Sur l’écriture inclusive.

L’écriture inclusive, également appelée écriture épicène ou écriture égalitaire est un remaniement orthographique, syntaxique et typographique qui consiste à favoriser l’utilisation du féminin au sein de la langue française.

Je lis cette définition sur GOOGLE, et je souligne le jeu de mots. Au sein de la langue française. France, nom féminin, d’ailleurs. Comme Marianne prénom féminin. Même après 22 heures. Comme le mot langue. Quant aux seins…

C’est prodigieux ce que l’époque que nous vivons est bouleversante de connerie… J’étais contre cette écriture, je reste contre et le Petit Robert m’a bien donné raison.

Ce qui me fascine, c’est que sous l’impulsion du plus petit nombre, des féministes radicalisées à l’époque et pour moi terroristes, on a bouleversé et blessé ce qui passe pour être la plus belle langue du monde. Et surtout on la met en danger.

Je n’étais pas machiste, mais je le deviens…

Je le serai peut-être moins le jour où on pourra « adopter une meuf », sur un .com !

Mais continuons sur le web : Bien que le langage inclusif se veut être positif et part d’un bon sentiment, il ne fait pas l’unanimité. En effet, ce dernier est la cible de nombreux défenseurs de la langue de Molière qui considère que l’utilisation de l’écriture inclusive « dénature », « abîme » et « déforme » la langue française. Sans blague ? Il y a encore des gens qui défendent les lettres ? Et, ils ont une protection policière, au moins ? Je suis inquiet !

Le sujet de l’écriture inclusive fait également bondir l’Académie française qui possède un avis très tranché sur la question. En effet, cette dernière défend le masculin générique allant jusqu’à parler de « péril mortel » de la langue française. Cependant le 28 février 2019, l’Académie française se retire du champ de bataille et adopte officiellement la féminisation des noms de métiers, de fonctions, de titres et de grades.

Mais ce que je ne comprends pas, notamment pour les grades ou les fonctions : est-ce que le fait d’être une femme ou un homme ou un transsexuel change finalement quelque chose à la fonction ? Un colonel, ou une colonelle, font il me semble, le même métier, non ? J’aime cette culture de la différence dans l’égalité. Bravo !

Je savais, je devinais, je voyais qu’à partir de là,  de ce dramatique renoncement des vieillards de la coupole en 2019, c’était la porte ouverte à toutes les fenêtres, comme disait l’autre. La dernière en date ?

Le « iel ».

Un score ça aussi.

Je n’épiloguerai pas.

C’est tout simplement ridicule.

Les roberts ont dégagé de ma bibliothèque, d’ailleurs. Ils alimentent la cheminée maintenant.

Cette époque est maudite et elle est très mal peuplée.

Pourvu que ça change !

 

YLR