« vaccin : un petit pas pour soi, un grand pas pour l’immunité. »

Je ne nommerai pas l’auteur de cette phrase choc qui nécessite pour la pondre au moins le cycle d’études  qu’il a fait, notamment à l’école Alsacienne : « vaccin : un petit pas pour soi, un grand pas pour l’immunité. »

Mais, dites-moi, si l’Alsacienne a de si grandes oreilles, ce ne serait pas pour mieux écouter les conneries ?

Notre pierrot tombé de la lune en 1989 est un poète né. Un érudit de bac à sable. Un homme avec une folle expérience  de la vie ( 32 ans) qui confond tout de même l’année 69 et l’année 89. Par contre pour le mois il a bon. C’était effectivement en juillet 1969. Que voulez-vous, avec Twitter comme encyclopédie, il ne faut pas en demander trop. Reconnaissons qu’au moins, il ne s’est pas gouré de siècle comme son président, c’est toujours ça. Le pauvre garçon confond les premiers pas sur la lune et les  derniers soubresauts d’une politique sanitaire désastreuse et liberticide. Il mélange tout. Je songerai à demander à mon éditeur s’il peut lui faire une place dans la nouvelle collection comique que nous voulons mettre en place l’année prochaine.

Quand je pense que Garovirus était encore hier le champion en titre pour les déclarations  politiques absurdes, j’ai de la peine pour lui. Dure retraite qui s’annonce. Doublé par un encore plus jeunot que lui  qui se prend pour un astronaute de la politique !

Ce qui me fait penser que Michel Audiard avait bien raison : quand on met les cons sur orbites, ils n’ont pas fini de tourner !

Je ne nomme plus « mes cibles », car quand je  cite le nom d’un des membres de ce gouvernement qui est le pire que la France est connu sur 5 républiques et deux dictatures (celle-ci inclut), j’ai peur de choper la dix-neuvième grippe de l’humanité répertoriée comme telle par l’assurance maladie. Et comme ma carte vitale n’est pas à jour, je ne prends pas le risque. Plus sérieusement, je n’en peux plus de tout ce cirque qui détruit « la vie d’avant » au profit « du monde d’après ». Monde que je ne cautionne ni n’accepte, dans la philosophie comme dans la pratique. J’en ai plus qu’assez que notre pays soit dirigé par des gens qui ont en moyenne l’âge des joueurs de foot de l’équipe de France. J’en ai plus que ras le bol d’entendre ces jeunots bien peignés réinventer l’eau chaude et le fil à  couper le beurre toutes les vingt-quatre heures. Si au moins ils pouvaient se contenter de la fermer et de continuer à détruire tout ce que j’aime en silence, se serait  déjà ça de gagné pour leurs victimes.

YLR.