Le meurtre du bon sens – Annexe 2 : Nous sommes entrés dans la 4ème dimension, bienvenue au Covidistan !

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« Les covidiens : ces êtres étranges venus d’ailleurs. Leur destination : la Terre. Leur but : en faire leur univers. Leur méthode : le contrôle par la peur. David Vincent les a vus. Pour lui, tout a commencé par une nuit sombre, une annonce dans les infos. Cela a commencé par un « confinement ». Cela a commencé par des menaces de représailles. Cela a commencé le long d’une route solitaire alors qu’il cherchait un soutien que jamais il ne trouva. Cela a commencé par une tentative de conditionnement par la Pensée Réglementaire. Cela a commencé… par un homme masqué. Maintenant, David Vincent sait que les covidiens sont là, qu’ils ont pris forme humaine, qu’ils ont fait basculer le monde dans la 4ème Dimension et qu’il lui faut désormais convaincre un monde incrédule que le cauchemar a déjà commencé… »

« Covidistan : The Covid Zone », ceci aurait ainsi pu être l’ouverture d’une nouvelle série TV de science-fiction, une sorte de mélange entre « The Twilight Zone » (la 4ème Dimension en français) et « Les Envahisseurs ». Mais ceci n’est pas de la science-fiction, ceci est la réalité de 2020.

Alors, cette fois, ça y est donc, nous y sommes, nous avons basculé dans la 4ème Dimension. « We’re into The Twilight Covid Zone ! » Le nom de cette dimension ? Le Covidistan ! Le « Covidistan », dites-vous ? Oui ! Le Covidistan, ce monde étrange où les covideries sont légion, où le Covidisme est la normalité. Le Covidistan, cette dimension déconcertante où le bon sens et la raison n’existent plus. Le Covidistan, cet eldorado des hypocondriaques, cet oasis pour les fachos de seconde zone, ce paradis pour les cafardeurs, ce jardin d’Eden pour les petits dictateurs refoulés… Le Covidistan : où l’intolérable est devenu une banalité, où l’abject est devenu la nouvelle norme.

Bienvenue au Covidistan ! Votre nouveau monde. Tout frais, tout neuf, encore dans son emballage recouvert de gel hydroalcoolique.

Vous aviez toujours rêvé de vivre un gag des Monty Python en live ? D’en faire partie ? D’être DANS un sketch « made in Monty Python » ? Ne rêvez plus ! Réjouissez-vous ! Car même en Absurdie, ils n’y étaient pas arrivés ! Mais au Covidistan, ils l’on fait ! Oui ! OUI, ILS L’ONT FAIT !!

Le Covidistan, cette dimension parallèle où le bon sens est criminalisé, où s’embrasser et se serrer la main sont des actes révolutionnaires. Le Covidistan, cette étrange nation où l’absurdité côtoie le surréalisme, où l’hypocondrie est la norme, où le bon sens est bafoué, hué par une foule en délire – mais une foule masquée derrière son écran d’ordinateur. Ou de smartphone. Le Covidistan où l’état nous dicte ce qui est essentiel et ce qui ne l’est pas. Le Covidistan, un régime idiocratique totalitaire où les neurones sont balayés un par un dans un souffle médiatique bouleversant. Omniprésent. Omnipotent ? Au Covidistan vous êtes pistés, traqués, matraqués, testés, enfermés, confinés.

Au Covidistan, on vous somme de cesser de vivre pour votre sécurité. Au Covidistan, ils sont tous atteints du « Covidisme » aigu ! Au Covidistan, le Covidisme est la norme. Car le Covidisme vous protège du Grand Méchant Bon Sens. Au Covidistan, vous êtes protégés ! Au Covidistan, réfléchir est une maladie mentale.

Mais qu’est-ce donc que ce « Covidisme » ?

D’après une définition (d’un auteur inconnu), trouvée au hasard d’un surf sur Internet : « Le Covidisme est une maladie psychiatrique apparue en 2020, ayant contaminé toute la surface du globe, se caractérisant par une perte totale de logique, de bon sens, d’esprit critique, de libre arbitre et de courage ainsi qu’une croyance absolue, quasi religieuse, infondée et totalement irrationnelle, dans le discours politico-médiatique ». D’après une autre, d’un certain Karim Duval, il s’agirait plutôt d’une nouvelle religion. Mais tout ça reste très flou, comme il le dit lui-même.

Alors bien entendu, au Covidistan, tout le monde est masqué. Au Covidistan, ne pas se masquer le visage (ou le masquer « mal ») est considéré comme un acte criminel passible des pires représailles. Au Covidistan, vous croiserez des « Hannibal Lecter » à chaque coin de rue. Au Covidistan, vous aurez l’impression d’être dans un hôpital psychiatrique à ciel ouvert.

Car au Covidistan, on analyse les nanoparticules des nanopostillons qui peuvent parcourir une distance de 16 km en volant dans les airs tels des tarzans miniatures, volant d’une liane… pardon, d’une « nanogouttelette » à l’autre.

Haaa, le Covidistan. Un monde déroutant.

Lorsque j’ai terminé d’écrire mon livre « Le meurtre du bon sens » début juin 2020, la situation « Covidesque » commençait à s’améliorer au point où j’ai pensé à un moment qu’il n’était plus très utile. Mais depuis… depuis les choses ont pris une tout autre tournure. Depuis, nous avons basculé dans le Covidistan, la 4ème dimension. Je pensais alors que nous y étions déjà. Mais ce n’était en fait que le début car ce qu’il s’est passé après… comment dire… est en train de corroborer toutes mes prévisions. Mon « monde d’après qui n’était peut-être pas une fiction » est en train de prendre forme. Il y a un an, vous m’auriez raconté le quotidien de 2020, je vous aurais ris au nez, je vous aurais pris pour un dingue qui a regardé un peu trop de films de séries Z de science-fiction. D’ailleurs, tout le monde vous aurait pris pour un détraqué mental, je pense. Je vous aurais dis que vous décriviez le scénario d’un épisode de la série « Sliders », ou de « Twilight Zone » (la 4ème Dimension en français), ou encore de « Black Mirror ». Mais là, j’en suis arrivé à un point où je rêve de renvoyer un « Terminator » dans le passé pour empêcher l’avènement de « Skynet »… Peut-être en empruntant la DeLorean de Doc Brown ?

Nous en sommes arrivés à devoir nous cacher pour nous voir, à raser les murs pour marcher en rue le soir, à faire des « soirées clandestines »… en prenant soins de ne pas éveiller les soupçons des voisins « cafardeurs ». Qui aurait cru de telles choses possibles au 21ème siècle en Europe ?

Sommes-nous en train de sombrer dans une idiocratie ? La question est posée. Quand je vois que des gens mettent un masque lorsqu’ils s’installent tout seuls au volant de leur voiture ou lorsqu’ils se baladent seuls dans un parc, on peut légitimement se demander s’ils sont masochistes, ignorants, zélés ou simplement cons. Oui, ces mots sont durs. C’est ce que j’appelle le CONVID, « le virus qui rend con ». Mais à la décharge de ces « sans-visages » comme je les appelle désormais, on peut supposer qu’ils sont sans doute les victimes (consentantes ?) de ce matraquage médiatique d’une extrême violence émotionnelle et psychologique. Car cette « 3ème guerre mondiale » (« Macaroni » l’a dit : « C’est la guerre ») est bien psychologique. Cette peur d’un niveau psychiatrique générée par les médias, aidés par la déferlante des réseaux antisociaux, a ravagé leur cerveau. Il est plus que temps que la société retrouve ses esprits et son bon sens au risque de basculer définitivement dans un régime totalitaire de type « 1984 », pour autant qu’il ne soit pas déjà trop tard.

Le Covidistan est un endroit tout aussi bizarre que nauséabond, lugubre et malsain. Halloween est pourtant terminé. Mais Halloween est notre nouveau quotidien, notre nouveau « normal ». Pourtant, curieusement, au Covidistan, ils nous ont interdit de fêter Halloween. Ont-ils peur de la concurrence ?

Peut-être parce qu’au Covidistan, le « masque » est un accessoire à la mode, une tendance. Au Covidistan, il existe même désormais des « Covid Shops ». Des designers font des masques « design » et bientôt, au Covidistan, nous aurons des défilés de mode spécial Covid avec des masques faits par les plus grands créateurs de mode. Le masque n’est pas qu’une muselière physique, il est surtout une muselière psychologique. Heureusement que le Covid n’est pas un virus « intestinal ». Imaginez un peu…

Et la Covidie ? La Covidie est le chef lieu du Covidistan, le Covidistan étant un regroupement d’états Covidistes. En Covidie du Nord (North Kovidia), un type dans une salle d’attente m’a un jour reproché de « respirer »… En Covidie, les voies du Covid sont en effet impénétrables (ben oui, avec le masque et tout ça)… Ha ? Vous voulez en savoir plus sur cette histoire de respiration ? Eh bien, je suis un jour entré dans une salle d’attente, relativement grande et spacieuse. Un homme était assis dans la pièce. Je vais m’asseoir loin de lui, à l’autre bout de cette même pièce. Nous n’étions que deux. Il me fixe du regard, un regard pleinement accusateur. Austère, vindicatif. Il faut dire que je ne portais pas de muselière. Je ne porte jamais de muselière. Jamais je n’ai porté de muselière et jamais n’en porterai. D’un ton sec, il me lance « mettez votre masque monsieur ». Je lui réponds un « non » tout aussi sec. Il continue sur sa lancée, en me menaçant d’aller prévenir la sécurité. Je lui dis donc qu’il est à plus de 4 mètres de moi, qu’il ne risque donc rien. Pour autant que risque il y a bien entendu. Là, il me sort « Mais vous respirez ! ». Sur le coup, j’étais tellement estomaqué que j’en suis resté bouche bée. Au moins, j’ai cessé de respirer quelques instants. Mais peut-être aurais-je du me zigouiller pour ne plus le gêner avec ma respiration « toxique » ? Voilà, au Covidistan, respirer est donc un crime !

Voici une autre petite mésaventure qui m’est arrivée dans ce Covidistan maudit, dans cette « Covidie du Nord ». Je marchais tranquillement dans la rue, près de chez moi, quartier résidentiel. Un type arrive en contre sens. Je ne porte bien entendu pas la muselière « obligatoire » sous ces latitudes. Lorsqu’on se croise, soudain, cet homme masqué tel un Zorro des temps modernes fait un énorme bond sur le côté, comme s’il venait de voir le diable en personne, comme un petit enfant apeuré par le grand méchant loup qui viendrait le dévorer tout cru. Il se met à aboyer « NE VOUS APPROCHEZ PAS DE MOI !!! ». Abasourdi par cette situation rocambolesque, je lui conseille d’aller faire un tour en asile psychiatrique. Mais l’énergumène continue de marmonner de façon inintelligible et je lui répète la même chose jusqu’à ce qu’il disparaisse tel le fantôme qu’il est.

Toujours en Covidie du Nord, une amie a dû aller à la pharmacie l’autre jour. Il faisait froid dehors et sous son masque, son nez commençait à couler. À l’intérieur de l’établissement, outre la pharmacienne, une dame et son très jeune fils, bien entendu masqués tous les deux. Mon amie du retirer son masque quelques secondes pour se moucher. Que pouvait-elle faire d’autre ? Se moucher avec son masque ? Et à la seconde où elle le fit basculer sous son menton, le jeune garçon fit un bon en arrière, se plaquant contre le mur en mettant les 2 mains bien fort sur son masque, jusqu’à s’en pincer violemment le nez, le regard terrorisé. Vous savez ce que le gamin a alors dit à mon amie ? « Vous allez mourir ! ». Vous en penserez ce que vous voulez…

Puisque j’en suis aux anecdotes, en voici une autre. Un ami a dû se rendre au service après vente d’une grande enseigne de multimédia. La caissière était bien cachée derrière un énorme mur de plexiglas, masque sur le nez. Lorsque mon ami s’est approché pour rendre son appareil et récupérer son argent, la dame a eu cette réaction horrifiée : « Restez où vous êtes, ne vous approchez pas ! ». « Mais madame, j’ai un masque, vous aussi et en plus il y a un plexiglas entre nous, je fais comment alors pour prendre mon argent ? ». « Ne vous approchez pas, restez à 1 mètre 50 ! ». La situation commençait à s’embourber quand le vigile intervint et faillit jeter mon ami dehors.

Ha, le Covidistan et ses Covideries…

Je ne vous ai pas non plus raconté les tribulations de la piscine. C’est du haut de gamme ! Aller à la piscine au Covidistan est en effet un véritable parcours du combattant car aller à la piscine est également sujet à des rituels bien précis. Stricts et rigoureux. En effet, au Covidistan, vous laisserez vos vestiaires ouverts lorsque vous vous changez et pendant que vous faites trempette dans l’eau chlorée. Vos affaires seront donc en libre service. Vous n’aurez droit qu’à 45 minutes et pas une seule seconde de plus, montre en main. Lorsque vous arriverez dans le bassin de natation, il vous faudra rentrer dans l’eau via un endroit bien précis ainsi que pour sortir. Le parcours est fléché, interdiction de s’en écarter. À la sortie, il vous sera également strictement interdit de prendre une douche ou de vous désinfecter les pieds. Oui, il vous faudra garder le chlore ainsi que les autres déjections humaines telles les particules de salive, de transpiration et d’urine – entre autres joyeusetés – sur votre corps jusque chez vous. C’est pour votre sécurité, ne l’oubliez pas!

Et je ne vous parle même pas de ces gens qui gardent un mètre en permanence sur eux pour bien mesurer la distance entre eux et les autres… Au Covidistan, dans certaines contrées, à l’école on met même les enfants dans des sortes de cages en plastique. C’est pour leur bien. Comme au zoo. C’est pour le bien des animaux.

Bienvenue au Covidistan ! Alors, toujours pas convaincus par cet Eldorado magique ? Vous en voulez encore ? Au Covidistan vous ne serez pas déçus, plus vous réclamez, plus ils vous en donnent. Oui !

Au Covidistan, recevoir quelqu’un chez sois revêt des aspects dogmatiques, quasi religieux, avec des rituels rigoureux et ultra précis. Voyez les recommandations du tristement célèbre Monseigneur Yves Van Laethem, le Maître de Cérémonie, l’inspecteur Derrick du Covid. Tout est millimétré dans les moindres détails, jugez par vous-même : « Toute visite commence par une invitation : lorsque vous prenez contact avec les personnes, vous discutez de la manière dont ça va se passer. On vient avec un masque. Pour être un bon hôte, vous accueillez vos invités avec un masque, et eux aussi portent un masque, comme au restaurant. Pour se dire bonjour, vous ne vous serrez pas la main, sauf si les invités font partie de votre cercle proche (de 3 personnes maximum). Chacun enlève son manteau et le met dans un endroit disponible. On ne s’attarde pas dans le hall d’entrée, d’habitude très étroit, où les distances ne peuvent pas être respectées. On va directement se diriger vers l’endroit où se passe ce dîner. On s’assoit, et on évite de déambuler, de chipoter dans les livres ou dans les disques. On garde toujours 1m50 entre les convives, sauf ceux qui font partie de votre bulle familiale. Une fois à table ou sur un canapé, vous pouvez enlever votre masque, pour manger ou grignoter. Mais attention, on ne le met pas n’importe où. Quand vous mettez la table, pensez aussi, comme quand vous mettez des serviettes à disposition, à mettre un réceptacle, comme une enveloppe, par exemple, pour mettre son masque à l’intérieur. C’est un geste de politesse. On se désinfecte les mains. Sur la table, il y aura une bouteille de vin, une bouteille de bière ou d’eau, mais aussi une bouteille de gel hydroalcoolique. Une seule personne sert les convives : elle doit porter un masque. Les invités auront le droit d’être impolis : ils auront le droit de ne pas aider à servir, de ne pas aider à débarrasser, pour éviter les contacts. C’était une marque d’impolitesse, et maintenant ça devient une marque de respect. Éviter les bols communs, les buffets, les contacts croisés. Et on boit évidemment dans son verre, et non dans le verre des autres. Lors de votre soirée, vous parlez, vous évitez de crier, de chanter. On émet des dizaines de particules de plus quand on parle fort ou quand on chante. On évite alors de mettre la musique trop fort pour ne pas devoir crier pour s’entendre. Aux toilettes : se laver les mains, au gel ou au lavabo. Toutes les pièces où on se trouve devront être ventilées, même en hiver. Le but est d’éviter que des particules virales restent dans la pièce. Il faut donc entrebâiller les fenêtres, si possible deux fenêtres pour créer un petit courant d’air. Il vaut mieux avoir un peu froid et ne pas attraper le virus. Enfin, gardez une trace de qui est venu chez vous. » Merci papa ! (Soyez assuré que je ne respecterai pas votre délire psychotique.) Monsieur est fort probablement l’un de ces Covidiens venus de la 4ème Dimension. David Vincent l’a vu mais la Belgique entière l’a vu aussi. Mais l’ont-ils « démasqué » ??

Au Covidistan, il y a aussi les radicalisés que l’on nomme « Covidistes ». Ainsi, pour pousser le bouchon du zèle plus loin encore, le chef d’une amie qui fait du télétravail met un plexiglas devant l’écran de son ordinateur, un masque aussi bien évidement. On ne sait jamais que les postillons traverseraient l’écran et toucheraient son interlocuteur via sa connexion internet. Au Covidistan, tout peut arriver, ne l’oubliez pas ! Oubliez votre bon sens, il ne vous aidera pas. Et comme tout bon Covidiste radical qui se respecte, il fait aussi chambre à part avec sa femme, car « on ne sait jamais » dit-il. Ha mais il est à risque ou l’un de ses proches est à risque, il est contaminé, c’est pour ça. Non, non… non, non. C’est un juste un Covidiste radical, tout simplement. C’est le Covidistan quoi… la routine.

Alors que ce délire collectif s’intensifie partout dans le monde, mon livre « Le meurtre du bon sens » a pour but de dénoncer cette psychose qui s’est installée durement dans le monde entier et qui ne semble pas prête de s’arrêter. Pour combien de temps encore allons-nous laisser le monde continuer de basculer dans ce totalitarisme hypocrite ? Pour combien de temps encore cette peur irrationnelle générée par les médias va-t-elle continuer de diriger nos pays, nos vies ? Pour combien de temps encore va-t-elle continuer d’aveugler cette population complètement soumise et prête à accepter les pires exactions ? Si nous continuons ainsi, nous allons foncer droit dans le mur… le mur d’une idiocratie au parfum de « 1984 » !

Mon livre (vous savez, cet objet « non essentiel ») est disponible sur commande : https://jdheditions.fr/produit/le-meurtre-du-bon-sens/https://eur05.safelinks.protection.outlook.com/?url=https%3A%2F%2Fattachment.outlook.live.net%2Fowa%2FMSA%3Ayvlr2%40outlook.fr%2F&data=04%7C01%7C%7Ce36f55e7318f4a5d95e008d880ef82a3%7C84df9e7fe9f640afb435aaaaaaaaaaaa%7C1%7C0%7C637401113453251110%7CUnknown%7CTWFpbGZsb3d8eyJWIjoiMC4wLjAwMDAiLCJQIjoiV2luMzIiLCJBTiI6Ik1haWwiLCJXVCI6Mn0%3D%7C1000&sdata=4lStXYrqTPYD98tgSZxgszUAQR26DIUEocV8rF7PLh4%3D&reserved=0