Milk-check, par Sir Sami Rliton.

Que d’effets pervers associés à cette sur-amplification d’un virus moribond, dont absolument aucune recrudescence n’est en vue, si on prend la peine de suivre les grands pontes encore intègres sur la question…

Il m’est impossible de faire comme si tout était normal, quand cette psychose collective (iste) envahit absolument tous les domaines de nos vies sociales… Je mets un pied dehors et je tombe systématiquement sur des gens masqués, pour rien.

Pour se saluer, c’est devenu un « cérémonial tragi-covid », même ceux qui osent se faire la bise, qui osent transgresser cette nouvelle norme qui n’a plus rien de sanitaire, prennent la peine de « pointer leur déviance » : « bon allez on se fait la bise, ahahah soyons fous ! » … Une situation ridicule au regard de la réalité des données sanitaires, à rebours du délire politico-médiatique générateur de ces mièvreries de cours de récréation, comme si l’instituteur suspicieux pouvait surprendre l’embrassade de deux écoliers amoureux…. 

Pour les bien-pensants, c’est « check coude » (elbow bump) ou ‘bisous de loin », « footshake » à la Wuhan ou encore « check poing fermé adolescent »… Là encore, papa et maman nous surveillent, ils ne sont pas loin. La niaiserie se répand un peu plus chaque jour. Alors certains d’entre nous préfèrent rentrer plus tôt que prévu, pour éviter les traces d’herbe fraîche sur le jean et la punition… à l’instar de ces anglais quittant la Normandie pour échapper à l’éventuelle quarantaine, une fois rentrés.