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Un nouveau livre dans « Les Pros de l’Eco », préfacé par Jean-David Haddad !

La crise du COVID a été une aubaine pour beaucoup de managers, chefs d’entreprise et autres leaders, de se renouveler, se repenser.
Découvrez un recueil exceptionnel de témoignages préfacé par notre éditeur Jean-David Haddad qui a lui-même su inventer un nouveau modèle pour JDH EDITIONS (dédicaces en ligne, etc).
L’auteure, Cornelia Findeisen, de la même promo de l’ENA que E. Macron, a réuni ces témoignages dans une seconde partie de son ouvrage, après avoir fait un long développement sur la résilience dans une première partie.
A découvrir dans la collection « Les Pros de l’Eco » (sous-collection « documents et révélations »)!
JDH EDITIONS

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JDH Éditions de plus en plus présent à l’international

Nous avons interviewé ce week-end notre auteur canadien Denis Morin. Il n’est pas le seul auteur international de JDH EDITIONS! Rappelons que la maison compte aussi dans ses rangs Ines Vignolo, qui est à la fois suisse et équatorienne, Joao Cerqueira, portugais et brésilien, qui a écrit « la tragédie de Fidel Castro« , livre ayant obtenu le prix littéraire le plus prestigieux des Etats-Unis. Elle compte aussi en Belgique Gilles Nuytens, ou encore le franco-sénégalais Mamadou Mahmoud N’Dongo, et plus récemment le médecin et homme d’affaires international franco-libanais Adnan El Bakri. Sans oublier l’artiste haïtien Jean Guesly

Mais au-delà de ses auteurs, la maison s’internationalise aussi par ses parutions. En effet, nous venons de réaliser une traduction maison de « La ferme des animaux » de George Orwell. Et la traduction de « 1984 » s’achève bientôt également. D’autres traductions sont prévues, ce qui nous placera parmi les très rares éditeurs à avoir traduit de tels monuments en français.

Toujours pour aller plus loin, la maison JDH s’internationalise également par ses circuits de distribution.

Tandis qu’une grande partie de nos livres sont distribués chez la grande chaine de libraires Barnes&Noble qui compte plus de 500 points de vente entre USA, Canada et Royaume-Uni (cliquez sur le lien précédent), nous apprenons aussi que certains de nos livres ont été choisis par la librairie française Albertine, de New-York. Par ailleurs, en Suède, la librairie Bokus vient de référencer le tiers de notre catalogue . A tout cela, rajouter évidemment notre présence sur Amazon.com, Amazon.ca, etc

L’internationalisation de la maison, comme le dit un associé, « n’est pas une option, elle est une obligation ». Nous poursuivrons dans ce sens.

Il est à noter que les prix de vente de vos livres ne seront pas les mêmes sur toutes les plateformes ni chez tous les libraires à l’étranger car il n’y a pas la loi du prix unique du livre (Loi Lang) comme en France; eh oui, la France garde encore quelques avantages…

Jean-David Haddad

Président fondateur de JDH EDITIONS

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Qui est Denis Morin, notre auteur canadien? Interview menée par Jean-David Haddad

A l’occasion de la sortie de son deuxième roman chez JDH EDITIONS, « Et Cetera », Denis Morin se livre dans une interview donnée à Jean-David Haddad.

JDH : Bonjour Denis Morin. Vous êtes un auteur prolifique de la maison JDH. Pouvez-vous nous rappeler la liste de ce que vous avez publié chez nous?

DM : Bonjour Jean-David Haddad. Merci de l’invitation. Je me suis joint à votre maison en 2020. Les parutions dans votre maison sont les suivantes : Rose Meredith et Et cétéra (romans dans la collection Nouvelles Pages), À l’ombre des eucalyptus (nouvelle dans le collectif Violences conjuguées), Anaïs et Constance (nouvelle dans le collectif Homo gènes), En toute impunité (nouvelle dans le collectif Cadavres écrits).

JDH : Quelques mots sur chacun de vos deux romans. Pouvez-vous les résumer en une phrase chacun?

DM : Dans Rose Meredith, on assiste à la faillite subie par une famille écossaise en 1938, alors que leur bonne bretonne hérite par son cousin de propriétés au Canada. Pour Et cétéra, une écrivaine et traductrice québécoise reçoit un courrier de France avec comme seul message ‘’Je vous aimerai toujours.’’ Il s’agit d’un roman épistolaire.

JDH : Deux livres finalement très différents ou très proches?

DM : Ils sont proches du fait que je m’intéresse à la psychologie des personnages et aux gens provenant d’horizons divers. Dans Rose Meredith, je pars de 1938 pour me rendre aux années 1990.Dans Et cétéra, on part de 2021-2022 pour retourner vers les années 1940-1960. J’aime les livres qui font voyager. Fait à noter que le premier fut terminé en mars 2020 et que le deuxième fut écrit comme une fulgurance entre avril et août 2020 avec quelques retouches par la suite. Le corps est confiné, mais surtout pas l’esprit. Dans les deux romans, j’ai des personnages qui sont originaires de pays différents. Cela donne de la couleur et peut susciter la curiosité du lectorat. Nous sommes à la fois différents et semblables.

JDH : Comme vous l’avez précisé plus haut, vous avez aussi participé à 3 collectifs. Qu’avez-vous pensé de cette expérience consistant à écrire un livre avec d’autres auteurs?

DM : Je ne suis pas du tout dans l’ego. Donc, partager un espace d’écriture et un projet, je trouve cela très stimulant. Dès la parution d’un collectif, on peut découvrir la perception des autres auteurs face à un thème imposé. En fait, notre directeur des collections me trouvait un peu ‘’fleur bleue’’ avec le premier roman. Il m’a invité à trois reprises, en me posant comme seule condition que je sorte de ma zone de confort. Mission accomplie. Je me suis bien amusé. Et je souhaite récidiver en temps opportun. De plus, cela donne une belle singularité à la maison.

JDH : Nous nous définissons comme la seule maison d’édition « communautaire ». Avez-vous ressenti cette impression de communauté en vivant le concept de livre collectif?

DM : Le livre collectif est une chorale. Un chant est proposé. Il y a différents registres vocaux qui finissent par donner un ensemble cohérent, puissant, émouvant, pertinent.

JDH : Denis, vous êtes au Canada, vous représentez un peu le début d’internationalisation que nous souhaitons donner à JDH Éditions. Comment est-il perçu, au Canada, que vous publiez chez un éditeur français?

DM : Dans les années 1980, je tentais de percer à la fois comme journaliste artistique et parolier. On me trouvait trop Français. J’ai rangé ma plume. Je me suis tu pendant de nombreuses années. La vie et ses hasards m’ont ramené vers les arts à la fin des années 1990 et au début des années 2000. Là, encore, des éditeurs québécois me percevaient trop français, par mes goûts. Par conséquent, j’ai tourné mon regard vers la France. Le Québec a encore un léger complexe vis-à-vis la France. On m’envie un peu. La francophonie est mon terrain de jeu. Bien des artistes vont en France et en Europe pour déployer leurs ailes. Je crois que je serai d’abord apprécié en France avant de l’être au Québec. C’est comme ça. Je dis souvent à la blague que le Québec a comme ressources naturelles du bois, de l’électricité, des chanteuses et des écrivains.

JDH : La littérature française est-elle appréciée au Canada?

DM : Oui, elle l’est. Elle est très bien perçue. Avant les années 1990, les grandes maisons comme Gallimard, Grasset, les Éditions de Minuit, ça faisait rêver. Je crois que les prix littéraires et des écrivains charismatiques ont contribué au rayonnement de la littérature française. Moi, comme lecteur et blogueur, je lis en alternance un livre français et un livre québécois. Quant à certains écrivains québécois et acadiens, ils ont rejoint le corpus littéraire du monde entier… Pensons à Antonine Maillet, Michel Tremblay, Anne Hébert, Gabrielle Roy, Dany Laferrière, etc. Le français attire aussi des écrivains canadiens-anglais à s’exprimer dans les deux langues, si l’on songe à la femme de lettres Nancy Huston qui partage son temps à Paris entre l’écriture, les hommes de sa vie (son conjoint écrivain, leur fils) et le clavecin.

JDH : Êtes-vous citoyen canadien? De naissance ou bien naturalisé?

DM : Je me sens d’ici et d’ailleurs. J’ai plus d’affinités avec les étrangers. Mais je le suis de naissance. Mes parents sont Québécois. Par contre, en fouillant, à gauche et à droite, j’ai découvert que mes ancêtres provenaient de Bretagne, de la Vienne, de Paris, du Lancashire en Angleterre. Du sang amérindien (nation malécite) coule aussi dans mes veines. Je suis archiviste et commis de bureau en milieu religieux, bien que laïc. Pour le travail, j’ai appris l’italien. Dans mon imaginaire, je me promène entre le français, l’anglais et l’italien. Un poète italien m’a déjà approché pour traduire un recueil de poésie en français, puis je l’ai mis en contact avec une éditrice de revue vivant à Nizza (Nice en italien) de descendance italienne. J’aime les grands espaces au Québec, mais mon cœur est à Paris et à Rome. Je me suis rendu en Israël par le passé. De passage à Césarée, je pensais à Titus et Bérénice. Toujours la culture française…

JDH : Au Québec, ressentez-vous plus une influence de la culture française ou américaine?

DM : La chanteuse et violoniste Catherine Lara dit des Québécois qu’ils sont des Américains parlant français. Elle a raison. En fait, les Québécois, nous sommes des hybrides entre la culture française et la culture anglaise. Nous sommes des bons vivants comme les Français et nous avons la rigueur des Anglais. Compte tenu de l’histoire, étant passés du Régime français au Régime anglais au 18e siècle, les colons français, les métis et les autochtones ont eu à plier l’échine. Nous détestons les conflits et les interminables joutes oratoires. Nous sommes des êtres pragmatiques et pacifiques. On préfère pratiquer un sport, boire une bière ou une coupe de blanc en terrasse, jardiner, etc. Quant à moi, je préfère de loin la culture française. La langue anglaise est pratique et usuelle. L’anglais élisabéthain est ravissant, puisqu’on y sent l’influence française. La culture américaine avant les années 1970 était intéressante puisque les réalisateurs, les compositeurs, les photographes et les peintres provenaient d’un peu partout en Europe dont la Russie. Mes textes succincts (poèmes, recensions de livres) ont une concision à l’anglaise. Mes descriptions d’états d’âme dans ma prose romanesque, c’est résolument français et québécois.

JDH : Quelque chose à ajouter?

DM : Rien à déclarer… Je crois vous avoir tout dit ou presque, Jean-David.

JDH : Je vous remercie.

 

 

 

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Beau démarrage pour le poignant dilemme!

Ce court et percutant récit interpelle et démarre bien sa carrière en librairie. Le chanteur Gildas Thomas raconte, il avait besoin de se livrer, de raconter, comme beaucoup de nous qui avons besoin de l’écriture pour évacuer
Il a filé le COVID à son père. Et son père est mort. Terrible récit mais si banal dans le contexte si pourri de cette épidémie.
A découvrir d’urgence.
En vente chez tous les libraires, sur les plateformes comme Amazon et surtout sur le site de l’éditeur!

 

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« L’or et l’argent ». Thomas Andrieu présente son guide complet pour investir

Rien de tel qu’une vidéo pour présenter un nouveau livre qui sort! Le jeune Thomas Andrieu, qui est sur le podium des meilleures ventes du mois d’avril, présente son guide sur l’or et l’argent en vidéo :

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Podium des meilleures ventes d’avril : du nouveau !

Et voici le podium du mois d’avril !
Retour en première place de Benoist Rousseau. Un nombre de ventes énorme en avril. Comme l’an dernier, ce sont les effets du confinement, qui fait naître beaucoup de vocation à être trader !!!
Sur la 2e marche c’est le livre médical de notre collection Hippocrate &co, écrit par le Dr El Bakri, sur la prédiction des évolutions du cancer avec l’intelligence artificielle. Un livre technique à 49 euros/
Enfin sur la 3e marche nous avons deux ex æquo ce mois ci !
On y retrouve le jeune Thomas Andrieu, non pas avec ses propheties économiques, qui se vendent toujours, mais avec un guide complet sur l’or et l’argent
Et on retrouve @Nathalie Sambat ⁩, directrice de la collection « case blanche », avec son livre « sa phobie scolaire, ma délivrance »…
Trois livres publiés en 2021, donc pour ce podium à quatre. Enfin des livres de 2021 dirons-nous!
Peut être une image de 1 personne

 

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La Brèche : un feel-good estival en vente partout !

Alors que le mois de mai pointe son nez, avec lui les premiers rêves de vacances! Et les premiers livres d’été qui apparaissent!
« La Brèche » est un feel-good d’été, drôle et pimenté, qui fait la part belle à l’imaginaire. Il est à présent en vente partout.

A découvrir et à lire!

Dans la collection « My Feel Good »

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Faire fortune dans l’immobilier : un thème à la mode

Faire fortune dans l’immobilier. C’est là un thème à la mode. JDH Editions ne pouvait pas s’en exclure, et cela d’autant plus que « Les Pros de l’Eco » est une collection phare de la maison!Et devient une importante collection du monde économique français!

Mais sur ce sujet, nous avons donné la parole à un jeune. Qui a commencé un beau parcours dans l’immobilier, a déjà réalisé de très belles affaires. Et il vous dit comment. Ce qu’il faut faire et ne pas faire.

Découvrez notre tout nouveau livre dans la collection « Les Pros de l’Eco » : « L’essentiel de l’investissement immobilier ».

Comme tous les livres de la collection, celui-ci intègre des QR codes qui revoient vers de nombreux liens, soit en tout, des heures de lecture en plus que les 188 pages du livre.

Après Benoist Rousseau, Thomas Andrieu, Jean-David Haddad, Simone Wapler, Julie Charrier, Christelle Poussier, voilà que Fares Zlitni vient garnir les rangs des « Pros de l’Eco ».

Et maintenant, volez vers votre liberté financière! Disponible en e-book également!

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Découvrez notre dernier ATEMPOREL: « AZIYADÉ » de Pierre Loti

C’est notre dixième Atemporel, il s’agit du roman « Aziyadé » de Pierre Loti. Publié anonymement en 1879, Aziyadé se déroule en Turquie en 1876-1877. Un jeune officier de vingt-sept ans tombe passionnément amoureux d’une belle jeune femme prisonnière d’un harem d’Istanbul. Avec cette inoubliable histoire d’un amour tragique et romantique, un soupçon autobiographique, Pierre Loti nous transporte dans les charmes d’un Orient suranné, mâtiné de couleurs chatoyantes et de parfums enivrants.

Alain Maufinet, ancien officier supérieur de l’Armée française, passionné par les contrées exotiques, auteur de plusieurs romans dont «Le chant des brisants» (JDH Éditions), a pris un immense plaisir à faire partager sa passion pour Aziyadé à travers une préface complète et explicative.

Découvrez cet atemporel pour moins de 5,70€ !

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« Le dilemme » de Gildas Thomas, disponible partout désormais

 

Non! JDH Editions n’est pas monocorde, n’assène pas seulement une même pensée, une même protestation! On ne peut pas s’opposer à la pensée unique et produire de la pensée unique!

Non! Nous ne publions pas seulement des auteurs qui critiquent les réactions gouvernementales face au COVID!

Nous donnons aussi la parole à ceux qui souffrent, qui ont souffert ou souffriront, non des restrictions mais de la maladie.

Gildas Thomas, chanteur, parolier, publie un récit poignant. Celui qui concerne la mort, si rapide, si imprévue de son père, frappé par ce virus.

Son récit fait écho à ce que des dizaines de milliers de personnes ont vécu depuis le printemps 2020 et plus particulièrement lors des pics épidémiques. Son histoire est tragique et banale à la fois, et si elle est malheureusement devenue banale, c’est à cause de la multitude de cas semblables. Mais il a eu besoin d’écrire cette confession, intime et qui est dans le même temps, universel.

En vente sur JDH EDITIONS, chez tous les libraires, et désormais en stock sur Amazon.

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