Biden a décidé de mettre le feu aux poudres !
Joe Biden a pris une décision audacieuse en autorisant l’Ukraine à utiliser des missiles américains à longue portée pour frapper des cibles en Russie.
Ce tournant stratégique dans la politique étrangère des États-Unis intervient alors que les forces russes intensifient leurs offensives.
Contexte de la décision
Et bien ceci est donc perçu comme une réponse directe avec les Nord-Coréens qui débarquent comme des touristes en goguette sur le sol russe, ça sent le roussi
L’objectif est clair : soutenir l’Ukraine dans la région de Koursk, où les combats s’intensifient.
Jusqu’ici, les Américains jouaient les mères poules avec leurs précieux ATACMS (Army Tactical Missile Systems), vous savez, ces missiles qui peuvent faire un strike à 300 bornes.
Ils avaient peur que ça fasse péter les plombs à Poutine.
Mais là, Biden a dû se dire « Allez, on lâche les fauves ! » Face aux Russes qui cognent comme des sourds, il fallait bien donner un coup de boost aux Ukrainiens.
Autoriser l’utilisation des missiles ATACMS par l’Ukraine, C’est comme si on donnait un lance-flammes à un pyromane dans une usine d’allumettes !
Réactions et conséquences
Et vous savez quoi ? Les Russes ne l’ont pas super bien pris. Quelle surprise, hein ?
La réaction du Kremlin a été immédiate et virulente, … plus vite qu’un trader cocaïné un lundi matin.
Ils accusent les États-Unis de foutre la merde et de jouer les gros bras dans leur conflit.
Peskov, le porte-flingue de Poutine, a sorti la formule classique du « jeter de l’huile sur le feu ». Comme si on avait besoin d’huile pour que ça brûle déjà !
Poutine et la doctrine nucléaire Russe
Poutine vient de faire signer un décret concernant l’utilisation de l’arme nucléaire .
La doctrine nucléaire russe entre en jeu dans le cadre d’une agression visant la Russie et ses alliés, lorsqu’elle provient d’une puissance non nucléaire mais soutenue par une puissance nucléaire.
C’est précisément le schéma que l’on observe dans le contexte actuel de l’Ukraine. Ainsi, la Russie se réserve le droit d’utiliser ses armes nucléaires en cas de « lancement massif » d’attaques aériennes, qu’il s’agisse d’avions, de missiles ou de drones, visant son territoire. Poutine a clairement indiqué que des renseignements fiables sur une attaque transfrontalière massive pourraient justifier une réponse nucléaire.
De plus, toute implication d’États nucléaires dans des agressions contre la Russie, même de manière indirecte, pourrait également entraîner une réaction nucléaire.
Bref, c’est l’ambiance d’une réunion de copropriété qui tourne mal, mais version internationale et avec des missiles.
Biden joue au poker avec des missiles, les Russes font la gueule, et les Ukrainiens se retrouvent avec un joujou qui fait boum à 300 km.
Les investisseurs et les paris
Les investisseurs actuellement plus nerveux qu’un chat dans une pièce pleine de berceuses, ils pourraient s’attendre à une volatilité accrue dans les secteurs liés à l’énergie et à la défense.
Une intensification du conflit pourrait perturber les chaînes d’approvisionnement et influencer les prix des matières premières, notamment le pétrole, en raison des sanctions potentielles contre la Russie et des craintes d’une guerre prolongée.
En effet, les secteurs de l’énergie et de la défense vont être plus secoués qu’un cocktail dans un shaker de James Bond.
Les boîtes de défense, elles, se frottent les mains comme des mouches devant un pot de miel.
Elles vont avoir plus de commandes qu’un resto de sushis un vendredi soir.
Et parlons un peu du pétrole, tiens ! Avec les sanctions qui pendent au nez de la Russie comme une épée de Damoclès, le prix du baril pourrait grimper plus vite qu’un singe dans un cocotier.
C’est le moment de sortir vos vélos, les copains !
Et n’oublions pas les valeurs refuges !
L’or, le yen et le franc suisse vont être plus demandés qu’un parapluie en plein déluge.
voir article sur l’or sur France Bourse : https://www.francebourse.com/fiche_news_159214.fb
Et les paris spéculatifs sur un risque de guerre nucléaire augmentent de 8% à 13% et à mon avis ce n’est que le début .
Conséquences économiques et géopolitiques
- Volatilité modérée : Bien que les tensions géopolitiques puissent entraîner des mouvements brusques sur les marchés financiers, les indices américains n’ont pas montré de fluctuations extrêmes après cette annonce. Cela suggère que les investisseurs anticipent une gestion prudente de la situation par les gouvernements occidentaux et ne prévoient pas une escalade immédiate du conflit. Les indices américains font comme si de rien n’était, plus stoïques que Bouddha en méditation.
- Secteurs spécifiques : Les secteurs liés à la défense et aux matières premières pourraient être plus touchés par cette décision. Les entreprises du secteur de la défense pourraient bénéficier d’une augmentation des commandes militaires, tandis que les prix du pétrole pourraient être influencés par des craintes de perturbations dans l’approvisionnement énergétique en cas d’escalade prolongée.
- Réactions globales : Les actifs refuges tels que l’or, le yen japonais ou le franc suisse pourraient connaître une demande accrue face à l’incertitude géopolitique. Cependant, ces mouvements n’ont pas encore eu un impact majeur sur les indices boursiers américains.
Pour l’instant, c’est comme si tout le monde regardait ailleurs. Les marchés font l’autruche, la tête dans le sable et le cul au vent.
Les investisseurs doivent avoir pris des calmants ou ils ont une confiance aveugle dans les gouvernements occidentaux.
Perso, je préfère parier sur les calmants.
Risques pour les civils en Russie
- Frappe de cibles militaires proches des zones civiles : Les missiles ATACMS sont conçus pour frapper des cibles militaires stratégiques comme des bases aériennes ou des dépôts de munitions. Toutefois, certaines installations peuvent se situer près de zones résidentielles, augmentant ainsi le risque de dommages collatéraux. Malgré leur précision, toute frappe dans une zone densément peuplée comporte un danger pour les civils. Ces pauvres gars risquent de se retrouver avec des missiles ATACMS comme voisins de palier. C’est comme avoir un pitbull enragé dans son jardin. Ça craint un max !
- Escalade du conflit : L’utilisation de ces missiles sur le sol russe pourrait inciter Moscou à intensifier ses frappes sur l’Ukraine, y compris sur des zones civiles. Cette dynamique pourrait également pousser la Russie à adopter une posture plus agressive vis-à-vis des civils ukrainiens et russes, augmentant ainsi le nombre de victimes dans les deux pays. Si Moscou décide de riposter, ça va être la foire d’empoigne. Les civils ukrainiens et russes vont se retrouver pris entre le marteau et l’enclume, comme des sardines dans une boîte qu’on secoue.
- Répercussions psychologiques et humanitaires : Les frappes en profondeur sur le territoire russe pourraient engendrer un climat de peur parmi la population civile russe, qui a jusqu’à présent été relativement épargnée par les combats directs. Cela pourrait provoquer des déplacements internes et accroître les tensions sociales au sein du pays.
Conclusion
En fin de compte, cette décision, c’est comme jouer au poker avec des allumettes dans une poudrière.
Les Américains viennent de donner à l’Ukraine un joujou pour taper plus loin en Russie que Mbappé ne shoote un ballon.
C’est comme si on donnait une batte de baseball à un gamin dans un magasin de porcelaine.
Ça va faire des vagues, et pas que dans la Volga !
Ça promet du spectacle, mais perso, je préfèrerais que tout ce monde se calme autour d’une bonne vodka, sinon ça risque de finir comme dans ROCKY 4 quand Ivan Drago dit à Apollo Creed : » Tu seras KO ! » On connaît la suite …
« PAKA PAKA ! »
James D. Touati aka. « Le Loup de Zurich »