Pourquoi publier un roman pour adulte comme de Stockholm à Lima, dans la collection Magnitudes ?
Nous sommes pour la liberté d’expression, après la collection Uppercut et la nouvelle collection Versus, qui vous livrera prochainement « un combat » pro masques vs anti-masques, est-ce bien encore utile de le préciser ?
La censure nous motive.
La ligne éditoriale de JDH édition ne cède pas et ne cédera jamais à la censure.
Pour autant, nous ne goûtons pas les attaques frontales et gratuites. Nominatives. Les extrémistes, les propos religieux, le racisme ne font pas partie de notre paysage.
Pour ce qui est de la littérature, nous aimons les sujets sociétaux. Printemporel ou le calvaire d’une femme battue, cause nationale de l’année 2019, présenté au prix de la Closerie des Lilas, La cendrillon de trottoir ou l’enfer de la prostitution, inédit de cette rentrée littéraire, le viol masculin avec Oiseaux de saccages, l’échangisme et l’épicurisme avec notre Poupée musclée sur Lamelle de bonheur, Nos violences conjuguées dans la collection des collectifs JDH où 9 femmes et 5 hommes livrent leurs témoignages intimes sur le sujet… Et quels témoignages !
Les exemples sont nombreux…
Nous n’aimons pas la littérature qui ne rend pas compte de son époque, qui ne nous apprend rien, nous aimons les portraits vivants de notre société, comme dans le Connard nu ou dans Le grand con, classés tous deux à la magnitude 7.
Ana Jan Lila avec « DE STOCKHOLM A LIMA« en Magnitudes 9 renvoie 365 DNI à la bibliothèque rose.
Et c’est tant mieux.
Elle ose.
C’est une guerrière.
Et, c’est ce qui nous a plu.
Les fortes personnalités sont les bienvenues chez nous. De plus c’est un livre « littéraire ». Nous ne sommes absolument pas dans les petites romances frissonnantes à la mode. Nous sommes dans le premier opus d’une trilogie au scénario novateur et de par le fait inédit. Saga qui ne pourra que vous convaincre et vous interpeller.
Le but pour l’auteure : écrire une des plus belles histoires d’amour de la décennie. En se servant du pire pour en faire le meilleur. Ne vous trompez pas : la prostitution, comme la torture, comme le viol, comme les perversions sexuelles comme le trafic d’être humain ne sont pas mis à l’honneur dans ce livre.
Les moyens qu’elle se donne : prendre un co-auteur avec « de la bouteille » pour la suite de la saga. Pour sa culture, pour développer le côté thriller et oserais-je le dire, à un certain moment de la saga, le côté historique.
Les contrats ? Ils sont signés.
Chez JDH, nous ne mégotons pas. Nous menons à terme nos projets.
Les dates de publications de tome 2 et 3 ?
Elles sont programmées.
Et nous les tiendrons.
Alors oui, ce roman, va vous surprendre, vous allez adorer ou détester. Mais en aucun cas vous ne pourrez l’ignorer ou le lire sans avoir un avis tranché.
Oui, vous serez choqué.
Oui, il remuera en vous quelque chose.
Oui, nous n’avons pas fini d’en entendre parler 😉
JDH éditions, l’édition nouvelle vague qui comme son slogan l’indique, n’a pas peur de se mouiller. C’était un article pour la revue littéraire d’avant-garde L’édredon de Yoann Laurent-Rouault, directeur littéraire et artistique de la maison avec Jean David Haddad, président du groupe EDICO et éditeur et fondateur de JDH édition.