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Stupeur et confinements

Stupeur et confinements… Deux mots qui ne vont pas très bien ensemble. Pourtant, face aux récents événements, avec vécus et ressentis, un collectif d’auteurs s’est réuni pour produire ce recueil unique. Unique par sa diversité, par ses angles de vues, par ses opinions, par les questions qu’il soulève. Nous avons tous vécu la crise sanitaire de ces derniers mois avec colère, tristesse, angoisse et au final, le temps aidant, avec du recul.

Ce premier livre, de la collection « Les collectifs de JDH Éditions », tape fort, voit loin et redonne au mot « plumes » tout son sens.
À lire absolument, ne serait-ce que pour vous y retrouver.

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Un chalet pour Noël par A.Maufinet

Bonjour,

Si vous me suivez, vous découvrirez que je navigue

de l’aventure « Les larmes du désert » au suspense (« l’ombre de Marrakech » ou mon dernier « Quand resonne le glas »).

De la poésie, le romantisme « le chant des brisants » vers les textes de nos anciens que j’ai préfacé : Le colonel Chabert de Balzac,  Aziyadé de Pierre Loti, Pensées pour moi-même de Marc Aurèle.

De livres pour la jeunesse (vous le découvrirez bientôt) vers les textes que les âmes sensibles doivent éviter (un collectif comme « cadavres écrits » ) ou des sujets de sociétés (citons plusieurs collectifs « Coronavirus, la dictature sanitaire » « Stupeur et Confinements  » le dernier : « Tueuses, des faits réels à l’opposé des féminicides » ).

 

Je ne cite ici qu’une petite moitié de mes écrits, pour vous intriguer un peu. Je navigue ainsi sur les mots et les textes avec le même plaisir en glissant parfois quelques poèmes dans mes romans.

Aujourd’hui, j’ai participé à un collectif : Romance addict, puisque l’on classe ainsi les romans. Il faut bien s’inscrire dans les habitudes modernes et donner des noms qui classent nos écrits.

Je vous présente donc : « Un chalet pour Noël. » Neuf plumes étonnantes, surprenantes, envoûtantes.

Imaginez une rencontre imprévue alors que les cloches de Noël sonnent.

« Ce soir, entre des chalets de Noël, il remarqua un profil qui attira son regard. Elle ne regardait pas dans sa direction, mais il ne pouvait pas détacher son regard d’un visage, d’une allure. Soudain, entre deux rangées de lampions, ils se trouvèrent face à face… »

Vous ne trouverez pas cette histoire dans : « Un chalet pour Noël. », vous trouverez beaucoup mieux.

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Mais qui êtes-vous donc : Alain MAUFINET ?

Bonjour,

Mais qui êtes-vous donc : Alain MAUFINET ?

Alors, je me présente à la manière d’un autre Alain, Alain DELON. Pourquoi un tel choix, car sur les réseaux mes photos sont mêles aux siennes. J’apprécie la main du hasard.

Enfant solitaire, il apprécie les épopées que proposent les grands auteurs. Il voyage guidé par ces lectures, souvent accompagné par les auteurs romantiques. Se sentant à l’étroit entre la Garonne et les Pyrénées, il rêve d’équipées lointaines.

Le danger Soviétique se profile à l’Est. Il choisit d’être soldat, un soir de septembre 1969. Maréchal des logis-chef, il obtient rapidement ses galons d’officier. Il sillonnera pendant prés de vingt ans les terres de l’Est de la France. Il s’entraine, il attend. C’est un peu, son désert des tartares. Il lit beaucoup.

Jeune, il était marqué par les pages du passé. Désormais, il se tourne vers les pages à écrire.

Il propose ses nouvelles pour des publications militaires, le mur de Berlin tombe. Le risque soviétique s’efface. Il l’avait écrit, mais son approche avait été jugé utopique dans le cadre de l’école de guerre. Ses nouvelles missions, à l’Etat-major des armées, l’entraine loin de la métropole, en particulier vers l’Afrique Francophone. Il y vit des aventures captivantes. Il partage des cultures et des mondes nouveaux, et noircit des pages d’écolier.

Il est nommé successivement chevalier de l’ordre national du mérite, puis chevalier de la légion d’honneur.

A l’aube de l’an 2000, Colonel, il quitte l’uniforme et change de vie. L’immobilier le capte. Il aime les mots de la vie réelle, il adore ceux de la fiction. Il décide d’écrire. Il imagine les secrets des hommes et des femmes qu’il croise. Il goute de les peindre. Quelques épais manuscrits remplissent maintenant sa giberne.

 

Parlons écrits;

2011/2014.

Avec un nom de plume, ALAIN BADIRAC.

Je publie trois romans : Passion clair-obscur. La pluie soleil. Les griffes de la vie, et un recueil de nouvelles : Souffles de vies. (Libre Label). (Plus en vente).

 

2017/2018.

Je publie avec mon nom.

Participation au recueil de nouvelles Prix Gérard de Nerval, avec 16 auteurs : Un cadavre dans les dunes (Arthémuse).

Un roman (1°version) : Les larmes du désert (Livre Actualité). (Plus en vente).

 

2020.

Je préface deux romans du philosophe Malien : Fousseni Togola.

Bintou, une fille singulière.

L’homme sirène.

 

Je rejoins JDH éditions.

Un roman, Le chant des brisants (collection littéraire : Magnitudes.)

Je participe avec d’autres auteurs à 3 collectifs :

« Coronavirus, la dictature sanitaire » (collection Uppercut).

« Stupeur et Confinements  » « L’année s’annonçait belle, avec deux 20 » (Les Collectifs).

« Nos violences conjuguées. » « À Sylvie, éphémère rencontre » (Les Collectifs).

En 2021.

Chez JDH éditions, je propose :

Un collectif : Cadavres écrits « Les volets rouges » (collection Black files).

Deux romans :

L’ombre de Marrakech (collection Nouvelles pages).

Otage au Mali (collection Nouvelles pages) .

 

J’ai également préfacé trois auteurs anciens (Collection Atemporels) :

Le colonel Chabert de Balzac,

Aziyadé de Pierre Loti,

Pensées pour moi-même de Marc Aurèle.

 

En 2023.

Deux romans :

Les larmes du désert (version enrichie préfacé par Fousseni Togola, très connu dans les milieux intellectuels de son pays. Il est détenteur d’un Master philosophie qu’il enseigne.) (collection littéraire : Magnitudes.)

Quand resonne le glas. (collection littéraire : Magnitudes.)

 

Projets : (participation à des collectifs, livres pour enfants)

 

Venez me lire :

https://jdheditions.fr/revues/bibliotheques-oubliees

 

Mon profil, mes écrits :

https://jdheditions.fr/team/alain-maufinet/

Un lien : https://youtu.be/aIgV1Mv99QE

Amicalement, Alain MAUFINET.

 

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Venez donc en Atrique, avec moi.

 

Bonjour,

 

En naviguant sur internet, j’ai découvert des ressentis et un extrait d’un article de journal de l’année dernière.

Ressentis : Les Larmes du Désert.

« Alain Maufinet est un auteur qui sait de quoi il parle. Son style est clair et précis. Je suis en plein accord avec le ressenti de Nadine Doyelle. » Serge Mandaret (auteur).

« Ce roman, c’est de l’art et du suspense. Un must à lire ! » Denis Morin (auteur canadien).

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Littérature : écrire l’Afrique, une passion pour Alain Maufinet

Jeudi 25 Août 2022 – 19:45

Qui est l’homme ? Comment s’est-il frayé la route vers le continent africain pour en être le porte-parole ? N’en prenez pas ombrage.  En effet, après avoir suivi les écrits des auteurs anciens : Chateaubriand, Victor Hugo, Balzac, Stendhal… Alain Maufinet sillonne longtemps l’Est de la France sous l’uniforme.

Séduit par d’autres lectures, d’autres cultures, il écrit de temps à autre. À l’aube de l’an 2000, il choisit une nouvelle carrière. Il aime les mots de la vie réelle, et ceux de la fiction. Avec un nom de plume, Alain Badirac, l’homme publie trois romans, « Passion clair-obscur », « La pluie soleil », « Les griffes de la vie » ; et un recueil de nouvelles, « Souffles de vies ».

Puis publiant le roman « Les larmes du désert » (Livre Actualité) avec son nom, il participe également au recueil de nouvelles Prix Gérard de Nerval, avec seize auteurs, « Un cadavre dans les dunes » (Arthémuse).  Dans l’intervalle, il préface deux romans du philosophe malien Fousseni Togola, « Bintou, une fille singulière » et « L’homme sirène ».

C’est alors qu’il rejoint JDH éditions. Son roman, « Le chant des brisants », inaugure la nouvelle collection littéraire : Magnitudes. Lors du premier confinement, Alain Maufinet participe avec d’autres auteurs à la publication de « Coronavirus, la dictature sanitaire » (collection Uppercut), « Stupeur et Confinements », « L’année s’annonçait belle, avec deux 20 » (Les Collectifs). Puis, à « Nos violences conjuguées. » et « À Sylvie, éphémère rencontre » (Les Collectifs).

Proposant, par ailleurs, des préfaces de romans de deux grands auteurs (Collection Atemporels) : Le colonel Chabert de Balzac, puis Aziyadé de Pierre Loti, l’an dernier il signe chez JDH éditions un collectif et deux nouveaux romans (collection Nouvelles pages) : « Les volets rouges » (collection Black files), « L’ombre de Marrakech », et « Otage au Mali » le tout récent. Ecrire l’Afrique est pour Alain Maufinet une passion, liée à des souvenirs et à une expérience dans ce continent, particulièrement au Mali en dénonçant dans son roman le martyr que vit ce pays à cause des terroristes qui, depuis 2012, font régner un climat morose au Sahel.

Aubin Banzouzi

Légendes et crédits photo : 

Photo: Alain Maufinet

En 2023, découvrez : Les larmes du désert, Quand resonne le glas et

un ouvrage que j’ai préfacé « Pensées pour moi-même » réflexions divisées en douze livres, rédigées en grec entre 170 et 180 par Marc Aurèle.

Et si ces liens vous suiviez ?

https://jdheditions.fr/revues/les-larmes

https://jdheditions.fr/team/alain-maufinet/

 

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le producteur de vos rêves par Alain MAUFINET

Bonjour.

 

Voulez-vous être le producteur des voiles de vos rêves ?

Je vous propose des voyages, des aventures au cœur d’une société blessé par des crises, des virus, des guerres, les folies des hommes (avec un grand H)… Rien ne m’indiffère, je souris en lisant ceux qui psittacisent[1], en particulier sur la liberté, je m’émerveille en découvrant de beaux écrits, je suis chagriné aussi souvent. Je ne juge pas, j’observe. Je ne me permets pas de donner des leçons, je traduis la vie, nos vies.

 

Je vous invite à me découvrir en lisant quelques collectifs :

« Coronavirus, la dictature sanitaire » (collection Uppercut).

« Stupeur et Confinements  » « L’année s’annonçait belle, avec deux 20 » (Les Collectifs).

« Nos violences conjuguées. » « À Sylvie, éphémère rencontre » (Les Collectifs).

« Cadavres écrits « , « Les volets rouges » (collection Black files).

Ou bien dans mes deux derniers romans :

L’ombre de Marrakech,

Otage au Mali (Roman préfacé par Fousseni Togola, philosophe et journaliste très connu dans les milieux intellectuels de son pays. )

 

[1] Psittaciser : répéter quelque chose comme un perroquet, sans en saisir le sens. Dérivé du latin psittacus : perroquet.

 

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Mais qui êtes-vous donc : Alain MAUFINET ?

Mais qui êtes-vous donc : Alain MAUFINET ?

Alors, je me présente à la manière d’un autre Alain, Alain DELON

Enfant solitaire, il apprécie les épopées que proposent les grands auteurs. Il voyage guidé par ces lectures, souvent accompagné par les auteurs romantiques. Se sentant à l’étroit entre la Garonne et les Pyrénées, il rêve d’équipées lointaines.

Le danger Soviétique se profile à l’Est. Il choisit d’être soldat, un soir de septembre 1969. Maréchal des logis-chef, il obtient rapidement ses galons d’officier. Il sillonnera pendant prés de vingt ans les terres de l’Est de la France. Il s’entraine, il attend. C’est un peu, son désert des tartares. Il lit beaucoup.

Jeune, il était marqué par les pages du passé. Désormais, il se tourne vers les pages à écrire.

Il propose ses nouvelles pour des publications militaires, le mur de Berlin tombe. Le risque soviétique s’efface. Il l’avait écrit, mais son approche avait été jugé utopique dans le cadre de l’école de guerre. Ses nouvelles missions, à l’Etat-major des armées, l’entraine loin de la métropole, en particulier vers l’Afrique Francophone. Il y vit des aventures captivantes. Il partage des cultures et des mondes nouveaux, et noircit des pages d’écolier.

Il est nommé successivement chevalier de l’ordre national du mérite, puis chevalier de la légion d’honneur.

A l’aube de l’an 2000, Colonel, il quitte l’uniforme et change de vie. L’immobilier le capte. Il aime les mots de la vie réelle, il adore ceux de la fiction. Il décide d’écrire. Il imagine les secrets des hommes et des femmes qu’il croise. Il goute de les peindre. Quelques épais manuscrits remplissent maintenant sa giberne.

 

Parlons écrits;

2010/2014.

Avec un nom de plume, ALAIN BADIRAC.

Je publie trois romans : Passion clair-obscur. La pluie soleil. Les griffes de la vie, et un recueil de nouvelles : Souffles de vies. (Libre Label).

 

2017/2018.

Je publie avec mon nom.

Participation au recueil de nouvelles Prix Gérard de Nerval, avec 16 auteurs : Un cadavre dans les dunes (Arthémuse).

Un roman : Les larmes du désert (Livre Actualité).

 

2020.

Je préface deux romans du philosophe Malien : Fousseni Togola.

Bintou, une fille singulière.

L’homme sirène.

 

Je rejoins JDH éditions.

Mon roman, Le chant des brisants, inaugure la nouvelle collection littéraire : Magnitudes.

 

Lors du premier confinement, je participe avec d’autres auteurs à :

« Coronavirus, la dictature sanitaire » (collection Uppercut).

« Stupeur et Confinements  » « L’année s’annonçait belle, avec deux 20 » (Les Collectifs).

Puis, à « Nos violences conjuguées. » « À Sylvie, éphémère rencontre » (Les Collectifs).

Je propose des préfaces de romans de deux grands auteurs (Collection Atemporels) : Le colonel Chabert de Balzac, puis Aziyadé de Pierre Loti.

 

En 2021.

Chez JDH éditions, je propose un collectif et deux nouveaux romans (collection Nouvelles pages) :

Avec plusieurs auteurs : « Cadavres écrits « , « Les volets rouges » (collection Black files).

L’ombre de Marrakech,

Otage au Mali (Roman préfacé par Fousseni Togola, très connu dans les milieux intellectuels de son pays. Il est détenteur d’un Master philosophie qu’il enseigne.)

En 2022.

Conduit un nouveau collectif JDH : Les « Diva » cool ne le sont pas.

( Ce collectif propose soit des phases de vie d’artistes plus ou moins éphémères qui ont flirté avec le succès, soit celles de créateurs installés, invivables au quotidien.)

Puis, une nouvelle participation dans une suite envisagée de « Cadavres écrits »

Puis

Venez me découvrir : https://jdheditions.fr/team/alain-maufinet/

Un lien :

www.youtube.com/channel/UC6wQLxM06LuaKRgzKaE9mKg

 

Amicalement.

 

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Il était une fois.

 

Il était une fois…

 

Un auteur est un être passionné. Nous pouvons tous écrire, raconter des tranches de vies ou des phases d’imagination. L’auteur transporte son lecteur dans une autre dimension. Gustave FLAUBERT disait : « Il m’arrive de supprimer au bout de cinq ou six pages, des phrases qui m’ont demandé des journées entières. »

Première pause : quelques mots, Le chant des brisants.

« Arnaud l’avait surnommée ma petite griotte, pour la première fois. Claire avait souri, d’un sourire indéfinissable. Il était à la fois tendre, amoureux, reconnaissant. Elle avait porté une de ses mains à ses lèvres. Arnaud sentit le bout de sa langue qui devisait avec sa peau. À son réveil, Claire était partie. Elle avait disposé une cordelette de « Je t’aime », avec des biscuits et deux diamants sur son oreiller. Son parfum inondait une petite page couleur saumon. »

 

Lors des séances de dédicace, je croise des visiteurs qui jettent un rapide coup d’œil à mes couvertures de romans. Peu avant, ils feuilletaient des livres dans les rayons. Devant mes écrits, ils me disent qu’ils ne me connaissent pas, que mes romans ne correspondent pas à leurs attentes. Ils s’éloignent sans avoir daigné découvrir.

Pause suivante : un extrait, Otage au Mali.

« Il tente une question, elle lui plaque une main froide et énergique sur la bouche. Des minutes pesantes s’écoulent. L’on peut percevoir des éclats de voix et même le crépitement d’une arme automatique. Le danger est encore lointain. Des ailes claquent. Un cormoran se pose sur un bord de pirogue. De son œil inquisiteur, il semble évaluer les passagers de l’esquif. Un autre le rejoint avant de repartir comme il est apparu.

— Que faisons-nous sur le Niger ?

La jeune femme observe les alentours sans bouger à l’aide d’un petit miroir qu’elle manie discrètement sur le bord de l’embarcation. »

 

Lors des temps morts, je feuillette quelques ouvrages. Je suis souvent déçu. Les publicités et les prix me paraissent de bien mauvais guides. Je retrouve l’élan, le souffle pour proposer mes romans. Quelquefois, je trouve un ouvrage fascinant. Je note pour l’obtenir plus tard.

Dernière pause : quatre phrases, L’ombre de Marrakech.

« À côté d’un autre volet agrippé par l’intrus, une voisine tourne les pages d’un livre, où un vampire progresse sur une façade à la recherche d’une jeune proie, de sang frais. Une ombre fugitive, en voilant sa fenêtre, la fait frissonner. Elle entend un vol de pigeons et pense percevoir ces petits sons qu’émettent les chauves-souris. Puis, elle se rassure en se disant qu’elle parcourt une fable, avec des personnages imaginaires. »

 

Certains passants écoutent, félicitent, échangent. Merveilleuses rencontres pour un auteur, même s’il ne dédicace pas toujours. Merci à toi jeune fille qui a enlevé tes écouteurs pour partager ! Merci à vous, madame pour ce livre que vous comptez offrir à votre mère. Merci à vous, monsieur pour ce roman que vous allez offrir à votre femme qui souhaitait obtenir le prix Goncourt de l’année.

 

Dites-nous tout, monsieur l’auteur.

 

2011/2014.

Avec un nom de plume, ALAIN BADIRAC.

Je publie trois romans : Passion clair-obscur. La pluie soleil. Les griffes de la vie, et un recueil de nouvelles : Souffles de vies. (Libre Label).

 

2017/2018.

Je publie avec mon nom.

Participation au recueil de nouvelles Prix Gérard de Nerval, avec 16 auteurs : Un cadavre dans les dunes (Arthémuse).

Un roman : Les larmes du désert (Livre Actualité).

 

2020.

Je préface deux romans du philosophe Malien : Fousseni Togola.

  • Bintou, une fille singulière.
  • L’homme sirène.

 

Je rejoins JDH éditions.

  • Mon roman, Le chant des brisants, inaugure la nouvelle collection littéraire : Magnitudes.

 

  • Lors du premier confinement, je participe avec d’autres auteurs à :
  • « Coronavirus, la dictature sanitaire » (collection Uppercut).
  • « Stupeur et Confinements  » « L’année s’annonçait belle, avec deux 20 » (Les Collectifs).
  • Puis, à « Nos violences conjuguées. » « À Sylvie, éphémère rencontre » (Les Collectifs).
  • Je propose des préfaces de romans de deux grands auteurs (Collection Atemporels) : Le colonel Chabert de Balzac, puis Aziyadé de Pierre Loti.

 

En 2021.

Chez JDH éditions, je propose un collectif et deux nouveaux romans (collection Nouvelles pages) :

  • Avec plusieurs auteurs : « Cadavres écrits « , « Les volets rouges » (collection Black files).
  • L’ombre de Marrakech,
  • Otage au Mali (Roman préfacé par Fousseni Togola, très connu dans les milieux intellectuels de son pays. Il est détenteur d’un Master philosophie qu’il enseigne.)

 

https://jdheditions.fr/team/alain-maufinet/

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JDH ÉDITIONS et le COVID : une riche production !

JDH Éditions a la capacité, grâce à son modèle communautaire, de pouvoir mobiliser facilement des auteurs sur un sujet spécifique.

JDH Éditions a la flexibilité qui lui permet de modifier son calendrier de production si nécessaire pour intégrer un sujet brûlant d’actualité.

JDH Éditions a la rapidité, grâce à l’impression à la demande, pour pouvoir dégainer très vite.

Ainsi, lorsque les restrictions ont été prononcées, en Italie puis en Espagne, début mars 2020, plusieurs auteurs ont senti qu’elles viendraient en France et se sont exprimés via un pamphlet collectif qui a fait date : « Coronavirus, la dictature sanitaire » publié exactement le 14 mars 2020 donc avant le discours macroniste du 17 mars.

Puis, restant en pointe sur ce sujet d’actualité qui a éclipsé l’effondrement du World Trade Center et la crise des subprimes en tant que thème majeur du (toujours) jeune siècle, JDH Éditions a enchaîné les publications.

Informer.

Donner la parole.

Permettre le débat contradictoire.

Il y a les pros-restrictions d’un côté, anti-restrictions de l’autre; nous avons donné la parole aux deux camps.

Il y a ceux qui minimisent la pandémie d’un côté, ceux qui en ont souffert ou en souffrent d’un autre côté; nous avons donné la parole aux deux camps.

Il y a ceux qui voient le négatif dans cette crise, le mal, le contrôle des populations; et ceux qui voient le côté positif, la résilience des modèles de management; là encore nous avons donné la parole aux deux camps.

JDH Éditions compte près de 150 références de livres au compteur de sa bibliothèque. Parmi elles, une dizaine qui traitent, directement ou pas du COVID. Nous avons été en pointe sur le sujet. Nous vous rappelons l’existence de ces livres, et notre éditeur fera une vidéo spéciale de « Livres en vrac » pour les re-présenter.

-« Coronavirus, la dictature sanitaire ». Pamphlet collectif clairement anti-restrictions, comme un coup de poing au tout début de ce qui se mettait en place.

-« Stupeur et confinements », un collectif de témoignages, le premier du genre sur le confinement. Des auteurs ont raconté leur vécu, leur ressenti, en plein premier confinement, dont nous nous souvenons de la dureté.

-« Je ne pouvais pas les laisser mourir » du Docteur JJ Erbstein, publié en fin de premier confinement. Ce récit pamphlétaire, devenu un best-seller (3ème meilleure vente JDH en 2020 et premier sur les podiums de janvier et février 2021), a été le premier livre où un médecin s’est exprimé, levant l’omerta médicale, racontant comment, en très peu de temps, les cabinets médicaux de province, ceux-là même qui sont oubliés de notre administration centrale, sont devenus des champs de bataille, des lieux de souffrance où il a fallu se battre avec abnéga­tion, presque à mains nues.

-« Face au monde d’après » de notre éditeur en personne, professeur agrégé d’économie et de sciences sociales, qui projette ce que pourrait être la décennie qui arrive en raison de cette crise qui va modifier beaucoup de choses. N’oubliant pas qu’il conseille des milliers de particuliers quotidiennement sur leurs finances, JDH donne aussi dans ce livre des conseils patrimoniaux pour affronter cette décennie.

-« Le meurtre du bon sens » de Gilles Nuytens est peut-être le cri qui s’élève le plus fort contre la « dictature sanitaire ». Un texte enflammé, une vision des choses, que vous approuverez… ou pas, mais qu’il faut lire pour comprendre les arguments des « anti » car tout est bien posé sur la table et décortiqué.

-« Petit traité philosophique d’une confinée du peuple » d’Anne-Sophie Tredet. Troublante, dérangeante, intimiste, séduisante, délicieusement femme et incroyablement « elle », cette jeune femme s’amuse avec une profondeur philosophique certaine à décortiquer son confinement.

10ème meilleure vente JDH de 2020.

-« Maladie X ». Ce n’est pas le COVID mais ça y ressemble énormément… Date pour date quasiment… « Maladie X  » est un roman de science-fiction publié en pleine deuxième phase de confinement.

-« Le dilemme » de Glidas Thomas est un court récit d’un homme meurtri car il a filé le COVID à son père, et que ce dernier en est mort, une mort face à laquelle il a été impuissant. Le COVID chez JDH, c’est aussi cela.

-« Résilience et leadership sans blabla » est un livre de témoignages très positif, quant à lui, de chefs d’entreprises et de leaders qui ont su utiliser cette crise pour se réinventer et défier les modèles de management. Ils ont surmonté le COVID, ses restrictions et ont grandi! Préfacé par notre éditeur lui-même.

-Et n’oublions pas LE débat.

Etes-vous pour ou contre le port du masque?

Les deux ont la parole…

 

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Yoann Laurent-Rouault

Yoann Laurent-Rouault, est le directeur littéraire et artistique de JDH éditions. Son rôle est d’orchestrer la production littéraire et de guider les directeurs et directrices de collection sur la ligne éditoriale. Il gère aussi en duo avec Jean David Haddad, les collections Versus et Uppercut. À titre personnel, il dirige les collections, Magnitudes, Drôles de pages, F. Files et Black Files, et la collection des Intimistes JDH. Il est aussi à la base des projets collectifs, avec Cynthia Skorupa, directrice de production de la maison et gestionnaire du pôle New Romance. Nous le retrouvons aussi sur nombre de quatrièmes de couvertures, lettres ou préfaces sur l’ensemble des publications. À titre personnel, il publie sous le pseudo d’Arthur Saint-Servan (Le connard nu, Aux petits bonheurs ou l’anatomie de la marguerite, Coronavirus la dictature sanitaire) et sous son nom (Nos violences conjuguées, Stupeur et confinements, Bouses de Mammouth, Tu n’iras pas à l’école mon fils, Cadavres écrits…). Yoann Laurent-Rouault est aussi l’auteur d’adaptations (La tragédie de Fidel Castro), de biographies (Immigration mon amour), de livres sur mesure et de livres d’entreprise. Nous contacter pour en savoir plus.

Diplômé des beaux-arts, plasticien et illustrateur, il réalise régulièrement des couvertures pour les auteur(e)s dans les différentes collections, avec le concours de Cynthia Skorupa, qui gère les photomontages et autres effets PAO. Breton, érudit, bourru, il est aussi associé de la maison.

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Le monde d’après : ma marotte actuelle!

Je préfère parler de marotte et non d’obsession car c’est moins brutal! Mais c’est vrai que je réfléchis beaucoup au sujet depuis 6 mois!

Pour ceux ne me connaissant pas, enchanté! Je suis Jean-David Haddad, Professeur Agrégé de Sciences économiques et sociales, auteur depuis 20 ans, éditeur-fondateur de JDH Editions,  rédacteur en chef et aussi fondateur de deux médias économiques (Lesprosdeleco.com, le plus récent et Francebourse.com, le plus ancien, depuis 2001 s’il vous plait!).

Je fais le tour depuis 6 mois du monde d’après! Je n’y pense pas en me levant et me couchant mais je vous avoue que je me questionne. D’abord en tant que père. Et en tant que chef d’entreprise. Et aussi en tant qu’économiste, sociologue, etc. Ce monde d’après m’interpelle. Il ne m’effraye pas, mais je me dis que seuls ceux qui sauront s’y adapter y trouveront une place. Je crains qu’il ne fasse beaucoup de dégâts, et occasionne énormément de pauvreté! Et je ne veux pas être de ceux qui vont être laissés sur le bord de la route, ni ne veux que vous en soyez!

Durant le confinement, j’ai donc analysé, réfléchi, et j’ai écrit un livre « Face au monde d’après« ,  édité bien sur par JDH EDTIONS, et co-écrit avec des jeunes de la génération Z. J’y parle justement de ces dégâts prévisibles, mais surtout de la manière de s’en sortir! Car il ne faut JAMAIS se laisse abattre mais toujours se ré-inventer!

Je coproduis une émission TV, actuellement trimestrielle, dans laquelle j’invite des auteurs de la maison d’édition qui porte mes initiales. Une émission adossée au site « Les pros de l’éco », et à la collection de livres du même nom. La dernière a été diffusée hier en direct sur TV Finance et elle est désormais en ligne sur notre chaine Youtube. Vous la retrouverez ci-dessous. J’y parle évidemment du monde d’après! L’émission entière a été consacrée à ce sujet. Et d’ailleurs, deux auteures de la maison; dont Elsa Job pour ses gravissimes « bébés connectés« ; ainsi qu’un patron de PME, ont été mes invités.Une PME qui fabrique des drones. Et on sait combien les drones vont compter dans le monde d’après! Pour nous espionner? Pas seulement… Heureusement!

Et enfin, pour les amateurs de placements en bourse, un dossier confidentiel vendu par Francebourse, qui prolonge et applique le propos du livre sur un plan boursier :

www.francebourse.com/produits.fb

Voilà, après 6 mois, j’arrive au terme d’une réflexion complète, commencée au début du confinement, avec la brutalité que nous avons connue. Je n’ai pas de boule de cristal, je ne fais pas de prédiction mais de la prévision, en fonction des tendances économiques et sociologiques observables. Ainsi que des sondages d’opinion aussi.

A noter que la maison d’édition JDH EDITIONS a par ailleurs publié d’autres auteurs sur le sujet du monde d’après, mais aussi de la crise sanitaire qui donne désormais naissance au monde d’après :

Gilles Nuytens, avec « Le meurtre du bon sens« , un livre qui fait un beau démarrage commercial! Achetez-le avant une nouvelle rupture de stock!

Le Docteur Erbstein, avec « Je ne pouvais pas les laisser mourir » : un généraliste qui témoigne des soins qu’il a donné pour sauver des vies, en dépit des prescriptions officielles.

Un livre collectif de témoignages, auquel j’ai participé comme auteur : « Stupeur et confinements »

Un pamphlet collectif, paru en tout début de crise, juste avant le confinement : « Coronavirus, la dictature sanitaire »

Ces quatre livres ont été dirigés par mon directeur littéraire Yoann Laurent-Rouault.

Mais avant ça… avant tout ça… notre jeune prodige Thomas Andrieu, seulement 17 ans, avait déjà publié un livre sur le monde d’après! Avant la crise! C’était en janvier :

« 2021. Prémices de l’effondrement« .

Voilà! De quoi lire, penser, vous informer, vous donner le scoop! Nous sommes là pour ça! Et espérons l’être encore plus dans « le monde d’après »; un monde qui aura besoin d’une maison d’édition communautaire intégrant ses propres médias. Avec comme objectifs tous les objectifs littéraires d’une maison d’éditions, mais aussi et j’y tiens énormément, VOUS INFORMER! Ne pas laisser aux grands médias ce monopole! D’ailleurs j’annonce qu’en octobre sera publié un livre sur le port des masques! Voilà un scoop pour ce début de monde d’après!

Bonnes lectures!

Jean-David Haddad

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