Le SARS-COV2 accélérerait l’âge biologique. France soir publie un véritable brûlot.

Le SARS-COV2 accélérerait l’âge biologique. France soir publie un véritable brûlot.

0Une fois n’est pas coutume, à la rédaction, nous avons pris connaissance de cet article de France-Soir, transmis par un de nos lecteurs, que si nous ne pouvons diffuser en totalité par respect pour ce journal, nous partageons par des extraits. Notamment sa conclusion. Passez-y directement si vous voulez une lecture rapide, c’est édifiant !

Vous trouverez le lien pour l’article original et complet en bas de page. Et nous pensons que cet article de près de 5000 mots au départ et basé sur des études scientifiques du plus haut niveau est d’une importance capitale dans le débat sur le vaccin. Ces auteurs sont : Xavier Azalbert, Anne-Typhaine Bouthors, Michel Brack, Dominique Cerdan, Walter Chesnut, Gérard Guillaume, Jean-François Lesgards, Luc Montagnier, Jean-Claude Perez pour France Soir.

France soir prévient le lecteur que certains passages demandent des connaissances en médecine et en biologie pour une lecture complète. Mais certaines synthèses sont « vulgarisées » pour permettre au commun, la lecture de ce rapport que vous retrouverez en intégralité dans leurs conclusions en bas de cet article. Pour L’Édredon,  nous les reprenons, sous la direction de notre Rédacteur en chef, Yoann Laurent-Rouault. Voici maintenant, résumé, l’essentiel de cet article, extrêmement utile voir indispensable à la compréhension de la situation que nous subissons.

 La sénescence.

La sénescence est en biologie le processus physiologique qui entraîne la dégradation des fonctions de la cellule au cours du temps. En d’autres termes, la sénescence, est le vieillissement des organismes. Plusieurs études récentes tendent à démontrer que le SARS-CoV2 accélérerait l’âge biologique des cellules. Comment ? En agissant sur la taille des télomères, ces séquences d’ADN qui protègent l’extrémité des chromosomes et qui raccourcissent à chaque division cellulaire.

Spike.

En avril 2021, une étude chinoise  souligne que le principal agent pathogène du virus Covid-19 est sa protéine de pointe, appelée Spike. La protéine de pointe entoure la capside virale et lui permet d’entrer dans les cellules pour les infecter. Dans cette étude, les chercheurs ont isolé Spike en l’installant sur un noyau vide, puis l’ont inoculée à des cobayes, afin d’observer son action sur l’organisme. Les conclusions  de cette étude sont sans appel : la protéine Spike seule provoque la plupart des symptômes du Covid-19.

Ce qui amène à ce questionnement : S’il est prouvé que le SARS-CoV2 induit un vieillissement cellulaire accéléré, et que le responsable de cette sénescence n’est autre que la protéine Spike, comment être absolument certain que les vaccins actuellement sur le marché, tous basés sur Spike, ne conduisent pas eux aussi à la dégradation accélérée des cellules des personnes vaccinées ? Quels sont les liens entre les mécanismes impliqués dans la sénescence liée au raccourcissement des télomères et les vaccins ? (Ndlr :les réponses sont données à la suite)

Accélération de l’âge biologique

En novembre 2020, une équipe de chercheurs a investigué le rôle potentiel des télomères dans le cadre de l’infection Covid. L’âge, l’obésité, le diabète, l’hypertension et de nombreux facteurs de sévérité sont désormais des facteurs de complication bien identifiés. Toutefois des patients ne répondant pas à ces critères souffrent parfois sévèrement de ce virus.

Les télomères et leur rôle ? Les télomères sont des séquences d’ADN qui protègent l’extrémité des chromosomes et qui raccourcissent à chaque division cellulaire. Leur taille diminue en fonction de l’âge de la cellule et de l’individu. Lorsqu’ils deviennent trop courts, notamment chez les personnes âgées, les cellules entrent en sénescence, un phénomène proche de la mort cellulaire. Ces structures jouent donc en quelque sorte le rôle d’horloge biologique cellulaire.

De nombreux scientifiques ont démontré que le raccourcissement des télomères diminue l’espérance de vie. Cependant, la longueur des télomères n’est pas la même pour tous les individus du même âge et dépend, entre autres, de certains variants génétiques. Le raccourcissement des télomères semble affecter les défenses de l’organisme contre les virus et on suppose que les individus, dont les télomères sont plus courts, épuisent plus rapidement leur stock de cellules immunitaires.

 Ndlr : Ceci nous rapprochant des processus admit de « la sélection naturelle ». C’est-à-dire du patrimoine génétique de chacun face à un virus ou bien une maladie. Donc, des soins et leurs protocoles de masses sans particularismes deviennent pour le coup inefficaces.

Dans l’optique de mieux comprendre les mécanismes immunitaires impliqués dans le Covid-19 , les chercheurs ont comparé la taille des télomères de 70 patients hospitalisés pour Covid lors de la première vague de la pandémie (entre le 7 avril et le 27 mai 2020 / patients âgés de 27 à 96 ans) aux résultats d’un groupe témoin correspondant à environ 500 personnes non atteintes du Covid. Les résultats ont montré que les télomères des patients Covid étaient plus courts que ceux du groupe de référence et que la présence de télomères très courts était associée à un risque significativement plus élevé d’admission en soins intensifs ou de décès. Ces résultats ouvrent des perspectives importantes dans la compréhension des mécanismes de l’immunité vis-à-vis du coronavirus. 

Des résultats confirmés et affinés en 2021

En janvier 2021, la chercheuse en oncologie moléculaire, Maria Blasco, confirmait les résultats  publiés dans un article passé inaperçu et qui titrait : « Des télomères de longueurs plus courtes chez les patients atteints de la maladie Covid sévère ».

L’incidence des manifestations graves de Covid augmente avec l’âge, les patients plus âgés présentant la mortalité la plus élevée, ce qui suggère que les voies moléculaires sous-jacentes au vieillissement contribuent à la gravité de Covid.

Les auteurs ont donc émis l’hypothèse que la présence de télomères courts chez les patients plus âgés limite la réponse tissulaire à l’infection par le SARS-CoV2. Ils ont mesuré la longueur des télomères dans les lymphocytes du sang périphérique des patients Covid âgés de 29 à 85 ans et constaté que des télomères plus courts sont associés à une sévérité accrue de la maladie. 

En juin 2021 le lien entre le raccourcissement des télomères chez les patients Covid et l’accélération de l’âge biologique était prouvé. Le résumé est sans équivoque :

L’infection par SARS-CoV2 entraîne le syndrome Covid qui est caractérisé, dans le pire des cas, par une détresse respiratoire sévère, une fibrose pulmonaire et cardiaque, une libération de cytokines inflammatoires et une immunosuppression. Cette condition a entraîné la mort d’environ 2,15% de la population mondiale infectée jusqu’à présent.  L’étude mesure l’âge biologique sur 117 survivants du Covid et 144 volontaires non infectés. Les auteurs constatent une augmentation significative de l’âge biologique des patients ayant eu le Covid (post-covid) de 10.45 ans (+/- 7,29 ans soit 5,25 ans au-delà de la norme) comparé à 3,68 ans (+/- 8.17 ans) chez les personnes non infectées (sans-covid).

Dernièrement, à la télévision ou sur les réseaux sociaux, de nombreux témoignages individuels sont venus corroborer ces faits : ainsi, il n’est pas rare de lire, d’entendre ou de constater qu’un proche « a pris dix ans » après un Covid sévère. Mais plus inquiétant, ces mêmes impressions se rencontrent aussi pour des personnes vaccinées.

Ndlr : Nous vous invitons à suivre le lien en bas de page pour le détail de ce qui est énoncé plus haut. Vous y trouverez tableau, données et développement. Qui, nous le répétons demandent une culture biologique pour bien suivre les différentes étapes de cette étude. Aussi, nous passons directement aux conclusions.

Conclusion

Ces études et observations apportent des informations clés sur la maladie et une réponse fondamentale à la question de la plus grande sensibilité des personnes âgées ou immunodéficientes à la maladie. En effet, avec le vieillissement, les télomères se détériorent et affectent la reproduction cellulaire. Le SARS-CoV2 entraînerait un vieillissement de l’âge biologique ou une accélération de l’âge biologique par le biais d’un raccourcissement accru des télomères.

La question que l’on peut légitimement poser est la suivante : la protéine spike active des vaccins (Pfizer, Moderna…) en sollicitant/boquant le récepteur ACE2 n’est-elle pas susceptible d’inhiber la fonction bénéfique de protection des télomères et ainsi d’activer aussi le vieillissement ?

Il y aurait donc un lien direct entre la maladie et la machinerie cellulaire humaine avec intervention de la transcriptase inverse, ce qui ne correspond absolument pas à l’objectif d’un vaccin traditionnel.

Pour lutter contre le SARS-COV2, deux stratégies à mener de front semblent pertinentes :

1 – Prévenir la maladie – avec comme approche thérapeutique et médicale les réponses connues des gestes barrières, des traitements précoces et d’une « vaccination éprouvée ». La prévention passant également par une hygiène de vie saine, une alimentation équilibrée, de l’activité physique, du repos en quantité suffisante, des échanges sociaux. Mens sana in corpore sano, le meilleur prérequis pour affronter virus et bactéries.

2 – Empêcher les formes graves de la maladie – ce qui demande avant tout la compréhension complète du virus, de son mode d’action et des conséquences de la maladie sur les organes affectés.

À ce jour, la réponse sanitaire à la gestion de la crise consiste en l’injection de substances encore à l’essai, toujours en phase 3 au moment où est publié cet article, pour lesquelles la définition du mot « vaccin » a dû être modifiée par l’OMS elle-même. De plus, il est accepté que l’injection avec la technologie à ARN messager entraîne une production accrue de la protéine spike tout en ne réduisant pas la transmission (traitement Pfizer déclaré efficace à 42% seulement contre le variant delta). Cette barrière vaccinale favoriserait également la création de variants qui cherchent à la contourner. Dans les pays qui ont massivement vacciné, les données publiées par les autorités tendent à montrer qu’un pourcentage élevé des personnes hospitalisées sont des personnes dont le parcours vaccinal est complet. Notons qu’à ce jour, les institutions françaises ne rapportent pas les mêmes observations ; ceci peut être expliqué en partie par le décalage du démarrage de la campagne de vaccination (+ 2 mois par rapport à Israël par exemple).

Le professeur Montagnier déclare : « pour prévenir la sénescence, prenez des antioxydants ! je dis cela depuis 30 ans, j’ajouterais maintenant : pour ne pas perdre mes télomères ».

Plusieurs questions se posent sur le virus :

1 – Est-il préférable d’attraper la maladie de manière hasardeuse et de développer une réponse immunitaire globale naturelle ou de tenter l’expérience vaccinale en encourant les nombreux effets secondaires rapportés par la pharmacovigilance, ainsi qu’un risque de sénescence cellulaire accrue ?

2 – La détérioration de l’âge biologique est-elle la même chez les malades Covid et chez les vaccinés ? L’un est-il pire que l’autre ? À ce stade, personne ne peut apporter de réponse précise à ces questions.

Toujours est-il que ce virus entraîne une augmentation de l’âge biologique chez les personnes qui contractent la maladie dont l’effet est probablement accentué par l’injection vaccinale. Avec la baisse de l’efficacité sur la contamination, il est donc essentiel de prévenir l’aggravation de la maladie et pour cela une prise en charge précoce est impérative.

En laissant évoluer la maladie au-delà des premiers jours et en utilisant les vaccins comme unique solution, le risque existe que l’on entraîne une réduction du temps de vie tant des adultes que des enfants. À l’heure où les femmes comme les hommes cherchent à vieillir dans les meilleures conditions et rester jeunes le plus tard possible, veut-on prendre le risque avec des injections régulières de ruiner tous ces efforts ? Devant la volonté de vacciner les enfants qui ne sont pas affectés par le SARS-CoV2, il ne faudrait pas que le remède soit pire que le mal.

Face aux ressentis de certains patients ayant contracté le Covid et/ou de certaines personnes vaccinées témoignant qu’elles ont l’impression « d’avoir pris dix ans d’un coup », la science amènerait-elle à point nommé, une fois encore, des éléments factuels de réponse en faveur des traitements précoces ? Un dernier pas, que certains n’hésiteront pas à franchir, est de déclarer que l’accélération de l’âge biologique entraînerait une baisse de l’espérance de vie.

 

Yoann Laurent-Rouault, source : Le SARS-COV2 accélérerait l’âge biologique (francesoir.fr) pour l’Édredon.