des penny-stocks à un moment donné). Cependant, c’est une activité risquée car justement la volatilité est très grande et qu’une penny-stock a généralement un passé peu glorieux. Mais toute entreprise qui ne meurt pas est potentiellement un phoenix capable de renaître de ses cendres ! Cet ouvrage vous permettra de comprendre les penny-stocks, leur spécificité, d’avoir un regard fondamental, de faire les bons choix, d’éviter les pièges, et d’utiliser des indicateurs d’analyse technique très simples mais pertinents, adaptés au sujet. Il vous permettra aussi d’envisager le trading sur carnet d’ordres, adapté aux hyper-penny-stocks de moins de 0,01€. Des thèmes jamais abordés en langue française, pas même sur Internet.
Important : cet ouvrage comporte en annexe une liste de 36 penny-stocks sur la Bourse de Paris, ainsi que des cahiers de bord types pour penny-stock traders, qu’il suffit de remplir pour rendre votre trading plus facile. Ce livre est introduit par James D. Touati, dit « Le Loup de Zurich », un trader international qui monte en flèche. Retrouvez sa vidéo de 8 mn, accessible par QR Code dans sa préface.
[b]En résumé…[/b]
Le livre explique comment trader les penny-stocks, les rechercher, éviter les pièges… Le dossier met les pieds dans le plat et recommande à titre spéculatif 12 penny-stocks de la bourse de Paris en prévenant des risques afférents…
Deux produits complémentaires. Selon Jean-David Haddad : « le dossier commence là où le livre s’arrête »…
Ayako teppanyaki : le sublime dans notre assiette
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- Jean-David Haddad
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Ayako teppanyaki : c’est le nom d’un restaurant japonais situé dans le 14e arrondissement de Paris, 67 rue de l’Ouest très exactement.
Ma deuxième expérience culinaire dans ce restaurant confirme à la fois l’aspect très convivial et détendu, autour du teppanyaki (la grande table de cuisson où les plats sont préparés en direct par le très talentueux chef cuisinier) de ce restaurant, mais elle confirme aussi le côté sublime et la précision extrême de la cuisine proposée. Que ce soient pour les plats réalisés sur la plaque, où les produits sont excellents, tant au niveau des viandes que des poissons, que pour les sushis et autres makis. A noter aussi les sauces maison qui accompagnent parfaitement les plats, les assaisonnements et le choix de vins et de sakés à la carte.
Il ne s’agit pas réellement d’un restaurant surfant sur la vague dite fusion, mais d’une cuisine japonaise ouverte sur le monde, avec par exemple la réinterprétation selon le chef du ceviche péruvien. A noter que le chef est d’origine chinoise, et que ces deux cuisines ont en commun la précision extrême et le sens de la perfection.
Les prix restent très corrects pour un restaurant de ce niveau sur Paris. Par exemple, le saumon au teppanyaki est à 23 euros, avec bien sur ses garnitures, l’entrecôte Angus est à 28 euros, préparée devant vous, avec une découpe parfaite. Dans n’importe quelle brasserie lambda, à Paris, le prix moyen d’une entrecôte ou d’un pavé de saumon sont dans les mêmes eaux. Mais ici, le sublime est en plus!
Jean-David Haddad
Editeur
Les auteurs financiers de JDH EDITIONS en dédicace au salon de l’Analyse Technique le 22 mars 2024!
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Nos lecteurs pourront retrouver Jean-David Haddad au salon de l’analyse technique le vendredi 22 mars de 9h à 19h! Adresse : « New Cap Event Center – 3, Quai de Grenelle 75015 Paris »
Le salon annuel d’André Malpel verra donc sa présence sous la bannière JDH EDITIONS.
Personnellement, JDH dédicacera ses livres de 10h45 à 11h45 et de 17h15 à 18h15 sur le stand numéro C3.
Pour vous inscrire gratuitement c’est ici :
www.salonat.com#inscription
JDH dédicacera ainsi ses deux derniers livres : « Bien démarrer en bourse » et « Analyse fondamentale et analyse technique », tous deux publiés dans la collection LES GUIDES DE FRANCEBOURSE.COM
Le livre INFLATION sera aussi en dédicace.
Vous pourrez aussi commander en pré-vente (pour le recevoir dédicacé) son prochain livre « Penny-stock trading ». Parution prévue en avril mais vous serez dans les premiers en le commandant sur le stand.
Il reste très peu d’évènements liés à la bourse, à destination d’un public d’actionnaires individuels en France ; il faut donc en profiter!
Il y aura aussi en dédicace :
-Gilles Santacreu pour son livre « Maitrisez la bourse! » à 14h15
-Thomas Andrieu qui dédicacera son livre « Révolution Cryptos » et ‘L’or et l’argent » ainsi que son dernier livre « Création et destruction », à 15h15
-Romain Daubry qui dédicacera son livre « Trading à effet de levier » à 16h15
Venez nombreux pour nous rencontrer!
JDH EDITIONS
Interview de Jean-David Haddad par Yoann Laurent-Rouault, au sujet des collections Corporate
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Jean-David Haddad nous parle des LIVRES CORPORATE
YLR : Monsieur Haddad, je suis ravi de vous retrouver pour une nouvelle interview. Nous avons tous constaté des changements sur le site web de la maison d’édition et de communication JDH, et notamment à propos du « livre corporate ». Pouvez-vous définir pour nos lecteurs ce qu’est une collection « corporate » ?
JDH : Il s’agit, avec ce produit, pour une association ou une entreprise, de décliner en édition une collection de livres. Donc de ne pas s’arrêter à la simple publication d’un ouvrage relatif à leur histoire ou à la culture d’entreprise. Et ainsi de « booster » le référencement média de ces entités.
YLR : Et ainsi par cette méthode, d’actualiser leurs catalogues et de relater leurs activités au fur et à mesure des événements ?
JDH : Tout à fait. Et la notion d’actualités, quels que soient les domaines d’intervention, est importante aujourd’hui. Les habitudes de consultation des internautes évoluant elles aussi. On sait aujourd’hui que lors d’une recherche web, l’onglet « actualités » est de plus en plus fréquemment consulté.
Éditer des collaborateurs de l’entreprise, solliciter des partenaires, publier des projets, des rapports d’activités, des catalogues, etc. Bref mettre en avant ce qui peut être utile à toute entreprise ou association.
YLR : D’où l’intérêt d’utiliser les formats « courts » correspondant uniquement à une recherche donnée ?
JDH : Oui, c’est cela. Et j’ajoute que ce type de publications peut aussi permettre d’éditer des collaborateurs de l’entreprise en question, de solliciter des partenaires et même de publier des concepts, des projets, des rapports d’activités, des catalogues, etc. Bref de mettre en avant ce qui peut être utile à toute entreprise ou association.
YLR : Et si on va par-là, même des archives peuvent être publiées ?
JDH : Tout à fait. Et également, ces livres corporate, dédiés à une activité et à des domaines de compétences précis, peuvent aussi reprendre le contenu d’un site web et le développer conséquemment. Les liens vidéo et les QR Codes pouvant aussi être insérés dans la publication.
YLR : Donc, on peut aussi se servir de ces livres pour tracer sur plusieurs années l’historique d’un groupe, d’une entreprise ou d’une association… sur l’idée du bulletin annuel ?
JDH : Tout à fait. Les publications peuvent s’étaler dans l’idée d’une chronologie de l’activité.
Le fait d’avoir un livre traitant précisément d’une activité particulière accélère le référencement naturel
YLR : « Médiatiser vos collaborateurs »… je reprends votre propos ; qu’entendez-vous précisément par la formule ?
JDH : Imaginons que votre entreprise se compose de plusieurs départements et notamment qu’elle ait un département de recherche. Certains aspects du développement des concepts ou produits passent par ces mêmes départements. Donc, le fait d’avoir un livre traitant précisément d’une activité particulière accélère le référencement naturel, développe le catalogue et met en avant le travail de vos collaborateurs et partenaires. Et ils pourront effectivement proposer de communiquer directement sur leurs travaux.
YLR : Sur la page dédiée aux collections corporate sur le site web de JDH, nous avons cette formule : « Faites parler de vous régulièrement ». Quels seront les référencements que vous proposez ? Quels sont vos moyens ?
JDH : La publication régulière dans une collection dédiée permet donc à chaque fois de placer l’entreprise ou l’association, ou le groupe, dans une position où les moteurs de recherche sont actifs. Ce qui permet d’activer un plan média. Et à partir de là, tout est envisageable, en dehors des référencements acquis par la parution elle-même sur les plateformes de diffusions multiples comme Amazon, la Fnac, les librairies diverses… Nous pouvons amener les participants d’une collection Corporate sur différents médias web pour des émissions télévisuelles dédiées, pour des parutions presse avec nos partenaires, comme le groupe de presse Lafont qui gère par exemple le magazine Entreprendre et bien d’autres, d’obtenir des places et des informations sur des salons dédiés à l’activité du client, de bâtir des plans de communication sur mesures, de faire de la mise en réseau et en relation, etc., et même dans certains cas d’accompagner le client sur des solutions financières d’entreprise.
YLR : Comme ?
JDH : Peut-être d’aller sur des partenariats financiers, des levées de fonds, etc.
YLR : Par les mises en relation et les réseaux constitués ?
JDH : Bien entendu. Nous ne sommes évidemment pas à même d’opérer des montages financiers, mais nous pouvons mettre différentes structures en relation et opérer un diagnostic utile, comme de répondre à la demande, tout cela par la mise en relation. Mais c’est un autre sujet.
YLR : Dans le panel des possibles.
JDH : Exactement.
Le livre se fait témoin de la culture de l’entreprise
YLR : Revenons sur un point, si vous le permettez, qui me paraît très intéressant. La politique d’une entreprise ou d’un groupement actif doit par définition transparaître dans les publications d’une collection dédiée. C’est donc là un outil de promotion, vous l’avez décrit, mais aussi un outil de connaissances. Par exemple, peut-on imaginer que la direction des ressources humaines propose à tout candidat à un poste donné, dans le cadre d’un recrutement, de lire certains livres en formats courts qui traduisent tout cela ? Ceci, afin de non seulement faciliter l’entretien d’embauche et la période d’essai qui en découle, mais aussi d’œuvrer pour éviter ce que l’on appelle couramment « les erreurs de casting » ?
JDH : Oui, c’est une éventualité. Je ne vois que des avantages à ce format. Il traite en temps réel les informations d’une entité, il permet aussi d’actualiser les démarches et la politique interne. Il se fait témoin de la culture de l’entreprise… Donc, oui, c’est un outil de recrutement. Mais pour aller un peu plus loin, nous pouvons aussi produire un livre d’entreprise dédié.
YLR : Le livre d’entreprise qui est une biographie active de l’organisation qui en fait la commande et qui retrace ses fondamentaux, son historique, sa situation actuelle et son organisation, comme sa destination et sa philosophie.
JDH : Sa philosophie et l’histoire de ses fondateurs… et les deux formats sont complémentaires, la collection Corporate et le livre d’entreprise. Le savoir-faire rédactionnel comme celui de production n’est plus à démontrer chez JDH ; je vous renvoie à notre catalogue qui aborde par ce biais des sujets aussi variés que la médecine, le cosmétique, les biotechnologies, l’intelligence artificielle, la recherche policière privée, le handicap, l’informatique et le numérique, l’intelligence artificielle, etc.
Les essentiels de l’AFATE : trois premières publications de la collection disponibles, d’autres sont en préparation et paraîtront très prochainement.
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YLR : Nous voyons que « l’AFATE » est mise à l’honneur sur le site de votre structure et nous découvrons, au sein de sa collection « Les essentiels de l’AFATE », trois formats de livres corporate : Les chandeliers japonais, Les figures chartistes de l’analyse technique et Actifs et instruments de la bourse et des marchés financiers. Qu’est-ce que « l’AFATE » pour commencer ?
JDH : AFATE veut dire : l’Association française de l’Analyse Technique. L’analyse technique est la manière d’appréhender les marchés financiers, Bourses, pétroles, devises, etc., par les graphiques. Puisque l’on considère que le graphique illustre l’évolution d’un cours. Et qu’il est riche d’apprentissages comme d’analyses. Et qu’il permet de faire des pronostics sur une tendance donnée. Ici, nous avons les trois premières publications de la collection, d’autres sont en préparation et elles paraîtront très prochainement.
YLR : Donc les livres Corporate, en dehors des informations qu’ils peuvent donner sur l’activité de mon entreprise, pourraient aussi donner les tendances du marché dans ma catégorie ?
JDH : Oui, effectivement. Cela peut être très bien qu’une entreprise écrive sur son marché et sur sa propre évolution dans ce marché. Et d’ailleurs, beaucoup d’entreprises établissent en interne des rapports de prospectives. Les publier pourrait être extrêmement intéressant et porteur de nouvelles perspectives.
Les Guides de Francebourse.com : Bien démarrer en Bourse, Penny-Stock Trading et Analyse fondamentale et analyse technique, les « classiques » de Jean-David Haddad actualisés.
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YLR : Et donc de montrer factuellement l’évolution possible ou visée de leurs entreprises… Et maintenant, abordons, si vous le voulez bien, une entreprise que vous connaissez bien puisque vous en êtes un des co-fondateurs, j’ai nommé « Francebourse.com ». Trois titres écrits par vous-même sont nouvellement disponibles : Bien démarrer en Bourse, Penny-Stock Trading et Analyse fondamentale et analyse technique. Toujours sur le principe du livre Corporate. Qu’apporte cette nouvelle collection ?
JDH : Premier point : mes livres écrits sur le domaine dataient d’avant le Covid. Depuis, les marchés ont beaucoup changé, ou évolué, selon les cas de figure. L’intelligence artificielle s’est beaucoup développée, les outils d’analyses ont évolué en conséquence, il y a eu un krach puis un rebond très fort des valeurs, et il était donc nécessaire que je réactualise mes « classiques ». Donc, j’ai décidé de scinder mes écrits sur plusieurs sujets différents et à chaque fois, de les dédier à un seul format, et de les associer à la collection des « Guides de Francebourse.com » nouvellement créée.
YLR : Y aura-t-il d’autres livres en dehors de ces trois-là ?
JDH : Bien entendu. D’ailleurs, celui sur le penny-stock trading n’est pas encore publié mais le sera très bientôt. Je prévois un cahier de cas pratiques, un livre sur le rendement, et sûrement d’autres…
YLR : Pourquoi ce QR Code sur la couverture ?
JDH : Il renvoie aux moteurs de recherche, et quand les gens vont sur Amazon et tapent « Analyse technique » par exemple, ils tombent sur mon livre. Donc, même si les gens n’achètent pas le livre, ils peuvent alors consulter grâce au QR Code, par le simple renvoi effectué, les lettres et les contenus rédactionnels de Francebourse.com. Vous l’avez compris, c’est une publicité ouverte pour Francebourse. Toutes les entreprises qui le souhaitent peuvent en profiter en s’inscrivant au programme des collections Corporate. Avec JDH Éditions et ses partenaires.
YLR : Quels sont justement vos partenariats médias aujourd’hui ?
JDH : La Tribune TV, Le Figaro Finance, le groupe presse Lafont, le site Entreprendre du même groupe, TV Finance et bientôt un partenariat en cours de réalisation, avec un très grand groupe média français, mais j’en parlerai bientôt.
Nous participons au grand salon de l’analyse technique organisé par André Malpel , le 22 mars 2024.
YLR : Je vois aussi en consultant l’agenda JDH qu’un évènement va avoir lieu le 22 mars prochain, pour le salon de l’analyse technique et du trading. Quelques mots sur le sujet, Monsieur Haddad ?
JDH : Nous participons pour la première fois à ce grand salon bi-annuel organisé par André Malpel depuis plus de 20 ans maintenant. Le 22 mars, il s’agit du salon de l’analyse technique tandis que celui dédié au trading (avec duels de traders entre autres) a lieu en septembre. Nous y allons en tant qu’éditeur, sous la bannière JDH Éditions, et pour promouvoir nos livres sur la Bourse, ainsi que notre concept de collections Corporate. D’ailleurs, la collection dédiée à Francebourse sera mise à l’honneur. Et ce sera l’occasion de faire de nouvelles rencontres. Comme de mettre en avant certains de nos auteurs (Romain Daubry, Thomas Andrieu, Daniel Cohen de Lara, Nicolas Gallant, Denis Desclos, etc.).
YLR : Merci, Monsieur Haddad, pour cet entretien et ces précisions sur le pôle financier de votre maison d’édition et votre organisme de communication.
Rendez-vous sur le stand C3 du SALON de l’ANALYSE TECHNIQUE le 22 mars 2024
Lieu : New Cap Event Center – 3, Quai de Grenelle 75015 Paris
Date et Horaires : vendredi 22 mars 2024 de : 09h00 à 20h00
Métro : Station Bir-Hakeim – Ligne 6 et/ou RER : Station Champs de mars – Tour Eiffel
Bus Lignes (4) : 42, 69, 82, 87
Taxi : Une station de taxis se trouve au 3, Boulevard de Grenelle
Parking : Parking Castorama (11 Bd de Grenelle 75015 Paris)
Verbatim de l’interview de Jean-David Haddad SUR LE LIVRE CORPORATE, réalisée le 9 mars 2024 par Yoann Laurent-Rouault.
Pour gagner en bourse : analyse fondamentale ou analyse technique?
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- Jean-David Haddad
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Pour appréhender le cours d’une action, ou même d’un autre actif comme l’or, le pétrole, le dollar, ou encore celui d’un indice boursier, et savoir si vous devez acheter ou vendre, vous avez à votre disposition deux grandes catégories d’outils : l’analyse fondamentale et l’analyse technique, dite aussi analyse graphique.
-L’analyse fondamentale consiste à étudier les fondamentaux des sociétés cotées, c’est-à-dire leurs indicateurs de santé économique et financière. Elle est basée sur le principe selon lequel la valeur réelle d’un actif (comme une entreprise mais aussi un immeuble, une matière première, etc) est déterminée par des éléments concrets, quantifiables et objectivables. Elle part du principe selon lequel si la valeur que donne le marché à cet actif s’écarte de trop de cette valeur objective, alors tôt ou tard, les deux valeurs finiront par converger. Avec l’analyse fondamentale, c’est le règne du rationalisme et du cartésianisme. Le règne de l’objectivation aussi.
-L’analyse technique, ou graphique, consiste à étudier les évolutions graphiques des cours de bourse des sociétés en question. Le principe de base est de dire qu’il ne faut pas regarder les fondamentaux mais que toutes les informations sont contenues dans les graphiques. Les évolutions des prix donneraient en effet toutes les informations nécessaires sur le sentiment des investisseurs et les potentiels mouvements de prix à venir. De nombreuses méthodes différentes d’approche co-existent, plus ou moins mathématiques, et plus ou moins déterministes. Certaines considérant que l’histoire se répète. Avec l’analyse technique, c’est le règne de l’irrationnel et de l’appréhension par les figures géométriques des mouvements de foule, qui sont à l’origine des fluctuations du marché. C’est aussi le règne de la subjectivité. Car plus on creuse, plus chacun verra une figure différente de celle de son voisin.
Pour schématiser, l’analyse fondamentale aide à faire de bons choix, l’analyse technique aide à choisir des actions (ou des prises de positions) au bon moment. La combinaison des deux permet d’effectuer les bons choix au bon moment !
Le trader s’intéressera quasi-uniquement à l’analyse graphique, cela va sans dire. Les fondamentaux ne lui seront pas d’un grand intérêt, surtout s’il trade des indices boursiers, comme cela est souvent préconisé. A la rigueur, s’il trade des actions, il peut éventuellement essayer de se positionner juste avant des annonces de résultats s’il connait bien l’entreprise dont il va trader l’action.
Le rentier ne s’intéressera qu’à une partie de l’analyse fondamentale, celle qui concerne le rendement et les perspectives de rendement. Il pourra néanmoins quelque peu se servir des graphiques pour optimiser son investissement.
Le boursicoteur ou investisseur boursier, qui vise à faire des plus-values sur un horizon de quelques mois ou quelques années, aura tout intérêt à mélanger équitablement les deux approches afin d’optimiser ses zones d’achat et ses zones de vente.
Aussi, bien que tout oppose les deux méthodes d’analyse et de décision, il faut savoir que les professionnels des marchés utilisent les deux et combinent les deux. En effet, quand les signaux convergent, les chances de réussite croissent, c’est évident. Même si le 100% est impossible en bourse.
Jean-David Haddad, co-fondateur et rédacteur en chef de Francebourse.com, président et éditeur de sa propre marque JDH EDTIONS (qui compte plus de 300 ouvrages à son catalogue), publie son tout nouveau livre, « Analyse fondamentale et analyse technique : Faites comme les pros de la bourse, les bons choix au bon moment ». Publié dans la collection corporate « Les guides de Francebourse.com », créée pour les particuliers qui investissent en bourse, et pour mettre en avant le site Francebourse.com.
JDH EDITIONS
Yoann Laurent-Rouault interviewe le Président de EDICO (JDH EDITIONS), Jean-David Haddad
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- Jean-David Haddad
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C’est un exercice presque rituel en fin d’année : l’éditeur interrogé par le directeur littéraire et artistique Yoann Laurent-Rouault.
L’interview porte entre autres sur le partenariat avec Robert Lafont.
YLR : Monsieur Jean-David Haddad, bonjour, et merci de nous accorder cet entretien de fin d’année, devenu maintenant presque traditionnel. Nous allons entrer directement dans le vif du sujet, car de nombreux auteurs sont inquiets sur le devenir des maisons d’édition françaises après cette année 2023 assez catastrophique pour la corporation. Nous avons tous constaté que de nombreuses maisons indépendantes ont disparu du paysage éditorial, dont certaines étaient importantes, alors, qu’en est-il pour JDH Éditions ?
JDH : Il est vrai que le monde de l’édition a beaucoup souffert de l’après-COVID. Les confinements et l’expérience traumatisante de cette période ont poussé nombre de gens à écrire, mais surtout à lire. Nous avons nous-mêmes publié plusieurs témoignages, plusieurs avis, voire plusieurs prises de position sur le sujet. Politiques comme sociétales et médicales.
YLR : Nous sommes tous d’accord, auteurs comme collaborateurs de maisons d’édition, pour dire qu’effectivement, la période COVID fut bénéfique au livre.
JDH : Oui, mais le retour à la réalité fut brutal. Comme l’écrit si bien un de nos jeunes auteurs, Thomas Andrieu, en expliquant les facteurs économiques de la théorie des cycles, la situation qui fut dans un premier temps bénéfique est redevenue ensuite normale, pour arriver sur ces derniers mois de l’année à une situation presque calamiteuse en termes de ventes de livres. Heureusement pour nous, chez JDH Éditions, nous avons anticipé et pris un virage d’importance, notamment en nous recentrant sur le livre économique d’une part et ensuite en travaillant sur la communication d’entreprises, par le biais du livre d’entreprise, mais aussi par des plans de communication livrés clefs en main pour des entreprises de tous secteurs.
YLR : D’où l’importance de se réinventer en permanence… La période est certainement l’une des plus difficiles que l’édition ait connues depuis ces 20 dernières années de l’avis général, mais j’ai constaté avec plaisir, que la maison d’édition JDH est nouvellement apparue comme partenaire dans de nombreuses publications externes à ses voies de communication habituelles ou dédiées, notamment avec le groupe de presse Lafont, et qu’on la retrouve aussi au générique de quelques émissions médias du Web.
JDH : Depuis que JDH Éditions existe, c’est-à-dire depuis 2017, le livre d’entreprise est présent au catalogue. Après avoir réalisé 2 livres, les choses se sont un peu tassées, car la littérature et l’économie ont monopolisé nos ressources. En 2022, nous avons renoué avec le genre et la cadence s’est fortement accélérée en 2023.
YLR : Effectivement, j’en suis témoin et participant et ce que l’on peut dire du livre d’entreprise, c’est qu’il offre un référencement jusque-là inédit et une visibilité remarquable aux entrepreneurs qui ont tenté l’aventure.
JDH : C’est vrai que le livre d’entreprise nous permet de faire coordonner l’action médiatique de JDH Éditions avec celle de différents partenaires médias et notamment, vous l’avez nommé tout à l’heure, le groupe Lafont Presse.
YLR : En 2 mots, Monsieur Haddad, la démarche pour réaliser un livre d’entreprise ?
JDH : Nous l’écrivons, c’est-à-dire que nous présentons un biographe et des partenaires capables de réaliser le livre à des chefs d’entreprise, ceci dans le but de leur fournir en finalité un outil de crédibilité et de notoriété pour leurs clients et leurs prospects. La mise en page est faite par nos équipes, tout comme la correction, la couverture, etc., et après pour la diffusion, il y a plusieurs options… On va dire que dans les formules les plus classiques, soit le livre est édité par le groupe Lafont Presse soit directement par nos soins. Le livre est bien entendu, classiquement, comme pour chaque publication de notre maison, référencé sur toutes les plateformes de vente de livres, de la Fnac à Cultura, aux librairies en passant par Amazon, etc.
YLR : Et à votre maison de proposer aussi des plans de communication…
JDH : Oui et avec de plus en plus de partenaires que nous sélectionnons évidemment avec le plus grand soin, comme le groupe TV Finance qui permet à nos clients d’avoir accès à des émissions de télévision professionnelles, diffusées sur La Tribune ou encore Le Figaro… et aussi quelquefois, suivant le sujet et suivant la notoriété de l’entreprise avec laquelle nous travaillons, d’obtenir des passages sur des chaînes du bouquet numérique, comme NRJ12 ou BFMTV par exemple.
YLR : J’ai aussi constaté que la maison JDH était très réceptive à ce qu’on appelle « le réseautage », et que vous-même étiez favorable au rapprochement de différentes entreprises, pas forcément concurrentielles d’ailleurs, pour qu’elles-mêmes puissent développer de nouveaux partenariats…
JDH : Tout à fait… Notre portefeuille clients s’étoffe en conséquence de nos publications et parfois nous repérerons des synergies possibles entre telle ou telle entité… cela fait partie de l’accompagnement que nous proposons… N’oublions pas que la société mère de JDH Éditions est la société EDICO. EDICO qui veut dire édition et communication. C’était le vœu de mon associée Cynthia Skorupa dès la création de l’entreprise.
YLR : Alors, pour illustrer les partenariats dont vous nous parlez, Monsieur Haddad, je vais maintenant citer une publication en particulier, qui n’est pas une publication d’entreprise, puisqu’il s’agit des Enquêtes d’Icare publiées chez Lafont Presse Éditions en feuilleton dans Le Journal de France et qui sont récemment devenues un livre que vous avez produit sous l’étiquette « Lafont Presse Éditions », mais qui est mis en page, corrigé et illustré par JDH Éditions… Pouvez-vous définir votre rôle par rapport à ce nouveau partenaire ? Car j’ai récemment lu une interview vous concernant où vous êtes présenté comme « directeur de collection » chez Lafont Presse Éditions…
JDH : Nous avons noué en 2023 un partenariat avec Robert Lafont. Et justement, tout est parti du livre d’entreprise et du fait qu’EDICO voulait proposer des plans médias aux différentes entreprises qui la contactaient ou avec qui elle travaillait. Donc nous nous sommes mis en relation avec le groupe de presse Robert Lafont Éditions qui gère un certain nombre de magazines, plusieurs dizaines, et qui par le fait pouvait proposer des solutions à nos clients. Mais, rapidement, nous avons été un peu plus loin, et Robert Lafont nous a proposé d’externaliser la production de ses publications et donc de créer des collections dédiées.
YLR : L’édition de presse et l’édition de livres n’étant pas du tout la même chose.
JDH : Exactement ! Sachant que chez EDICO nous avons les équipes pour produire des livres et donc tout est déjà en place. Ce qui n’est pas le cas pour notre partenaire.
YLR : Donc EDICO prend en charge la réalisation complète des livres que veut publier le groupe Robert Lafont Presse & Éditions ?
JDH : Et aussi, bien évidemment, la distribution du livre par les créneaux habituels de JDH Éditions.
YLR : Et donc Lafont Presse Éditions reste le propriétaire des livres édités et le responsable de la publication ?
JDH : Tout à fait, c’est son rôle officiel et légal. Quant à moi, je reste évidemment le président de ma société d’édition.
YLR : Donc c’est un partenariat tout simple où finalement EDICO et les équipes de production et de rédaction de JDH Éditions n’apportent que leur savoir-faire ?
JDH : Oui, et donc pour répondre complètement à la question, je tiens à préciser que je ne suis en aucun cas directeur de collection pour ce cher Robert Lafont, mais bel et bien un partenaire d’édition.
YLR : Donc vous êtes partenaire et prestataire, mais aucunement un directeur de collection détaché au groupe Lafont.
JDH : C’est tout à fait exact.
YLR : Parlons maintenant si vous le voulez bien, Monsieur Jean-David Haddad, de l’actualité de la maison d’édition. Très récemment, il y a eu un salon financier organisé par JDH Éditions qui a remporté un vif succès…
JDH : Oui, et un salon qui signifie aussi le retour de JDH sur la scène principale de l’édition de livres économiques.
YLR : Et dans le domaine, la maison a connu quelques succès, notamment sur des publications relatives au trading…
JDH : Nous avons acquis une véritable renommée dans le domaine, et aussi en publiant des livres intemporels sur l’économie, j’entends par ce terme les classiques du genre, comme nous allons également explorer en permanence de nouveaux territoires de l’économie avec des auteurs remarquables.
YLR : Comme le livre sur le trading à effet de levier de l’analyste économiste Romain Daubry ?
JDH : Oui et avec d’autres auteurs encore et aussi quelques surprises qui seront annoncées en temps voulu pour le premier semestre de l’année 2024.
YLR : L’économie passionne les foules, initiées ou non initiées, nous le constatons tous. D’autant que la situation internationale du moment n’est pas spécialement brillante et que nous sortons d’une grave crise liée à la pandémie du COVID-19. Cependant, j’observe en économiste amateur que les grands krachs boursiers qui ont été prédits, par certains auteurs de la maison JDH et par des chroniqueurs TV appartenant aussi au panel d’auteurs de la maison, ne se sont pas produits. Et qu’au contraire, l’économie qui est pourtant prise dans une situation à tiroirs, se maintient en créant une sorte d’économie adaptative, qui semblerait-il, a évité le pire au niveau des places boursières mondiales. Et donc vous publiez comme vous intéressez les lecteurs à ces techniques alternatives.
JDH : Oui, et je crois comprendre que vous faites référence au livre de Daniel Cohen de Lara, Le pouvoir d’Ichimoku, paru récemment.
YLR : Vous pouvez nous dire quelques mots sur ce livre ?
JDH : Il est à découvrir, c’est un très beau format couleur, presque artistique, et disons que c’est un livre d’analyses et de méthodes boursières et financières qui détonne par son originalité et surtout qui révèle et met en avant le fameux dispositif « Ichimoku ». Avec les Memoria Books et les nouveaux « performeurs » de l’économie, nous avons l’histoire et les bases de l’économie et aussi l’avenir de la discipline. L’économie est une matière vivante.
YLR : Mais revenons au salon économique JDH qui s’est tenu récemment.
JDH : C’était un événement festif, comme il y en a rarement dans ce secteur, qui s’articulait autour d’une conférence et de trois de nos auteurs qui présentaient leurs livres, avec nos partenaires de la soirée l’AFATE et Bourse Direct, le tout couvert par des journalistes de la télévision et de la presse écrite et numérique. L’événement a drainé un public international. Et j’y ai fait de très belles rencontres. Qui aboutiront à des projets, très certainement. Notamment pour de l’édition économique et politique.
YLR : Eh bien merci pour toutes ces précisions, Jean-David Haddad, et je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d’année, ainsi qu’à vos équipes, vos auteurs et vos partenaires. Un dernier mot ?
JDH : Merci à nos équipes et à nos associés d’avoir tenu le cap durant cette année particulièrement difficile, et merci à nos auteurs et à nos lecteurs. Bonnes fêtes de fin d’année à tous.
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