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Le monde d’après : ma marotte actuelle!

Je préfère parler de marotte et non d’obsession car c’est moins brutal! Mais c’est vrai que je réfléchis beaucoup au sujet depuis 6 mois!

Pour ceux ne me connaissant pas, enchanté! Je suis Jean-David Haddad, Professeur Agrégé de Sciences économiques et sociales, auteur depuis 20 ans, éditeur-fondateur de JDH Editions,  rédacteur en chef et aussi fondateur de deux médias économiques (Lesprosdeleco.com, le plus récent et Francebourse.com, le plus ancien, depuis 2001 s’il vous plait!).

Je fais le tour depuis 6 mois du monde d’après! Je n’y pense pas en me levant et me couchant mais je vous avoue que je me questionne. D’abord en tant que père. Et en tant que chef d’entreprise. Et aussi en tant qu’économiste, sociologue, etc. Ce monde d’après m’interpelle. Il ne m’effraye pas, mais je me dis que seuls ceux qui sauront s’y adapter y trouveront une place. Je crains qu’il ne fasse beaucoup de dégâts, et occasionne énormément de pauvreté! Et je ne veux pas être de ceux qui vont être laissés sur le bord de la route, ni ne veux que vous en soyez!

Durant le confinement, j’ai donc analysé, réfléchi, et j’ai écrit un livre « Face au monde d’après« ,  édité bien sur par JDH EDTIONS, et co-écrit avec des jeunes de la génération Z. J’y parle justement de ces dégâts prévisibles, mais surtout de la manière de s’en sortir! Car il ne faut JAMAIS se laisse abattre mais toujours se ré-inventer!

Je coproduis une émission TV, actuellement trimestrielle, dans laquelle j’invite des auteurs de la maison d’édition qui porte mes initiales. Une émission adossée au site « Les pros de l’éco », et à la collection de livres du même nom. La dernière a été diffusée hier en direct sur TV Finance et elle est désormais en ligne sur notre chaine Youtube. Vous la retrouverez ci-dessous. J’y parle évidemment du monde d’après! L’émission entière a été consacrée à ce sujet. Et d’ailleurs, deux auteures de la maison; dont Elsa Job pour ses gravissimes « bébés connectés« ; ainsi qu’un patron de PME, ont été mes invités.Une PME qui fabrique des drones. Et on sait combien les drones vont compter dans le monde d’après! Pour nous espionner? Pas seulement… Heureusement!

Et enfin, pour les amateurs de placements en bourse, un dossier confidentiel vendu par Francebourse, qui prolonge et applique le propos du livre sur un plan boursier :

www.francebourse.com/produits.fb

Voilà, après 6 mois, j’arrive au terme d’une réflexion complète, commencée au début du confinement, avec la brutalité que nous avons connue. Je n’ai pas de boule de cristal, je ne fais pas de prédiction mais de la prévision, en fonction des tendances économiques et sociologiques observables. Ainsi que des sondages d’opinion aussi.

A noter que la maison d’édition JDH EDITIONS a par ailleurs publié d’autres auteurs sur le sujet du monde d’après, mais aussi de la crise sanitaire qui donne désormais naissance au monde d’après :

Gilles Nuytens, avec « Le meurtre du bon sens« , un livre qui fait un beau démarrage commercial! Achetez-le avant une nouvelle rupture de stock!

Le Docteur Erbstein, avec « Je ne pouvais pas les laisser mourir » : un généraliste qui témoigne des soins qu’il a donné pour sauver des vies, en dépit des prescriptions officielles.

Un livre collectif de témoignages, auquel j’ai participé comme auteur : « Stupeur et confinements »

Un pamphlet collectif, paru en tout début de crise, juste avant le confinement : « Coronavirus, la dictature sanitaire »

Ces quatre livres ont été dirigés par mon directeur littéraire Yoann Laurent-Rouault.

Mais avant ça… avant tout ça… notre jeune prodige Thomas Andrieu, seulement 17 ans, avait déjà publié un livre sur le monde d’après! Avant la crise! C’était en janvier :

« 2021. Prémices de l’effondrement« .

Voilà! De quoi lire, penser, vous informer, vous donner le scoop! Nous sommes là pour ça! Et espérons l’être encore plus dans « le monde d’après »; un monde qui aura besoin d’une maison d’édition communautaire intégrant ses propres médias. Avec comme objectifs tous les objectifs littéraires d’une maison d’éditions, mais aussi et j’y tiens énormément, VOUS INFORMER! Ne pas laisser aux grands médias ce monopole! D’ailleurs j’annonce qu’en octobre sera publié un livre sur le port des masques! Voilà un scoop pour ce début de monde d’après!

Bonnes lectures!

Jean-David Haddad

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Collection uppercut collection qui dénonce

La collection uppercut réveille le pamphlet littéraire. Elle donne de la voix, dénonce et exprime ce que des milliers d’entre nous pensent sans pouvoir le dire.

*Cliquez sur les titres pour accéder au livre*

Le dernier à paraître était « Bébés connecté : enfance massacrée » d’Elsa Job-Pigeard
Jouer. Penser. Parler. Trois mots qui n’ont rien d’extraordinaire. Pourtant, quand nos enfants sont prisonniers du virtuel, quand la machine décide pour l’homme, quand la parentalité évolue sur circuit imprimé, ces mots perdent leurs sens. Enfance massacrée, c’est-à-dire sacrifiée aux profits de pollueurs du genre, offerte à des besoins absconses, à des parents embrigadés et abusés. Des spécialistes de l’enfance, affolés par ce cirque numérique, par ces applications qui décident pour vous des besoins de votre progéniture, réagissent. L’auteure de ce pamphlet lance l’alerte sur cette enfance saccagée, parce que connectée. Elle écrit parce qu’on ne l’entend pas, parce que l’orthophonie devient cacophonie et que depuis son cabinet elle voit le drame s’amplifier. Ses ennemis : la perte de sens, la perte de l’humain, la corruption du lien parent enfant.
Ses valeurs : la transmission, la réflexion, la force des mots, le libre arbitre.

 

« La liberté assassinée » de Thomas Andrieu
Un jeune de 17 ans ose ! Statistiques et faits à l’appui, il fait le procès d’un système à bout. Un système tueur de libertés. Paris, ville lumière, s’éteint car c’est tout l’esprit des lumières qui vacille. Écologisme forcené, contrôle des populations, délits d’opinion, etc. La multiplication des lois liberticides grignote nos libertés fondamentales conférés par un État de droit, et bride le citoyen dans sa manière d’agir, d’entreprendre, et bientôt de penser…
Un court pamphlet qui fera longtemps réfléchir, et va à contre-courant des idées exprimées par des jeunes embrigadés dans le moule de la pensée unique.

 

Ainsi que les deux pamphlet sur le Coronavirus avec « Je ne pouvais pas les laisser mourir ! » du célèbre médecin Jean-Jacques Erbstein
Coronavirus.
Un médecin parle. Un médecin raconte. Un médecin dénonce.
Dans un récit aux tons pamphlétaires, le docteur Erbstein lève l’omerta médicale. Il raconte comment, en très peu de temps, les cabinets médicaux de province, ceux-là même qui sont oubliés de notre administration centrale, sont devenus des champs de bataille, des lieux de souffrance où il a fallu se battre avec abnéga­tion, presque à mains nues. Un virus sous-estimé au départ, devenu en une fraction de seconde la pandémie du siècle, face à laquelle il aura fallu confiner comme au Moyen Âge, à défaut de pouvoir offrir aux médecins les moyens de soigner.
La faillite de l’État-providence et du soi-disant meilleur système de santé au monde, est révélée au grand jour, à travers ce cri du cœur d’un praticien qui a livré une bataille sur le terrain, pour sauver des vies, au péril de la sienne. Un texte fort, puissant, inoubliable.

 

« Coronavirus, la dictature sanitaire » un livre écrit à huit mains.
Il y en a qui trouvent que face à ce virus maudit appelé Corona, les états n’en font pas assez.
D’autres trouvent qu’ils en font trop.
Il y en a qui en veulent toujours plus des états, quitte à être bridés, contrôlés, infantilisés…
D’autres qui veulent plus de liberté, de responsabilité, de bon sens et qu’on cesse de les prendre pour des enfants, voire pour des imbéciles.
Et ceux-là, s’ils entendent bien mugir dans la campagne sanitaire ce féroce virus qui vient jusque dans nos villes pour fermer nos écoles et affoler nos familles, n’en pensent pas moins des dérives politiques et gouvernementales qui s’appliquent à nos pays.
Ce sont ces derniers qui décident de prendre la parole, à travers 4 textes, 4 courts pamphlets qui très certainement ne laisseront pas les lecteurs insensibles.

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COVID 19 : toujours présent mais en baisse… Nos livres en hausse…

Les derniers chiffres relatifs à la pandémie de COVID 19 en France montrent que le virus est toujours présent, bien que toujours en baisse. Le nombre de morts officiel approche les 30.000 dont les deux tiers à l’hôpital et un tiers dans les établissements médico-sociaux dont EPHAD.
Le nombre de personnes en réanimation continue de baisser, approchant désormais les 500 contre plus de 7000 début avril, au pic de l’épidémie.
Le nombre de personnes hospitalisées est en baisse lui aussi, à 7600 environ.
Les derniers chiffres font état d’une surmortalité chez les immigrés (personnes nées dans d’autres pays), probablement en raison de conditions de vie et de travail défavorisées.

Pour notre part, nos livres relatifs au COVID 19 sont en hausse, et ce n’est pas fini, car on n’a pas fini d’en parler, ni de ses conséquences…
Et JDH EDITIONS se voulant une maison d’édition dont la ligne première est relative aux sujets économiques, de société, d’actualité… il est évident que nous sommes submergés de propositions de textes. Face à quoi nous opérons une importante sélection.

A notre catalogue sur le sujet, à ce jour :

Face au monde d’après de Jean-David Haddad, économiste, sociologue, prospectiviste… Et fondateur de JDH Éditions

Je ne pouvais pas les laisser mourir, du Docteur Jean-Jacques Erbstein, qui relate son combat pour sauver des vies en dépit des consignes de ses pairs et du Gouvernement.

Stupeur et confinements, livre collectif de récits et témoignages forts relatifs au confinement.

Coronavirus, la dictature sanitaire, pamphlet collectif écrit au début de la crise

Peu d’éditeurs se montrent aussi réactifs sur le sujet!

JDH EDITIONS

 

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Article du SAHEL TRIBUNE pour Otage au Mali

Bonjour,

 

Cet article d’un site Malien est très important pour moi. Il indique que mon roman s’appuie sur des faits récents, réels et crédibles.

Alors découvrez le. Ouvrons-nous sur le monde.

 

Article du : Sahel Tribune

Sahel Tribune est un site indépendant d’informations, d’analyses et d’enquêtes, au Mali, sur les actualités brûlantes du Sahel.

Rubrique : Art et Culture.

Date:

1 mai 2022

 

Dans son livre « Otage au Mali », préfacé par l’écrivain malien Fousseni Togola, Alain Maufinet nous raconte le parcours malheureux d’un touriste français dans le centre du Mali. Avec l’histoire de cet amoureux du désert, l’ouvrage dépeint de manière lucide la terreur que sèment les groupes armés dans le Sahel. Livre.

Ronan, personnage principal du roman, décide de se rendre en Afrique subsaharienne. Durant son parcours, à la « découverte d’un monde nouveau », son séjour au Mali tournera au cauchemar. A peine avoir foulé le pied sur le sol malien, l’aventurier se rend au centre du pays, notamment à Sévaré (Mopti), où il sera victime d’un enlèvement de la part d’un groupe armé. Ainsi commence le calvaire de notre aventurier.

Ancien opticien français, Ronan avait été rejeté par les siens et dépourvu de la majeure partie de ses biens. Ne sachant plus à quel saint se vouer, il entreprend la recherche d’un « bonheur perdu » avant d’être la cible d’un groupe armé. Pendant qu’il était otage, l’homme ne manquait pas de s’immerger dans ses souvenirs lointains, minés d’échecs amoureux. Il était loin d’imaginer, pendant ce temps qui fait partie des archives de son histoire, se retrouver dans les filets d’un groupe armé. Cependant, la descente d’un avion « Boeing » aura un tournant décisif sur son sort. Un avion, semble-t-il, dont le contenu était de la drogue a été détourné de sa direction pour finir sa course dans le désert. N’étant pas en point de reprendre son envol, la machine finit par s’exploser. Ainsi commence une autre réalité pour notre touriste : l’évasion.

Palme des narcotrafiquants

Alain Maufinet, nouvelliste et romancier qui a fait une longue carrière dans l’armée française, met en lumière les pratiques des groupes armés dans le désert. Entre enlèvement et trafic de drogue, ce retraité de l’armée française expose les dangers qui planent au-dessus de cette zone. Le séjour macabre de Ronan dans cet environnement en dit long sur le sort réservé aux otages dans le désert malien. La descente du boeing dont le contenu était essentiellement de la drogue prouve à quel point le désert est la palme des narcotrafiquants.

Heureusement pour notre héros, l’apparition d’une « fantôme » déguisé en bouclier protecteur lui servira de bouée de sauvetage. Cette main amie, c’est Yasmine. Yasmine est, elle aussi, une ex-otage qui sera aux trousses de Ronan pour le tirer hors de danger. Après l’échec d’une première évasion, la seconde sera la bonne pour nos deux fugitifs. Malgré les multiples dangers qu’ils rencontreront sur la route, leur course finira par se terminer dans un pays voisin, la Mauritanie. Après être recherché par les bandes armées, Ronan appelé « le Français » était également recherché par la police du Mali pour mettre la lumière sur cette affaire de drogue. Heureusement pour lui, son visage était méconnu. L’inquiétude était à son comble et Yasmine ne le lâcha pas jusqu’à ce qu’ils soient, tous les deux, hors de danger.

Un livre qui interpelle

« Otage au Mali » est un ouvrage qui tire la sonnette d’alarme sur les événements qui se déroulent actuellement dans le Sahel. En effet, depuis 2012, le Mali connait une crise multiforme. Cette crise s’étend, au fil des années, dans la sous-région.

A travers cet ouvrage, l’auteur tente de dépeindre, d’une manière propre à lui, quelques aspects liés à l’activisme de ces groupes armés. Il informe sur les mauvaises pratiques de ces groupes dans le désert : le trafic de drogue, qui est un véritable moyen pour leur assurer une autonomie financière, mais aussi la prise fréquente des otages dont la libération est conditionnée au paiement des rançons, de la fortune pour eux. Ils ne manquent de quoi leur permettant de pérenniser leurs pratiques maffieuses.

IB Togola

 

 

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La présidence ou la prise d’otage permanente.

La présidence ou la prise d’otage permanente.

Comme prédit dans mon précédent article de dimanche dernier, les nouvelles mesures dictatoriales et fallacieuses sont tombées :

Jacques a dit : vaccin.

Si pas de vaccin, Jacques a dit : pass sanitaire.

Si pas de pass sanitaire Jacques a dit : pas le droit à l’hôpital.

Pas le droit au train.

Pas le droit de faire des courses, pas le droit au cinéma, vous restez chez vous.

Point finale et vive la république et vive la France.

Je suis tellement en colère que je peine à trouver mes mots devant cette nouvelle prise d’otage à l’échelle nationale. Je suis tellement horrifié par cette dictature, et qu’on ne me dise pas que ce n’en est pas une, que j’ai envie de renverser ces tyrans, ces incapables qui ne savent même pas si leur saloperie de mixture en seringue est valable ou non et si les conséquences de cette alchimie de carnaval ne s’avéreront pas plus terribles que le virus lui-même. « Vous perdez de l’immunité, on vous fera une troisième dose. » Quelle blague !

Voilà presque cinq années, tous domaines confondus, que l’on subit des décisions politiques qui ont conduit le pays à l’émeute et à la faillite.

Pourquoi des soignants, c’est-à-dire des gens mille fois plus exposés que vous et moi, ne veulent pas se faire vacciner ?

Il y a quand même une raison!

Pourquoi des médecins et chirurgiens de mon entourage proche me déconseillent de me faire vacciner pour l’instant?

Pourquoi tous les vaccins en circulation jusqu’ici, ont été testés sur des décennies avant d’être rendus obligatoires ?

Pourquoi, en tant que citoyen, avec le droit de disposer de ma personne et bénéficiant du secret médical je dois me plier aux exigences de ce groupe de politiciens qui seront probablement mis à la porte d’ici quelques mois ?

L’un d’entre eux serait-il ma mère ?

Et pourquoi ai-je le sentiment qu’ils ne partiront pas d’eux-mêmes ?

Ce gouvernement est en place à la suite d’une prise d’otage de l’électorat français, c’était lui ou l’extrémisme. Et depuis presque 5 ans, il continue sur le même tempo. Quand y aura-t-il donc une réaction d’opposition efficace à cette situation de plus en plus intenable ?

YLR.

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Lundi, 20 heures.

Lundi, 20 heures.

Demain, c’est lundi et demain il y a encore une allocution de celui que je ne voudrais plus entendre. Mais, ce fonctionnaire zélé aime cet exercice et la mise en scène qui va avec. J’ai l’impression que c’est presque le résultat d’une vocation ratée. Le résultat d’une mauvaise orientation au collège. Aimer dire la messe à ce point… vous avouerez que c’est louche ! Heureusement que les travaux de Notre-Dame sont à la ramasse, sinon, on  y aurait eu droit depuis la nef, et en direct,  à notre sermon pour gaulois réfractaires, c’est certain.

Pendant, avant et après les vacances, il n’aura donc de cesse de m’importuner. Pas de repos. De nuit comme de jour, le dimanche et les jours fériés, il est au taquet le p’tit gars ! Je dis « p’tit gars », car quand je pense à lui, je ne sais pas pourquoi, je le vois en short et haut de costume marin et affublé d’une énorme sucette plate version Charlie et la chocolaterie. La différence entre un politique et un emmerdeur, c’est que de temps en temps l’emmerdeur se repose.

Mais que nous réserve cet émule du « Jacques a dit », demain à 20 heures ?

Le vaccin obligatoire pour les soignants, c’est certain, mais aussi pour toute une catégorie de la population ?

Pour les touts petits et les touts vieux ?

Pour les filles-mères et pour les handicapés ?

Pour le personnel des transports publics et pour les moniteurs de colonies de vacances ?

Pour les acteurs de théâtre et pour les sauveteurs en mer ?

Pour les pangolins et les lapins de garennes?

Le passe sanitaire, autrement dit « l’ausweis » de la dictature sanitaire, sera-t-il enfin obligatoire pour aller au restaurant, sur les terrasses de cafés, aux fraises et au casino ? Enfin obligatoire, car encore une fois, c’est une minorité qui fait que le plus grand nombre souffre. Et cette minorité hypocondriaque c’est son électorat au Titus !

Plus de la moitié des boîtes de nuit qui pouvaient rouvrir le 9 juillet sont restées fermées. Pourquoi ? Parce que les consignes dictatoriales sont impossibles à appliquer dans la plupart des cas… Restez chez vous et pensez comme votre gouvernement, braves gens. À vingt  heures, un suppositoire et au lit !

Foin des pistes de danses, on a vu ce que le Rap, le musette, le tango et le Disco ont fait comme dommages dans notre société !

Je souris finement à ce que les politiques qui les remplaceront, nos docteurs Mabuse et Associés, révéleront comme scandales financiers (et pharmaceutiques), comme outrages à la constitution, comme détournements de fonds (pour colmater les trous), comme délits d’initiés (en attendant une inflation massive), comme emplois fictifs ( rapports et études sociales et sanitaires de la belle fille ou du beau frère d’untel facturés à la Fillon) et comme scandales sanitaires (vaccins inopérants ou dangereux).

Une pensée sincère à ceux qui avaient besoin de soins pour des pathologies graves et qui ne les ont pas eus. Une autre pensée sincère pour les soignants qui se sont vus contraints de trafiquer à longueur de semaine les chiffres de la pandémie et qui ont été pris en otages par des politiciens sans scrupules. Une autre pensée, pour ceux qui ont vingt ans aujourd’hui et à qui on vole la jeunesse et le second été consécutif.

Mais tout ça, ce n’est pas suffisant pour nos docteurs Knock de service. Alors, lundi, il faudra bien trouver une autre mesure bien emmerdante, un truc qui rappelle que même s’il n’est plus que le chef d’une minorité de petites gens aux petites idées, il reste le chef quand même…alors je m’attends au pire… la voiture et l’écologie sont les pistes les plus probables… un endettement automobile massif des ménages français pour des véhicules « propres », des restrictions  et des obligations pour les chômeurs, des anciens au minimum vieillesse par paquets de milles, plus de pouvoirs aux miliciens, des camps de reconditionnement pour les mecs qui pensent comme moi ?

Mais l’accroche, comme dirait Plastic Bertrand, sera le fameux variant Delta.

À suivre…

YLR

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Oui… Nous sommes des procureurs – III

Sauver des vies ? Vraiment ?
« 
Dans les pays développés, l’obsession de la santé parfaite est devenue un facteur pathogène prédominant. Le système médical, dans un monde imprégné de l’idéal instrumental de la science, crée sans cesse de nouveaux besoins de soins. Mais plus grande est l’offre de santé, plus les gens répondent qu’ils ont des problèmes, des besoins, des maladies. Chacun exige que le progrès mette fin aux souffrances du corps,maintienne le plus longtemps possible la fraîcheur de la jeunesse, et prolonge la vie à l’infini. Ni vieillesse, ni douleur, ni mort. Oubliant ainsi qu’un tel dégoût de l’art de souffrir est la négation même de la condition humaine. » écrivait dans les années 70, Ivan Illich, l’auteur de Némésis Médicale, l’expropriation de la santé.

Optimiser la vie à n’importe quel prix, telle est la liturgie sanitaire industrielle actuelle, qui est au beau fixe depuis le début du vingtième siècle. Cela a commencé avec une révolution médicamenteuse, celle de l’aspirine découverte en 1897 par le laboratoire Bayer. Au printemps 1918, la grippe espagnole leur ouvrit un marché très porteur. Pratiquement le monde entier. Des millions de malades, des millions de morts suite aux complications engendrées, entre autres, par l’impact toxicologique d’un surdosage d’aspirine.1

Conjointement, l’autre révolution fut agricole. A la fin de la Première Guerre Mondiale, les sols se retrouvèrent gavés de nitrates, ceux contenus dans les bombes, les obus et les munitions. Très vite, on remarqua que partout, ça repoussait grand, dru et fort ! Ce qui n’échappa pas à l’industrie chimique. Ni une, ni deux, elle recycla la mort et le sang. Finis les échanges qui se faisaient naturellement et spontanément entre ciel et terre. Augmenter rapidement le rendement fut l’innovation d’une révolution verte heureuse. Et pouf, un shoot d’azote, le LSD des céréales. Dans la foulée, on refit une beauté esthétique et génétique aux blés afin de les raccourcir, histoire que le nitrate leur entre mieux dans la peau, surtout dans les tiges secondaires. C’est ainsi qu’après avoir flingué les êtres humains, le nitrate fit des céréales, notamment du blé, des mutants allaités aux désherbants, aux fongicides et aux insecticides, capables de pousser à l’identique sur n’importe quel terrain, et donc d’être maintenus en santé artificielle en suivant le même patron chimique !

Rapidement, on suivit ce schéma pour les humains. Le malade y perdit son particularisme, le médicament devint une panacée à spectre large. Les antibiotiques en sont la parfaite illustration. Les années 50 marquèrent l’émergence des premières multinationales pharmaceutiques. Le médicament est alors devenu un produit de consommation courante dont l’usage s’est peu à peu banalisé, tandis que nous nous transformions en produits mercantiles et en cobayes consentants.

Oui je sais, ça fait chier.

Si la Terre a ses Attila Monsanto, nous avons les Big Pharma et ses holocaustes chimiques.
Sur l’une, la disparition de tous les minuscules êtres vivants dans l’humus, des insectes, butineurs ou non, des papillons jusqu’aux oiseaux, tout un petit monde qui vivait en symbiose et assurait des fonctions de pollinisation, de dispersion des semences, de recyclage de la matière organique et participait à la chaîne alimentaire des uns et des autres, a laissé le champ libre aux nuisibles et à un sol mort. Plus d’insectes, plus de coquelicots, plus de bleuets, plus d’oiseaux. Printemps muets, étés funèbres. Grenouilles, hérissons, vers de terre qui tirent silencieusement leur révérence. L’eau, toutes les rivières sont polluées, toutes les mers sont polluées, le moindre ruisseau… La pluie est polluée. Même la lune ! Là où on s’installe, on dépose notre caca, nos poubelles pour l’éternité.
The show must go on ! 

Dans l’autre, dans nos organismes : pesticides, insecticides, engrais, métaux lourds, hydrocarbures, déchets industriels, plastiques et autres polluants mutagènes, cancérigènes, reprotoxiques, plus ou moins dégradables, nutriments artificiels que nous retrouvons dans l’eau que nous buvons, l’air que nous respirons, les aliments que nous mangeons, substances qui niquent sournoisement notre écosystème et auxquelles, il nous faut ajouter les multiples iatrogénies médicamenteuses, parfois mutagènes, tératogènes, cancérigènes, et également perturbateurs endocriniens. Une liste non exhaustive et actualisée sans cesse de substances étrangères à notre écosystème qui ne sait pas les identifier et doit les décrypter élément par élément pour les assimiler. Certaines d’ailleurs ne s’éliminent jamais. Nous avons aussi nos déchetteries, notamment pour les métaux lourds, qui se stockent dans des organes pour lesquels ils éprouvent une affinité ou tropisme, à tel point que même nos cadavres ne se décomposent plus ou mal. C’est dire si l’on est des vivants momifiés !

Au début, notre organisme, tout frais tout beau, lutte vaillamment contre ces envahisseurs, avant d’abandonner au fil des ans la gestion de notre milieu intérieur aux maladies chroniques, dégénératives et auto-immunes. Notre système immunitaire se déglingue, s’essouffle. Notre start-up nation interne est hors service. Comment s’étonner alors qu’un virus, celui-ci ou un autre, nous colonise sans rencontrer de résistance ? Open bar pour tous les microbes. Passés, présents et à venir.

Dans nos sociétés civilisées, où du sans domicile fixe au président, quel qu’il soit, tout doit passer par le pognon et se monétiser. Tout ce que nous jugeons impropre à la consommation mentale qui nous formate. tout ce qui est susceptible d’arrêter notre course, on ne sait même plus ni vers quoi, ni vers où, nous flanque la frousse. Au moindre bobo, on se précipite sur un anti-machin. Du berceau à notre dernier souffle. Ainsi celles et ceux, jeunes ou non, qui souffrent de maladies chroniques ou dégénératives, se shootent-elles quotidiennement et plusieurs fois par jour avec un nombre impressionnant de médocs, et ce des années durant. Pratique consumériste qui a été volontairement institutionnalisée par les Big Pharma et ses actionnaires, en collaboration avec l’OMS et les politiques dont elles financent les campagnes, les chefs de gouvernement et les médias dont elles achètent la complaisance, les chercheurs dont elles assurent les recherches. « Les compagnies pharmaceutiques sont plus intéressées par votre porte-monnaie que par votre guérison. C’est pourquoi les recherches sont soudainement détournées vers la découverte de médicaments qui ne guérissent pas, mais qui rendent les maladies chroniques, ce qui apporte une amélioration aux malades mais qui disparaît lorsqu’ils arrêtent de prendre le médicament. », a jugé le biochimiste britannique, prix Nobel de médecine, Richard John Robert.

Véritable police de la pensée comme on peut le constater en ces temps covidiens, les Big Pharm prospèrent tandis que nos organismes peu à peu perdent leur identité pour revêtir celle de tel ou tel médicament. Tu crois t’appeler Cécile ou Paul. En fait, ton sang, tes liquides organiques, jusqu’à ta pensée, s’appellent Ibuprofen, corticoïde, antidouleurs, antidépresseurs, antibiotiques ou anti-rhumatismaux, à l’instar de la terre cultivable qui se nomme désormais glyphosate. Les personnes âgées meurent de la Covid parce que leur caisse de retraite « système immunitaire » n’a plus de fonds disponibles. Par usure et par surcharge. Les vacciner contre la Covid a surtout pour vertu de chambouler leur équilibre instable et de donner bonne conscience aux « pères la vertu » politico-scientifico-médicaux.

Booster son immunité n’est pas seulement une affaire de vitamines D et C, ni même d’une alimentation saine. Ou alors comment expliquer qu’en novembre 2020, l’Afrique, ce continent de plus d’un milliard deux cent millions d’habitants déplore moins de morts en huit mois que la France qui n’en compte que soixante sept, alors même que la densité de la population urbaine africaine est très importante et que pour la plupart, la misère est leur pain quotidien ? Le soleil ? La vitamine D ? Les gestes barrières ? Les tests ? La génétique ? Immunité locale pré-existante ? On ne sait pas. Mais peut-être le secret vient-il du fait que l’Africain n’a jamais cessé de côtoyer la mort et que l’Européen, lui, redécouvre son visage.

Le système immunitaire ne se résume pas uniquement à ses milliards de cellules, globules blancs, leucocytes et lymphocytes, à ses protéines uniques ou anticorps, et aux produits chimiques qui transmettent sa réponse, ni aux organes chargés de le renouveler et d’orchestrer cet ensemble. Il n’est pas seulement mécanique, mais aussi spirituel. Il ne fonctionne plein gaz que lorsque le physique s’allie au psychique et que le désir d’Etre prend le dessus. Dans nos sociétés où l’on peut tout avoir ou presque, où le Paraître a pris le pas sur l’Être, où les médicaments font office d’appeaux et annihilent chez la plupart, la volonté de s’en sortir en comprenant le pourquoi de leur maladie, le système immunitaire s’étiole silencieusement et devient sourd au dialogue entre le Soi et le Non Soi. Se sentir bien dans ses baskets, c’est le Soi. Le contraire, être exilé de soi-même, correspond au Non Soi. Le système immunitaire cherche alors à s’en débarrasser. Qu’il s’agisse de microbes bien réels ou de parasites psychiques beaucoup plus subtils. En terme de philologie, il a un lien intime avec le manque. Quand on désire très fortement quelque chose, par exemple trouver à manger pour survivre, il se renforce. Répondre à chacune des envies d’un gamin, le protéger excessivement du froid, de la misère, de la peine, de la mort d’une personnes aimée, le gaver d’antibiotiques au premier symptôme bénin, c’est ouvrir la porte à un individu faible physiquement et psychiquement.

C’est parce que l’on se confronte à la réalité de la vie, dans sa dualité, dans tout ce qu’elle est, dans tous ses contrastes et ses contradictions, et à la mort qui la conclut, qu’il est performant. C’est un véritable athlète et il faut l’entretenir. Quand on a le ventre sur les genoux, on court moins vite ! Malheureusement, nous sommes de moins en moins capables d’intégrer et d’assumer la douleur. Nous sommes de moins en moins capables d’intégrer le silence, la soif, la faim, nos émotions. Pire encore, nous sommes de moins en moins capables d’intégrer la mort. Les Requiescat in pace virtuels et médiatiques ont remplacé les rites qui l’accompagnaient. On ne meurt plus, on part. Elle est devenue contre nature. C’est la mort blanche. Sans existence. On ne sait plus comment y faire face. Les gens ne sont plus célébrés dans leur vie. Pourquoi le seraient-ils quand ils meurent ? Au nom du Covid, on leur colle des ultimes gestes barrière. Jusqu’à l’interdiction de contempler celui ou celle – père, mère, grands parents -, qui en meurt ! S’éteindre au milieu de siens, ne pas être entubé de partout, au propre comme au figuré ? Le paradigme médico-scientifique aujourd’hui nous le refuse. Dernier shoot de gel hydroalcoolique ! La vie, nos vies, leurs dépouilles et leur avenir, reposent désormais dans des catafalques covidiens et vaccinaux, modélisés eux aussi.
Oui je sais, ça fait sacrément chier.

Sauver des vies ? Vraiment ?

Ce même paradigme refuse aussi obstinément la possibilité de tout traitement préventif et thérapeutique allopathique. Et je ne parle même pas de ceux proposés par les médecines dites alternatives. Là, ses laquais se gargarisent de rires méprisants, en toute ignorance de cause ! Ils poussent l’obstination à une telle extrême, qu’ils n’en recherchent aucun, tant ce qui n’émane pas de leur caboche est jugé comme une insulte à leur savoir éclairé et une hérésie complotiste face à la seule bible qu’il brandisse comme parole d’évangile : le vaccin. Toujours en rappel, évidemment, pour « sortir définitivement de la crise » et voir enfin la « fin du tunnel ». Exit donc l’hydroxychloroquine, l’ivermectine, la colchicine, la chlorpromazine, et combien d’autres, tous cloués au pilori de l’obligation prouvée et approuvée d’études cliniques officielles qui pour être crédibles, exigent l’aval officieux des Big Pharma et la bénédiction de l’OMS qui, prudente jusqu’au boutisme, proclame : « À ce jour, aucun médicament n’est recommandé pour prévenir ou traiter le coronavirus. Des traitements spécifiques sont à l’étude et seront testés par des essais cliniques. » Cela n’a pas empêché cette docte organisation de promouvoir l’inefficace Remdesivir au prix exorbitant. Conçues pour temporiser, et non guérir, des pathologies différentes, se pourrait-il que ces molécules, toutes classées sous X, modifient le pH cellulaire, rendant la vie impossible au Covid, puisqu’il a été démontré que l’acidose favorise l’infection2 ? La multiplicité des opinions, inclus et surtout dans la recherche, a eu pour corollaire de renvoyer le Primum non nocere, formule que l’on prête à Hippocrate dans son Traité des épidémies, à une billevesée de doux rêveur.

Artefacts de la manipulation, de la peur et des contrevérités… Toute dissidence est violemment excommuniée par le Conseil de l’Ordre de sinistre mémoire pétainiste et par la doxa de la bien-pensance scientifico-médiatique qui codifient les diktats invraisemblables d’une dictature sanitaire perverse, nous déroulant le tapis monstrueux d’une pandémie durable et renouvelable. On a presque envie de l’assimiler à une promotion écolo ! L’art de guérir est désormais un art obsolète. Interdiction de prescrire, interdiction de prévenir. Range ton stétho, ferme ta gueule et obéis. Place au doliprane et à la consultation sans contact. En Occident, complètement sous l’emprise du diagnostic technologique qui autopsie le vivant sous tous les angles et en quatre dimensions, la quantité d’examens a remplacé la qualité et l’écoute bienveillante du médecin clinicien. Le savoir, l’expérience, le dialogue avec le patient, l’observation, la déduction, l’intuition, on s’en tape. Privés de cet art relationnel, fondé aussi sur un savoir-être, bien des médecins sont actuellement sacrifiés sur l’autel d’une médecine purgative et technocrate. Médecine déshumanisée que je refuse. Médecins qui prescrivent comme des agents techniques de la santé. Mais sans doute, ne suis-plus en osmose avec mon époque.
Oui je sais ça fait chier.

© Mélanie Talcott –17/02/2021
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Notes

1. – Les méfaits de l’aspirine durant la grippe espagnole de 1918 : Salicylates and Pandemic Influenza Mortality, 1918–1919 Pharmacology, Pathology, and Historic Evidence // Salicylates Cause Immediate Lung Toxicity and May Predispose to Bacterial Infection by Increasing Lung Fluid and Protein Levels and Impairing Mucociliary Clearance  – Voir aussi : https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/medecine-aspirine-peut-etre-aggrave-pandemie-grippe-1918-20678/

2. – Acidose et Covid 19  – Acidosis increases ACE2 expression and SARS-CoV-2 infection

Covid et boues d’épandange – pH

Procureur I

https://jdheditions.fr/revues/oui-nous-sommes-des-procureurs-par-melanie-talcott/

Procureur II –

https://jdheditions.fr/revues/oui-nous-sommes-des-procureurs-partie-ii-melanie-talcott/

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« Face au monde d’après » : extraits dévoilés

Voici des extraits dévoilés de l’essai de Jean-David Haddad, « Face au monde d’après« .

ECONOMIE INTERNATIONALE
« De nombreuses entreprises françaises, en raison de coûts de main d’œuvre très élevés en France, ont délocalisé leur production en Chine, et en particulier à Wuhan. Cela a par exemple posé un véritable problème au niveau de l’approvisionnement en masques de protection. C’est le cas, citons-le, de la PME française Delta Plus Group qui fabrique de nombreux équipements de protection… dont des masques. Une partie du retard de la France en termes de disponibilité des masques au printemps 2020 s’est expliquée par le fait que la production soit localisée en Chine.
Le problème des masques de protection restera gravé comme un des principaux problèmes rencontrés par la France face à la pandémie. Et la mondialisation a été montrée du doigt… comble du cynisme politique (ou pas ?), par un Président de la République pro-mondialisation !
«

« Cependant, la relocalisation de la production, l’affirmation des souverainetés nationales, seront une sorte de trompe-l’œil, un mirage souverainiste, car la mondialisation des discours, des idées, et des doctrines, va quant à elle se poursuivre par le biais d’institutions supranationales craintes et respectées comme le FMI ou l’OMS. Et ne parlons pas de l’ONU ! Ou du G7 ! Ou de l’OTAN, organisme moins présent sur la scène internationale depuis quelques années, mais toujours d’une grande activité. D’ailleurs, durant la crise du coronavirus, l’OMS a été une boussole permanente pour les scientifiques, les dirigeants et les médias. Pourtant, le président de l’OMS, du moins celui en place au moment où sont écrites ces lignes, n’est même pas médecin ! Le « gouvernement mondial » qui ne dira jamais son nom, va continuer subrepticement à se mettre en place en dépit des souverainismes visibles à l’œil nu. Les dirigeants des grandes puissances, malgré les tensions qui s’installeront entre certains, continueront, par le biais de ces institutions, à former une sorte de cartel. Le G7, le G20, seront toujours aussi actifs !
Les marchés financiers seront plus que jamais les carrefours du financement des états car la crise économique qui commence en 2020 ira de mal en pis, et que le financement passe obligatoirement par les marchés internationaux de capitaux. Aussi bien le financement des états par le biais des obligations, que celui des grandes entreprises, par le biais des actions et des obligations, convertibles ou pas. Cela sera d’autant plus vrai qu’en période de crise les banques réduisent le financement.
Les institutions internationales technocratiques comme le FMI ou la BCE seront les nobles chevaliers venant à la rescousse des états les plus faibles et des défaillants. Ce qui renforcera le pouvoir de ces institutions. Les liens entre états seront assurément moins commerciaux, éventuellement moins productifs, mais probablement encore plus financiers. « 

ECOLOGIE
« La crise sanitaire du printemps 2020 a permis aux gouvernements de s’imposer de manière autoritaire. Pour cause de santé publique, pour cause d’urgence sanitaire, plusieurs pays européens ont basculé dans l’autoritarisme politique, avec, rappelons-le, un fort soutien de l’opinion publique.
Vu que la trajectoire empruntée depuis une bonne dizaine d’années était celle de réglementations écologiques de plus en plus poussées, il est facile, désormais, d’imaginer que dans un futur proche, on interdira totalement de circuler en voiture lors des périodes de pics de pollution, à moins que la dite voiture soit électrique, et encore… Surtout dans les grandes villes, où sont déjà en place des constructions de milliers de pistes cyclables, venant rogner sur la route. On pense à Londres et Paris qui se sont lancées dans ce type de projet mais aussi à des villes secondaires comme Grenoble.
Il est facile également d’imaginer que sous prétexte de santé publique, le confinement, qui a été imposé, le soit à nouveau, sur des créneaux horaires, pour cause de pollution.
Il est facile d’imaginer que le tri des déchets soit obligatoire, et contrôlé par des caméras de surveillance à reconnaissance faciale placées dans les locaux à poubelles ou sur la voirie…
Il est facile d’aller encore plus loin et d’imaginer une police écologique !
Rien, dans l’opinion publique, ni dans la trajectoire prise par les gouvernements, ne laisse suggérer que cela soit impossible. N’oublions pas que le 4 mars 2020, la Commission européenne a annoncé sa volonté d’inscrire l’objectif de neutralité climatique à l’horizon 2050 dans la législation afin de rendre cet objectif contraignant pour tous. Le mot contraignant est fort et il peut laisser sous-entendre une contrainte policière voire militaire.
«

RECESSION : CONSEQUENCES
« La récession actuelle va provoquer une déflation massive. Cela est logique : le pays ayant été mis à l’arrêt, il va y avoir de nombreuses faillites, donc moins de production et plus de chômage. Par conséquent moins de revenus. Si on produit moins, et qu’il y a moins de demande du fait d’une baisse de revenus, il y aura moins de tensions sur les prix. Avec une baisse du pouvoir d’achat, les prix peuvent donc baisser. Cette récession déflationniste augmente donc considérablement le poids relatif des dettes dans l’économie comme indiqué plus haut. La déflation pousse également vers un regain d’intérêt immédiat pour l’épargne et la détention de devises (la déflation dévalorise les actifs et valorise la devise). Le taux d’épargne en France, avant la crise, était déjà anormalement élevé… La constitution d’une épargne étant une habitude profondément ancrée dans la société française, cette proportion du revenu qui est épargnée tourne autour de 14% en 2018, alors qu’elle n’est que de 8% aux Etats-Unis. Or, en France l’essentiel de l’épargne est orientée, non pas vers les actions (donc vers les entreprises) comme aux Etats-Unis, mais vers les obligations d’Etat, bien souvent sans que les ménages ne le sachent. Tel est le cas par exemple du livret A… Une épargne orientée vers la création de richesse aux Etats-Unis, et vers l’Etat en France… Voilà qui traduit bien la différence de culture !
Dans un premier temps, la crise sanitaire va donc provoquer une déflation. D’ailleurs les premiers chiffres montrent que les prix n’ont pas augmenté en mars 2020 en France et quasiment pas en avril de la même année. Malgré les tensions sur l’alimentation.
Mais… Attention ! Une inflation nulle avec un PIB en baisse, génère de facto une baisse de pouvoir d’achat, donc une paupérisation.
Une fois que la première partie de la crise sera derrière nous, disons début 2021, la déflation fera progressivement place à de l’inflation.
Pourquoi un si brutal changement de cap ? (…)
«

BOURSE
« Plus une crise est sévère, plus la première jambe de rebond après le krach initial est importante en raison des injections de liquidités des banques centrales… D’où la vigueur du rebond constatée en cette fin de printemps 2020.
Quand la phase X1 sera finie, ce qui devrait être le cas en fin d’été, avec un CAC 40 pouvant remonter vers 5500 points… alors, nous entrerons très probablement dans la phase Y qui pourrait amener le CAC 40 assez bas. Une fois que l’euphorie provoquée par les injections de liquidités de la BCE sera finie elle aussi. Ce seraient alors les premiers signes économiques de reprise bien plus molle que prévu qui mettraient le feu aux poudres.
«

« Placer sur les géants de l’industrie pharmaceutique, sur les géants de l’industrie hospitalière, a toujours été un bon pari, et pourrait l’être encore, à condition de savoir longtemps, très longtemps conserver ses actions, voire même réinvestir les dividendes distribués.
Les leaders des télécoms, comme Orange, devraient aussi bien s’en tirer. Le confinement leur a été propice, et, bien que ces sociétés investissent lourdement et soient sur des marchés concurrentiels, la baisse des prix des forfaits téléphoniques semble terminée. La hausse prévisible du télétravail va les favoriser.
A l’opposé de la chaine entrepreneuriale, de nombreuses start-up ou tout simplement des PME bien implantées, positionnées sur des domaines comme la décontamination, la surveillance vidéo, les logiciels de télétravail, les services à l’environnement, vont s’affirmer, tant par leur notoriété, que par leur croissance et leur rentabilité. Evidemment, pour investir sur ce genre d’actions, il ne faut pas s’y prendre au hasard. De tels investissements doivent être le fruit d’études et de recherches méthodiques et minutieuses. De tels investissements étant par nature risqués.
«

RETRAITE
« Prendre ou pas sa retraite ?
La question va se poser pour beaucoup de personnes de la génération X dans les « années 20 ». En effet, ceux qui sont nés dans les années 60 (début de la génération X, génération qui a suivi celle du baby-boom, déjà à la retraite), vont fêter leur sexagénat au cours de la décennie.
Pour eux, en France du moins, l’âge légal de départ à la retraite est à 62 ans. Partir à l’âge légal ne garantit pas d’obtenir pour autant une pension de retraite à taux plein si les postulants n’ont pas tous les trimestres requis. Cette condition de trimestres est cependant levée dès lors que le départ s’effectue à partir de 67ans, âge du taux plein automatique.
La plupart des français seront tentés par un départ à 67 ans, pour bénéficier de leur pension à taux plein. Seulement, ce calcul n’est peut-être pas le meilleur.
«

De nombreuses autres questions sont abordées : dictature, opinion publique, télétravail, économie souterraine, etc

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