Garovirus  ou le syndrome de Chantal Goya.

Garovirus  ou le syndrome de Chantal Goya.

Voici un extrait de cette presse essentiel qui représente le magazine  » Gala », et qui en toute sincérité en dit long sur la politique du personnage qui nous préoccupe :

« Le teint hâlé, bien coiffé et vêtu d’un simple mais élégant polo de la marque Lacoste, le président a tapé dans l’œil de nombreux de ses abonnés, féminins et masculins ! Installé devant une bibliothèque, il a terminé sa prise de parole avec un clin d’œil complice adressé à ses followers. Ce qui a provoqué la mise en ligne de nombreux commentaires, qui n’avaient pas grand-chose à voir avec le sujet de la vaccination… « Le p’tit clin d’œil à la fin », « Mais quel beau gosse avec le clin d’œil à la fin » ou encore « Quel plaisir de vous voir au réveil », les éloges étaient nombreux. Si aucune donnée n’a été communiquée concernant le pouvoir de persuasion du président sur e sujet, grâce à ses vidéos faites maison, certaines d’entre elles cumulent, toutes plateformes confondues, plus de deux millions de vues. Un influenceur est né ! »

Un influenceur est né ! Notre bon président a donc la capacité d’influencer le public phare des Marseillais VS le reste du monde  et les minettes des écoles catholiques des beaux quartiers!  Quel homme ! J’en suis tout ému. Et comme je suis fan, je me pose la question de savoir  quand vais-je voir le président torse poil et en caleçon léopard  sur Instagram, a quand le dictatus nimbus en pleine séance de rap ?

Jaugez du niveau de la politique française !

Monsieur drague à tout va les adolescentes, celles-là mêmes qui sont cadenassées chez elle depuis 2020 par sa faute. Mais à quoi sert cette opération de communication à grande échelle  made in Voici, Gala, Paris Match ou Closer, que j’observe depuis quelques semaines ? Comme sur Insta ou autres réseaux sociaux, puisque les adolescents en majorité se foutent du débat sur  la vaccination comme de leur première dent de lait ?

Ce qui m’inquiète dans les faits, c’est que cette opération séduction sur la jeunesse qui a commencé en juillet de cette année s’amplifie de jours en jours. Que cela peut-il bien signifier (en plus du fait qu’il est probablement atteint, le fat personnage, du syndrome de Peter Pan en plus de celui de Chantal Goya) ?

On ne séduit pas un public à peine en âge ou bientôt en âge de voter si on n’a pas une petite idée derrière la tête… Voit-il en eux les bases pour fabriquer une future jeunesse embrigadée ? Dévouée ? Qui voit le monde à son image ? Comme Adolf et Benito l’avaient fait à une époque ? Je m’attends à le voir faire prochainement des vidéos pédagogiques pour les 5-12 ans sur le méchant Covid et la gentille police du gentil président. Je ne serai même pas surpris de le voir chanter « Les insectes sont nos amis » en duo avec Chantal sur YouTube ! Suis-je paranoïaque, complotiste ou suffisamment instruit pour constater des similitudes troublantes avec l’histoire ?

Ma conclusion est que ce type est décidément bien nauséabond, et toute haine mise à part, pour qui analyse et additionne les faits, c’est de plus en plus inquiétant au fil du temps. Cette volonté perpétuelle qu’il a de s’introduire dans les familles, de diviser les générations, d’être omniprésent et  de ne se dévouer plus qu’à une seule tâche en permanence, à savoir celle de la domination totale et sans réserve du pays, c’est extrêmement inquiétant ! Ceux qui me lisent régulièrement savent que je dénonce depuis mars 2020  (cf. La dictature sanitaire, Stupeur et confinement ou Tu n’iras pas à l’école mon fils, chez JDH éditions) la dérive politique infernale que nous vivons depuis cette date. Mais les réfractaires à mes propos  comprendront peut-être mieux un jour mon point de vue, quand le pouvoir déclenchera l’article 16 pour raison sanitaire extrême, émeutes ou/et terrorisme réunis. Et quand la cinquième république sera abolie de fait. Et vos dernières libertés avec. Ce qui est consternant, c’est qu’on juge les drames de l’histoire en traitant presque de « pauvres types » ceux qui à l’époque n’avaient rien vu venir. Et que l’on est persuadé que ce qui a été ne sera plus.

En attendant, c’est encore un samedi de fortes manifestations aux chiffres truqués par les préfectures qui s’annonce. Comme à l’époque des gilets jaunes. Une mobilisation importante que les médias ne relateront pas et minimiseront et que les « bien pensants » tenteront d’ignorer. Et ceci en plein mois d’août. Une première. Je crains la rentrée…

YLR, rédacteur en chef de la revue littéraire l’Edredon.