Le malaise des jeunes Français exposé dans un nouveau rapport.

Le malaise des jeunes Français exposé dans un nouveau rapport.

La Défenseure des droits, Claire Hédon, tire la sonnette d’alarme sur l’état de la santé mentale des jeunes après plusieurs confinements et les mesures restrictives dues à la crise sanitaire. Dans son rapport annuel sur les droits de l’enfant, publié mercredi 17 novembre, elle met en avant l’augmentation des troubles dépressifs et déplore une insuffisante prise en charge psychiatrique.

« Il a été démontré que le premier confinement a conduit à une hausse générale des syndromes dépressifs et même à un doublement chez les 15-24 ans (10 % d’entre eux présentaient un syndrome dépressif en 2019, contre plus de 20 % en 2020) », relève-t-on dans ce rapport qui constate une hausse des « troubles anxieux » et « phobies sociales ».

Publié à l’occasion de la Journée internationale des droits de l’enfant, le 20 novembre, le rapport s’appuie sur les réclamations reçues par le Défenseur des droits (3 000 chaque année), ainsi que la consultation d’enfants et de professionnels (médecins et infirmières scolaires, enseignants et éducateurs, psychiatres, pédiatres…).

 

Cet extrait d’un article, tiré de l’Express, met en relief un phénomène, que tous, nous sommes amenés à observer dans nos entourages respectifs. Et jusque chez les touts petits. Comme chez les adultes d’ailleurs. Pour les petits, que voient-ils quand ils sont hors du foyer ? Des visages masqués. Comment font-ils alors pour interpréter les réactions des adultes, puisque ces visages « sans âmes » ne leurs donnent aucune indication sur l‘humeur de leurs interlocuteurs ? Et donc sur leurs intentions. C’est catastrophique ! Tous les repères s’envolent. Nombre d’enfants en bas âges sont décrits comme « sauvages » ou rétifs à tout individu autre que leurs parents proches. On a même inventé le terme « bébés confinements » pour les décrire.

Si on y rajoute l’absurde proportion médiatique, politique et « civile » qu’a prise cette « pandémie » et sa conséquence principale, à savoir un climat social « intime » détérioré par les couvre-feux, confinements et autres absurdités, le tableau est complet.

De plus en plus, je lis, j’entends, des spécialistes, médecins ou non, qui affirment que les remèdes sont pires que le mal. À tous les niveaux. L’Europe renonce dans sa majorité aux droits de l’homme et du citoyen, bafoue ses constitutions et met en place petit à petit une classe politique qui se destine a se fasciser. Et le comportement des gens s’en ressent. Les vieux fléaux comme le racisme par exemple, reviennent à la charge. J’ai entendu des types appeler des gens d’origines asiatiques « des covids ». L’antisémitisme galope, comme la chasse à la « normalité » galope aussi. Les interventions politiques sont désastreuses, et la grande majorité nie le fait que l’industrie pharmacienne touche pas loin de 7000 dollars à la seconde, de par le monde, avec des brevets perlimpinpin qui à leur tour nourriront, à cause des effets secondaires, à cause de l’inefficacité des sérums, cette même industrie pharmacienne. Je vous renvoie à la lecture du roman de JULES ROMAINS : le docteur Knock.

Alors, je pose une question simple : puisque vous êtes majoritairement vaccinés, puisque nous sommes minoritaires, nous les « rebelles », puisque nous ne pouvons pas vous contaminer, puisque vous êtes vaccinés, pourquoi encore ces mesures ?

Et, puisque vous êtes conscients, que sans un retour à une vie normale, des tas de gens vont sombrer psychologiquement, que pour nos enfants, c’est catastrophique et que pour vous-même, ce n’est pas bon, pourquoi laissez-vous les choses se prolonger ?

YLR