Pourquoi publier tant d’oeuvres d’auteurs morts?

Un auteur qui est mort entre dans le domaine public 70 ans révolus après son décès. C’est ainsi qu’en 2022, des auteurs comme André Gide ou Alain (sur lesquels nous nous sommes positionnés) vont entrer dans le domaine public. Ne parlons pas de René Guénon qui est notre auteur phare de cette année 2022! Entré lui aussi dans le domaine public depuis ce début d’année.

En 2023 ce sera au tour de Paul Eluard, qui viendra aussi garnir notre collection « Les Atemporels » dès le début janvier.

Pourquoi donc se positionner sur ces auteurs morts depuis si longtemps? Alors que ce marché est si concurrentiel? Et que la concurrence se fait souvent par les prix…

Justement pour se différencier des autres et donner de la visibilité à nos auteurs bien vivants.

En effet, tous nos livres, qu’ils soient publiés dans la collection « Les Atemporels » de JDH EDITIONS, ou dans le tout jeune et novateur fonds littéraire international « Mémoria Books », sont des livres enrichis. Chaque livre publié dans « Les Atemporels » est préfacé par un auteur (bien vivant celui-là) de la maison. Parfois, et d’ailleurs de plus en plus souvent, un dossier documentaire sur la biographie de l’auteur (l’auteur mort) vient compléter la préface. Dans « Mémoria Books », les livres sont illustrés. Quel plus bel enrichissement que des illustrations exclusives! Le visuel vient compléter les mots. A ce jour c’est Yoann Laurent-Rouault, Maitre-diplômé des Beaux-Arts de Rennes, directeur littéraire et artistique de la maison, qui réalise toutes les superbes illustrations, mais la maison Memoria Books sera à terme ouverte à d’autres propositions, quand le fonds sera élargi et qu’il s’agira de produire beaucoup plus d’oeuvres dans l’année. Certains livres peuvent aussi être en quelque sorte « remasteurisés » par un auteur de notre maison. Par exemple, Thomas Andrieu va coordonner et commenter la publication de plusieurs oeuvres du domaine public sur les cycles économiques. Elles-mêmes illustrées.

Tout ça pour dire que ces « oeuvres mortes » prennent vie grâce à nos auteurs et que cela met en avant nos auteurs, les aident à se faire connaitre, à acquérir crédibilité et notoriété.

Ainsi, Mickaele Eloy a préfacé le monument « Alice au pays des merveilles »… gage pour elle de notoriété!

Beaucoup de préfaces et dossiers documentaires sont réalisés par l’éditeur ou le directeur littéraire mais beaucoup d’autres le sont aussi par différents auteurs. Citons Simone Wapler, Franck Antunes, Pierre Vaude, Benoist Rousseau, etc.

Quant aux livres illustrés, cela permet aussi d’apporter un vrai plus par rapport à ce qui se fait.

Seules les « oeuvres essentielles » sont les purs textes des auteurs morts, mais ils sont compilés et parfois traduits par nos soins. A ce sujet, les traductions permettent aussi à leurs traducteurs de se mettre en avant. Et la traduction d’un monument comme « 1984 » se fait remarquer car, quelque part, c’est un nouveau livre! A ce sujet nous vous annonçons en 2023 notre propre traduction de « Gatsby le Magnifique »! Et une version illustrée à couper le souffle.

Il faut savoir aussi que, contrairement à un livre actuel, qui a hélas une durée de vie de plus en plus brève, une oeuvre du domaine public n’est pas périssable dans le temps. Chaque livre du domaine public publié est vu par le président de la maison, agrégé en économie, comme un actif et non comme un bien de consommation.

En résumé, la déclinaison des œuvres du domaine public se fera donc de 3 manières :

-Les Atemporels : produits d’appel indispensables. Des préfaces, des dossiers documentaires et l’oeuvre de l’auteur ou des auteurs.

-Memoria Books enrichis. Oeuvres illsutrées et parfois préfacées, commentées, voire enrichies par QR Code renvoyant sur des vidéos.

-Œuvres essentielles de Memoria Books. Compilations de textes purs dans un beau volume.

JDH EDITIONS