Pandémie électorale, sans variants.

Pandémie électorale, sans variants.

 

Et c’est reparti pour le grand cirque, le grand n’importe quoi, l’assaut médiatique, les sondages de paliers et les meetings dévergondés. Une fois de plus, je me demande comment et pourquoi ces candidats sont sur les rangs. Quelle piètre représentation de la république ! Et cette fois, c’est la grande braderie. Il y en a pour tous les goûts. De l’antisémite, du raciste, du pétainiste, du bobo-écolo, du rincé, du fasciste et pire que tout, le tenant du pouvoir pyramidal actuel. Comme quoi, la honte ne tue pas plus que le ridicule. Cela étant, face au plus grand scandale sanitaire de tous les temps qui se profile, reléguant tous les médicaments foireux connus et tous les sangs contaminés du monde au placard, mais gardant quelques vieux routiers du genre aux commandes, il vaut mieux profiter de l’immunité politique…

D’ailleurs, si les élections ont lieu…car un nouveau variant, terrible, mythologique, effrayant, que le Royaume-Uni combat déjà comme Arthur combattait le dragon, gagne de l’opinion, et donc du terrain numérique chaque jour. Petit rappel : ce pays obéit au géant d’outre atlantique, ne fais plus partit de l’Europe et refuse, et à juste titre, de s’inscrire dans le nouvel impérialisme communiste européen à tendance maoïste.

Pour en revenir à notre belle Marianne, nous nous acheminons, gentiment, mais sûrement vers la première expérience française de vote « numérique ». Fi de l’isoloir, fi du bulletin assassin, fi du vote blanc et vive le chiffre, avec de préférence un résultat écrit à l’avance. Voir prescrit. On prend les mêmes, on recommence et on y ajoute quelques tours de vices. Ceux qui croient que nous sommes encore en république me font de la peine. Mais j’hésite tout de même à savoir s’ils sont naïfs ou stupides. J’ai, et je l’avoue, peur du résultat de mes investigations. Les peuples autrichien, australien, îliens,  montrent un chemin que le peuple de France hésite à prendre. Et même si aujourd’hui, les « résistants » progressent en nombre sur le territoire (beaucoup de vaccinés constatent les dégâts, de plus en plus de commerçants ne jouent pas le jeu du gouvernement), la mobilisation reste plate. Au motif que c’est bientôt les élections. Funeste erreur…

YLR