Le Fond et la Forme par Charlotte Ollivier

Note de la réaction :

le texte illustrant  « Le Fond et la Forme », et le texte suivant, « Non la poésie n’est pas morte » sont à l’origine deux préface qui illustrent ces titres et qui furent commandées contre rémunération par un obscur auteur (se prétendant connu)  à notre jeune auteure Charlotte Ollivier.

Après les avoirs lues, l’odieux personnage préfèrera les dénigrer et surtout  ne pas réénumérer notre auteure, mademoiselle Ollivier. Chose pourtant promise.  Quitte à tenir des propos insultants et fondamentalement injustes pour se justifier de ce revirement de situation (nous avons en copie les messages, c’est édifiant.)

Ce monsieur (Ossomba) fait ici la démonstration malhonnête que tout auteur ne doit livrer son travail qu’une fois payé en intégralité de sa production et surtout doit savoir se protéger des annonces alléchantes financièrement parlant, concernant d’éventuelles aides rédactionnelles faites sur certains réseaux sociaux « dévoués ».

En  attendant, et hors de cette mésaventure, Charlotte Ollivier  a œuvré par deux fois sur des préfaces d’Atemporels pour JDH éditions et à plusieurs reprises sur ce support, et nous lui renouvelons tout notre respect pour son travail et notre confiance. Les textes ainsi publiés sont donc la preuve de leur appartenance à notre auteure Charlotte Ollivier, mails reçus en date  et parution faisant foi.

YLR

Préface

Les renseignements et compléments apportés par Charlotte ne sont pas insérés à cette publication, nous ne publions que les textes originaux.

Dans ce nouveau volet

Dénonce les faits

De l’homme en dette

Pour notre planète

De la violence débute

À atteindre des buts

Se fixe, bien décidé

À animer notre société

Aux prémices de notre monde

Déjà la terre inonde

De ses méfaits

Violence et guerre sont ses faits

Dominance originelle

Son opposé, la demoiselle

Tout à son service, contrainte, reste

Il lui réserve destin funeste

Des siècles de combat

Encore irrésolu débat

Condamnée, elle demeure

Observant sans cesse l’homme sous les honneurs

La planète enfumée

Par l’industrialisation naissante

Se consume et la société dansante

Fête sa victoire confirmée

Argent croît encore

Dans les mains des fortunés

Célébrant les efforts de leurs subordonnés

Qui de leur entreprise, servent de décor

En effet, en tête d’affiche

Les dirigeants sont les vedettes

Les familles sont nourries

Tout comme leurs projets sont accomplis

Les femmes au foyer

S’activent de plus belle

Pour permettre à leur mari de festoyer

La mine rebelle,

Sommeille déjà en elle,

Le dessein de rébellion.

En couchant leurs fistons,

Les idées fusent, toute une ribambelle

Enfermée dans leur corsets étriqués,

Difficile de respirer

Et leur robe empêche de se mouvoir facile

En ébullition, leurs pensées habiles

Ne tarderont pas à faire le tour du monde.

Dans chaque pays,

Les femmes dévergondent

Et souhaitent leur paie.

Les hommes œuvrent et gagnent.

Elles triment et perdent.

Ils obtiennent le succès escompté.

Elles échouent exemptées de la société.

Absence de justesse,

Intolérance et discrimination,

Colonialisme à forte raison

Pensant les conquêtes remplies de sagesse.

La défaite, un déshonneur.

Remporter la victoire, l’objectif premier.

Dans les ménages aussi, sa supériorité

Est démontrée et justifiée.

Nul part, les femmes ne sont admises.

L’opinion conquise, les alliés tendent à manquer.

Les écarts se creusent et la richesse

S’impose sans cesse.

Avec l’argent, le champ des possibles est immense.

Peu importe si les difficultés sont denses

Et que les concurrents autour dansent,

Les éliminer est une accoutumance.

Tout obstacle sur le passage

Est vaincu par certains sages

Qui donneront des explications sensées

Mettant ainsi en déroute la culpabilité.

La différence effraie, le racisme est compris

Et la servitude des esclaves

Est bien perçue, bon nombre sont conquis.

Dans l’humanité, une entrave,

Un héritage qui reste en mémoire,

Une marque laissée.

Les générations suivantes n’ont pas oublié

Et leurs peines sont à voir.

Encore de nos jours, le racisme perdure

Autrement, par des jugements tout aussi durs,

Des moqueries et des incompréhensions,

La tolérance comme rédemption.

Les femmes se déchaînent

Dénonçant leurs chaînes.

Difficilement écoutées, toutefois y parviennent.

Respect quoiqu’il advienne.

L’influence de la religion sur nos sociétés,

Si Dieu est amour, pourquoi tant d’hostilité,

De violence et de haine ?

Espérant la bienveillance, l’âme en peine.

Justifier ses actes par la croyance

Du Très-Haut, par des concepts

Et des principes qui trouvent des adeptes

Et même moyennant finance.

Se faire soudoyer pour tuer, à quoi ça rime ?

Tuer pour la trouvaille d’un trésor,

Assassiner pour la réception d’une prime,

Sacrifier pour de l’argent qui vaut de l’or.

L’appât du gain, le courage

De détrôner un adversaire

Faisant fi de sa future misère

Se pensant intelligent et sage.

La loi du plus fort.

Les faibles sont toujours opprimés.

Faute de moyens, oubliés.

Aux yeux brillent l’or.

Qu’importe que le monde hurle au-dehors,

Si les poches sont pleines de sous,

Les plus démunis hors du coup

Logent en dessous livrés à leur sort.

Tout est bon pour faire du profit.

Tout devient sujet à l’argent.

Les comptes vides, bloquée la vie,

Piégé dans le tourment.

Bercé par les illusions et les rêves,

La quête du bonheur n’a pas de trêve.

L’amour est gratuit

Et pourtant éconduit.

La bienveillance d’autrui

Fait du bruit

Que l’on peut entendre

À condition de tendre

Ses oreilles et d’écouter

Des mots au fond espérés.

On cherche compliqué.

Il suffit pourtant d’y répondre.

Multiplier les efforts de sentiments,

Assainir son esprit et faire preuve de résilience,

Éviter toute drogue et toute nuisance,

Ressentir les émotions du cœur promptement

Se rappeler combien le bonheur

Une fois qu’on en connaît le chemin

Est facile d’accès, y revenir le lendemain

Et les jours suivants et ceux d’après, sans heurts

Aimer, toujours aimer.

Seule la mort peut séparer.

Même dans l’Au-Delà, on peut y penser.

Dans les souvenirs, vivent toujours les êtres aimés.

Les oublier, c’est les voir partir.

Pour les garder, se souvenir.

Auprès de soi, ils sont là.

Dans les pensées et le cœur, ils sont là.

Dans cette société individualiste,

Dans cette ambiance narcissique,

L’amour mit de côté,

Le cœur se noircit et les sentiments oubliés

Font place à la négligence.

La solitude pèse mais devient habitude

Alors seul, on se bat pour exister même avec amertume,

On trouve sa place et sa redevance.

Changement et nouveauté

Peuvent révolutionner

Aux côtés de l’amour

Dans notre monde redessiné

Qui fera merveille, l’amour.

***

 

 

Préface

 

« Non, la poésie n’est pas morte ! »

Tout un public, elle remporte

Quoiqu’il en coûte, n’ayez doute !

La poésie est loin d’être en déroute !

 

Ici, telle en est la preuve,

Une série de poésies,

Votre cœur sera conquis.

Que l’auteur s’en émeuve !

 

Message politique, esprit critique,

Point par point, la société, il décortique,

Sa philosophie, il explique.

Tous les sujets épiques.

 

Un style unique,

Une idée de son génie

A travers des lignes aux parfaites métriques

Où tout son art est révélé uni.

 

La langue française retrouve de sa valeur.

Les mots sont réfléchis,

Ils ont du cœur.

Intelligent et honnête,

Tout un casse-tête.

 

Une réflexion du monde actuel,

Songes rebelles

D’un avenir qui bat de l’aile

Dans la mauvaise direction…

 

Jeux de mots

S’amusent de mieux à défaut.

Les mots ont du pouvoir,

De vérité le devoir.

 

Sincères et authentiques,

Bien ou mal, ils revendiquent.

Même en prose, ils s’imposent.

 

En toutes circonstances, osés,

A ne pas sous-estimer.

S’incliner et contre-argumenter.

Le silence en dit long, en aparté.

***