
Un témoignage poignant, difficile, emprunt de courage. . Une plume incroyable pour décrire cette réalité.
Respect.
J’aime beaucoup la fluidité de votre écriture et le récit très rythmé et rapide, très « brut ».
J’y découvre une femme très touchante, par sa naïveté et son innocence, mais qui, privée de boussole intérieure, de sentiment de sa propre valeur, se laisse manipuler comme une poupée.
Vous réussissez à rendre ce Lionel touchant aussi, car on devine chez lui un grand désarroi.
Avis mitigé sur ce Vincent, qui ne m’aurait pas non plus complètement inspiré confiance, je dois dire.
Votre récit me renvoie à ma propre existence et aussi à un film vu samedi passé « Billie » (Billie Holiday) sur cette immense chanteuse née avec la mauvaise couleur de peau, qui se trouvait des hommes qui alimentaient son côté masochiste.
Bonjour Cendrine, j’ai fini votre livre, d’une traite hier soir, j’avais tellement envie de lire que vous étiez sortie de cet enfer. J’ai ressenti un profond dégoût – pas envers vous ou votre texte – face à ces perversions et qui résonnent en moi, face à ce que j’ai subi ou accepté moi-même de subir par le passé, convaincu que je ne valais rien.
J’ai découvert vos poèmes avec plaisir à la fin de l’ouvrage, des mots forts, de la combativité! Cela vous va bien !
Amicalement.
Loin d’être racoleur, ce livre vous immergera dans un témoignage bouleversant que la télévision elle-même ne renierait pas en prime time, pour un dossier sur le thème. Cendrillon a vécu ce qu’il peut arriver de pire à une femme. Elle a perdu la propriété de son corps et a prostitué son âme pour de l’amour.
Elle témoigne, raconte et chante.
Elle ne pleure pas.
Elle reste ce qu’elle est.
Cendrillon n’a pas de prétention.
Oui, elle chante, elle a des rimes et des poésies plein la tête, là où le commun des mortels coulerait à pic, Cendrillon survit.
À tout.
Comme à elle-même.
C’est un livre bouleversant, humain, sans excès de séductions, dingue, incroyable et pourtant, pourtant, l’histoire est vraie…
Je ne sais pas pourquoi, ce livre me fait autant penser à « La Môme » pour son climat et j’entends Piaf chanter au fil des mots, « Aux valseuses » pour ses portraits à la Blier, à « La dérobade » pour l’héroïne que Miou Miou interprétait à l’écran, à « L’herbe bleue » pour ce côté « cash » et plus proche de nous à « Jeune et jolie » pour la naïveté de Cendrillon et pour cette trame très contemporaine.