La maison JDH EDITIONS est engagée non pas d’un côté particulier de l’échiquier politique, car les côtés bougent et fluctuent, mais sur une valeur essentielle : LA LIBERTÉ.
Nous donnons à nos auteurs la liberté d’expression, y compris à travers cette revue littéraire… du moins tant que cette liberté ne mène pas à la haine, à l’appel à l’insurrection, au racisme ou autres dérives que nous dénonçons.
Nous soutenons la liberté de création artistique, et faisons fi des tabous sociétaux qui nous disent ce qui est « bien » ou « pas bien » à publier. Pour preuve, nous avons publié des romans loin de consensus ambiant comme « De Stockholm à Lima ».
Nous donnons la parole à des dissidents, comme le Dr Erbstein qui a expliqué dans son célèbre pamphlet « Je ne pouvais pas les laisser mourir », comment il a sauvé des vies contre les recommandations officielles qui préconisaient de ne pas administrer de médicaments.
Mais nous donnons aussi la parole à des auteurs qui racontent le décès de leurs proches en raison du COVID dans d’atroces conditions, où, d’ailleurs, ils ont été empêchés de les voir une dernière fois…
En cette rentrée 2022, si spéciale, puisqu’elle précède une campagne électorale, nous venons de publier un tir groupé de plusieurs livres clairement politiques.
-« Paroles de territoires », un livre écrit par un ancien député de droite et un ancien ministre socialiste, narré par Sophie Ferrari et préfacé par Anne Lauvergeon. Les deux protagonistes relatent leur duel politique, dans leur région qui leu est si chère, la Bourgogne. Ces deux partis ont rythmé nos vies pendant plusieurs décennies, il ne faut pas l’oublier.
-« Vaccin libéral », un essai du professeur Garello qui vante les mérites du libéralisme, tant décrié en France, face au despotisme et au populisme.
-« Non, l’État ne nous protège plus! », un pamphlet de Simone Wapler. Il s’agit d’une réédition de ce livre publié en novembre 2020 et qui a récemment obtenu le prix du livre libéral 2021 de l’ALEPS.
-« La mouche et le marteau piqueur » de Marc Banassy, ancien élève de l’ENA, administrateur civil hors classe. Bref, haut fonctionnaire. L’auteur fait le point sur la crise sanitaire et sur les politiques inefficaces menées pour y remédier. Ubuesques et coercitives, selon lui. Il s’exprime en tant que citoyen engagé, ancien haut fonctionnaire et expert-démographe, sur ce qu’il nomme la « Malencontre », au sens où de La Boétie l’entend dans son Discours de la servitude volontaire. Son texte porte sur cette « pandémie inédite, dont les effets ne cessent de s’amplifier, au point d’abolir la mémoire de l’avant et de faire préférer la servitude à la liberté au plus grand nombre ».