Quelques mots sur le COVID, encore et toujours

Ayant pris part depuis le début au débat public généré par le COVID, nous n’allons pas nous arrêter aujourd’hui!

Alors que nous venons de publier un livre qui va faire parler de lui, dans la collection Nouvelles Pages :  « Le Dilemme » de l’artiste Gildas Thomas, un récit poignant sur le décès du père de l’auteur, tué par le COVID, une réflexion me vient en tête.

La liste des morts de cette maladie s’allonge. Le cap des 100.000 a été dépassé, sans compter tous ceux qui sont décédés chez eux de ce maudit virus, et n’ont pas été comptés dans les chiffres officiels.

Et face à cela, notre gouvernement nous protège-t-il vraiment? Quelle mesure efficace à part nous enfermer et marteler que l’école passe avant tout?

Aujourd’hui les épidémiologistes connaissent mieux le COVID. Et tous, sans exception, disent que IL N’Y A PAS de contamination à l’extérieur (sauf densité exceptionnelle comme un match de foot ou une foule compacte immobile comme pour voir un feu d’artifice par exemple). Dans ce cas, pourquoi maintenir ce stupide couvre-feu à 19h, qui pousse les festifs non pas à s’enfermer chez eux mais à aller passer la soirée voire la nuit chez les copains?… Alors que s’il n’y avait pas ce couvre-feu et que les terrasses étaient ouvertes, ils pourraient se retrouver sur les terrasses. Donc générer moins de contaminations. Tout est fait en dépit du bon sens, tout est décidé par le prisme d’une idéologie nauséabonde.
Je ne dis pas que le gouvernement en fait trop, je dis ce qu’il fait, il le fait en dépit du bon sens.
Jean-David Haddad
Editeur